Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Ce film est un peu comme un cadeau offert par un ami qui vous est cher. Au-delà du cercle des intimes, le présent peut paraître anodin quand il s'agit en réalité d'un véritable trésor.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
C'est assez rude, mais si on se laisse aller à une totale empathie avec la comédienne, c'est assez beau, car on finit par ressentir avec elle le plaisir de retrouver le goût des choses. Avec même une certaine inconscience : l'oubli des contraintes de la vie matérielle et de la mort, en ne profitant que de l'instant.
La critique complète est disponible sur le site Aden
La beauté du film de Lynne Ramsay est qu'il s'en tient, avec une obstination enfantine, à un seul pari, qui consiste à tout miser sur un corps, une présence, une actrice. Il ne s'agit pas cependant, bien que Samantha Morton soit Morvern avec une force saisissante, d'admirer une performance. Rien n'est ici numéro ni mêmele produit d'un travail, du moins en apparence.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Film sur la quête de soi dans un pays étranger, Morvern Callar préfère certainement le diurne espagnol au nocturne indien, mais son voyage est tellement fascinant et curieux qu'il hante longtemps l'esprit après la projection.
Samantha Morton, déjà remarquée dans Under the skin, de Carine Adler, et Accords et Désaccords, de Woody Allen, prête au personnage son petit visage de clown triste. Mais la fragilité de Morvern Callar n'est qu'une apparence. Il y a une force terrible en elle. Les gifles de la vie qu'elle reçoit, elle les encaisse. Si elle tombe, elle se relève chaque fois.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
De temps en temps, Lynne Ramsay parvient à insuffler un peu d'étrangeté dans son film, au détour de quelques séquences nocturnes, ou avec cette affaire d'imposture littéraire qui plane en silence sur toute la virée européenne. C'est tout, hélas, et si l'on aime un tout petit peu ce film, ce sont les restes de l'amour porté au précédent.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Dommage que la partie espagnole, guère plus bavarde que la première, soit moins originale. Mais l'énigme Morvern Callar n'en reste pas moins longtemps dans notre souvenir. D'autant qu'aux côtés d'une inconnue délicieuse, qui joue la comédie pour la première fois (elle était apprentie coiffeuse à Glasgow !), l'héroïne est interprétée par une sidérante interprète, Samantha Morton. Elle est, ici, à la fois odieuse et émouvante, elle ne dit rien et pourtant elle crève l'écran. A suivre !
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Là, le film se perd, dans le chic et le tourisme, dans le conte de fées littéraire, et le manuscrit envoyé comme un roman-bouteille à la mer vaut immédiatement à l'héroïne un contrat de 100 000 dollars... Mais on n'oubliera ni cette sanglante veille de Noël ni la présence radicale de Samantha Morton, une réincarnation subite et magnifique de Katrin Cartlidge.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Voici un nouvel exemple de l'impasse esthétique que constitue l'adaptation d'une oeuvre littéraire a priori "facile". Celle de Morvern Callar n'est que transparence.
Cette histoire d'une jeune employée de supermarché se faisant passer pour un écrivain est un tissu d'élucubrations sans queue ni tête. Certes, le contexte social est plutôt bien posé, la vie morne dans un bled écossais bien sentie, mais le reste...
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
(...) Morvern Callar prend le contre-pied de l'attitude supposée normale en cas de tuile majeure, ici, le suicide de son jules. Cette idée était assez forte pour permettre à un cinéaste de la jouer fine et sobre. Au lieu de ça, Lynne Ramsay rajoute systématiquement une couche de bizarrerie arty et artificielle. Du coup, elle gadgétise l'étrangeté du personnage et du récit.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Fluctuat.net
Ce film est un peu comme un cadeau offert par un ami qui vous est cher. Au-delà du cercle des intimes, le présent peut paraître anodin quand il s'agit en réalité d'un véritable trésor.
Aden
C'est assez rude, mais si on se laisse aller à une totale empathie avec la comédienne, c'est assez beau, car on finit par ressentir avec elle le plaisir de retrouver le goût des choses. Avec même une certaine inconscience : l'oubli des contraintes de la vie matérielle et de la mort, en ne profitant que de l'instant.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Lynne Ramsay cultive l'humour noir et la dérision, ce qui donne à son film un ton fort et chargé de beaucoup d'humour.
Le Monde
La beauté du film de Lynne Ramsay est qu'il s'en tient, avec une obstination enfantine, à un seul pari, qui consiste à tout miser sur un corps, une présence, une actrice. Il ne s'agit pas cependant, bien que Samantha Morton soit Morvern avec une force saisissante, d'admirer une performance. Rien n'est ici numéro ni mêmele produit d'un travail, du moins en apparence.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Le Voyage de Morvern Callar doit toute sa force à l'extraordinaire Samantha Morton. Rarement voit-on une actrice s'identifier autant à un rôle.
Novaplanet.com
Une victoire que tout spectateur capable de s'ouvrir émotionnellement aura eu l'impression de partager, plaisir étrange trop rare au cinéma.
Obejctif-Cinema.com
Film sur la quête de soi dans un pays étranger, Morvern Callar préfère certainement le diurne espagnol au nocturne indien, mais son voyage est tellement fascinant et curieux qu'il hante longtemps l'esprit après la projection.
Première
Le sourire absent et le regard anxieux de Samantha Morton hantent le film et séduisent dangereusement. Voyage cafardeux mais intense.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Habitée par une Samantha Morton à fleur de peau, cette chronique de la douleur évite tout espèce de pathos.
Télérama
Samantha Morton, déjà remarquée dans Under the skin, de Carine Adler, et Accords et Désaccords, de Woody Allen, prête au personnage son petit visage de clown triste. Mais la fragilité de Morvern Callar n'est qu'une apparence. Il y a une force terrible en elle. Les gifles de la vie qu'elle reçoit, elle les encaisse. Si elle tombe, elle se relève chaque fois.
Chronic'art.com
De temps en temps, Lynne Ramsay parvient à insuffler un peu d'étrangeté dans son film, au détour de quelques séquences nocturnes, ou avec cette affaire d'imposture littéraire qui plane en silence sur toute la virée européenne. C'est tout, hélas, et si l'on aime un tout petit peu ce film, ce sont les restes de l'amour porté au précédent.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Echos
Dommage que la partie espagnole, guère plus bavarde que la première, soit moins originale. Mais l'énigme Morvern Callar n'en reste pas moins longtemps dans notre souvenir. D'autant qu'aux côtés d'une inconnue délicieuse, qui joue la comédie pour la première fois (elle était apprentie coiffeuse à Glasgow !), l'héroïne est interprétée par une sidérante interprète, Samantha Morton. Elle est, ici, à la fois odieuse et émouvante, elle ne dit rien et pourtant elle crève l'écran. A suivre !
Libération
Là, le film se perd, dans le chic et le tourisme, dans le conte de fées littéraire, et le manuscrit envoyé comme un roman-bouteille à la mer vaut immédiatement à l'héroïne un contrat de 100 000 dollars... Mais on n'oubliera ni cette sanglante veille de Noël ni la présence radicale de Samantha Morton, une réincarnation subite et magnifique de Katrin Cartlidge.
MCinéma.com
Samantha Morton est une actrice merveilleuse. Son regard clair aurait pu gagner en intensité dans un écrin plus profond.
Cahiers du Cinéma
Voici un nouvel exemple de l'impasse esthétique que constitue l'adaptation d'une oeuvre littéraire a priori "facile". Celle de Morvern Callar n'est que transparence.
L'Humanité
Cette histoire d'une jeune employée de supermarché se faisant passer pour un écrivain est un tissu d'élucubrations sans queue ni tête. Certes, le contexte social est plutôt bien posé, la vie morne dans un bled écossais bien sentie, mais le reste...
Télérama
(...) Morvern Callar prend le contre-pied de l'attitude supposée normale en cas de tuile majeure, ici, le suicide de son jules. Cette idée était assez forte pour permettre à un cinéaste de la jouer fine et sobre. Au lieu de ça, Lynne Ramsay rajoute systématiquement une couche de bizarrerie arty et artificielle. Du coup, elle gadgétise l'étrangeté du personnage et du récit.