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    Diabolo Menthe
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    3,8
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    Alasky
    Alasky

    359 abonnés 3 459 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 décembre 2020
    Film lent, empreint de nostalgie, avec tous les clichés des années 60 (moeurs, éducation, premiers émois amoureux, premiers flirts, premières règles...). On suit de près cette classe d'adolescentes en 1963. DIABOLO MENTHE est un petit film agréable à visionner, qui garde une certaine fraîcheur et un certain charme bien des années après sa sortie.
    Pascal G.
    Pascal G.

    1 abonné 59 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 juin 2020
    Peut-être que c'est parceque j'aime bien voire les paysages ,les batiments , les voitures d'une autre époque , mais la premiere heure passe très facilement , après , je me lasse et l'histoire ne m'interesse plus.
    Donc , c'est très sympatique comme film , ce serait dommage de le rater , mais mois je n'arrive pas a le voir en entier .
    Stephenballade
    Stephenballade

    402 abonnés 1 239 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 mai 2020
    S’il y a des films qui vieillissent mal avec le temps, il y en a d’autres qui se bonifient avec les années. Voilà que je commence par une entame bien surprenante, me direz-vous. Aussi je me dois de m’expliquer, ainsi que je l'avais prévu initialement.J’avais dans les 6 ans quand ce film est sorti. Aucun intérêt. Mais si j’avais été adulte, je me serai demandé quel intérêt on pouvait trouver à ce film. A moins d’être passé à côté de quelque chose, ce qui peut être le cas encore aujourd’hui, je ne le nie pas si jamais l’un d’entre vous venait me le signifier. Car je ne vous cache pas que j’en ai tout de même entendu parler, bien que je n’ai gardé aucun souvenir de la teneur des propos. Mais aujourd’hui, soit plus de quarante ans après sa sortie, je le vois comme un immense témoignage. Le témoignage d’une époque pas si lointaine et pourtant bien révolue. En effet, le spectateur est invité à suivre une année scolaire entière, de la rentrée jusqu’au premier jour des vacances d’été, jadis appelées grandes vacances. Jadis… jadis… mmmh comme ce terme convient bien. Le mot jadis résume parfaitement ce qui ressemble fort à une chronique. L’année durant laquelle se passe l’année scolaire n’a pas été précisée. C’est habile dans le sens qu’on écarte toute forme de ressemblance (fortuite ou pas) avec des personnages ayant réellement existé. Nous avons tout de même quelques indices disséminés par ci par là. Entre l’assassinat de JFK, la sortie en salles de "La grande évasion" et de "Muriel ou le temps d’un retour", voilà de quoi réveiller votre culture générale. Et si vous êtes en panne, eh bien Internet vous aidera à déterminer l’année. Le fait est que "Diabolo menthe" se révèle être une formidable machine à remonter le temps. Comme je l’ai dit plus haut, jadis… ça se passait comme ça. Eh bien oui, ça se passait comme ça. Car même si je suis un natif du millésime 1971, j’ai tout de même retrouvé pas mal de choses. Comme la méchanceté entre jeunes, peut-être plus encore qu’aujourd’hui parce que plus directe, plus frontale. Dans les cours de récréation, on découvre que des jeux sont peut-être plus anciens que ce qu’on aurait pu croire, comme le saut à l’élastique ou le tir à la corde. Le premier persiste encore. Pour ce qui est des cours, les enseignants avaient de l’autorité. Rares étaient ceux qui en étaient dénués. Aujourd’hui c’est le contraire. Ici, les deux extrêmes nous sont présentés par la prof de dessin (Denise Péron, parfaitement horrible dans tous les sens du terme), et la prof de maths (Dominique Lavanant). Au milieu se trouvent la prof d’anglais (Marthe Villalonga, déjà attachante), une prof de gym aussi nature que colorée (Dora Doll) et les profs des autres matières, tous dirigés par des mains de fer et aidés par la surveillante générale incarnée par une certaine… Tsilla Chelton. En tout cas, on n’allait pas à l’école pour plaisanter et le moins qu’on puisse dire, c’est que ça ne plaisantait pas ! Alors certes les préoccupations des jeunes de l’époque étaient les mêmes : la preuve par leurs conversations axées autour du sexe, du divorce des parents, de la mort sous toutes formes. Des conversations trahissant des désirs et des craintes : les désirs nés avec les hormones des corps d’adolescents qui se métamorphosent, et les craintes liées à la famille. A cette époque, les enfants étaient reconnaissants envers leurs parents, en tout cas ils ne pouvaient leur en vouloir bien longtemps en cas de désaccord ou de vive réprimande (l’anniversaire surprise). Surtout si la pension était agitée comme un drapeau de la sanction. Qu’il semble loin, ce temps-là ! Le temps où les bouteilles de Coca-Cola étaient en verre (et consignées). Le temps où les selfs n’étaient encore que des cantines. Le temps où il valait mieux filer droit, sous peine d’un conseil de discipline à l’issue presque certaine (presque hein…). Et bien que la majeure partie du film se déroule sans musique (on notera au passage la jolie partition de piano), la chanson finale le résume parfaitement bien. Donc oui, sympa à voir, en particulier pour les nostalgiques du passé.
    Ricco92
    Ricco92

    230 abonnés 2 156 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 avril 2020
    Pour son premier film en tant que réalisatrice, Diane Kurys (qui abandonnait par la même occasion sa carrière d’actrice) choisit de s’inspirer de son adolescence dans les années 60. Le résultat, Diabolo menthe, est un film tendre qui a été de multiples fois rediffusé à la télévision. L’interprétation est excellente et la direction d’acteurs est pleine de sensibilité. Reste que le film, vu d’aujourd’hui, ne se démarque pas particulièrement des nombreuses œuvres traitant de ce type de sujets et qu’il n'évoque pas de sujets suffisamment forts pour marquer durablement son spectateur.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 avril 2020
    J'ai vu ce film lors de sa sortie dans la fin des années 70. J'en avais gardé le souvenir d'un film amusant. Lorsque j'ai vu qu'il était programmé ce jour à la télé, je me suis dit que je le reverrai avec plaisir, histoire de passer un bon moment en ces temps de confinement ! Mais ce n'est plus la même personne qui a revu le même film ! J'ai le même âge qu'Anne, l'héroïne du film, car moi aussi, j'avais 13 ans en 1963. ET en 1977, j'étais encore un jeune con qui n'avait gardé que le souvenir d'un film comique. En 2020, c'est presque un vieux monsieur qui l'a revu, un monsieur qui a vécu entre temps, et si les scènes comiques m'ont fait encore sourire, c'est un tout autre film que j'ai vu ! Le superbe portrait d'une adolescente un peu rebelle mais pas trop, un film plein d'émotions, de souvenirs des années de mon adolescence, des plages normandes sur lesquelles il y a plus souvent du vent et des nuages que du soleil et tous les évènements de ces années là ! C'est peut-être pour cela qu'il a eu du succès ce film ! Il y a plusieurs films dans "Diabolo menthe", et chacun regarde celui qu'il lui plait de voir !
    AV ciné
    AV ciné

    108 abonnés 631 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 avril 2020
    Un film culte plutôt pas mal sur une époque en plein renouveau pour les jeunes.
    L'histoire est satisfaisante et la jeune Eléonore Klarwein est agréable.
    Odile Michel est convenable et tous les autres acteurs sont corrects.
    Les décors sont bons et le contexte des années 60 est très bien reproduit et intéressant.
    Les tenues de l'époque sont convaincantes et les objets et équipements de l'époque sont acceptables.
    L'ambiance est plaisante et la chanson d'Yves Robert est sympathique, les gags et les répliques sont rigolos.
    Un film donc pas mauvais qui montre bien l'émancipation des adolescentes dans les années 60.
    Fabien S.
    Fabien S.

    562 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 avril 2020
    Un très bon film français sur les écoles de filles dans les années 60 . Une bonne comédie sur l'adolescence.
    VOSTTL
    VOSTTL

    100 abonnés 1 955 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 janvier 2020
    Je n’aime pas cette boisson et pourtant revoir de temps en temps ce « Diabolo Menthe » est rafraîchissant. Pour nous le servir, ça n’a pas été simple semble-t-il : Diane Kurys, toute jeune comédienne, s’est heurtée à de nombreux refus à la lecture de son scénario. Mais à force de volonté, elle a su à terme imposer sa chronique adolescente. Son adolescence, ses années lycée et familiale. Ce n’est pas qu’une oeuvre cinématographique, « Diabolo Menthe » est un engagement. Un premier film de surcroît qui sera un succès, donnant tort à tous les producteurs sceptiques qui ont sous-estimé son écriture. D’aucuns pourront toujours dire que cette chronique est assez creuse, que cette tranche de vie manque d’épaisseur, en ce qui me concerne, c’est tout le contraire. Attention, je ne dis pas que c’est une oeuvre majeure à inscrire au panthéon du cinéma. N’exagérons rien. Mais l’air de rien, Diane Kurys distille des petits billets sur les évènements de Charonne, sur la condition féminine et son droit de vote, où l’on détecte que le vote féminin s’appuierait sur le vote du père ou du mari, sous-entendu que les femmes n’auraient pas de personnalité ; sur l’ignorance de la sexualité et des garçons et ce sujet pourrait être d’actualité, et encore avec Internet, les filles d’aujourd’hui sont déjà au courant dès la 6ème (pour avoir travaillé en collège, je sais de quoi je parle) ; des petits détails comme porter des collants ou des bas, synonyme d’émancipation. Début des années soixante où les collèges et lycées n’étaient pas mixtes. A noter, que Diane Kurys n’accorde pas beaucoup d’importance à l’homme : il a la figure du père divorcé dont les apparitions sont fugaces ; le visage de l’amant, effacé ; du factotum, débordé à l’autorité tournée en ridicule ; le père de Murielle est un fantasme pour Frédérique ; son petit copain, vite évacué parce qu’ennuyeux selon elle ; un commerçant pervers ; sans compter des badauds-satyres qui scrutent des élèves en cours d'éducation physique ! Les autres ne sont que silhouettes et éléments décoratifs ! Ça en dit long sur l’univers adolescent de Diane Kurys. Eléonore Klarwein en petite Anne et Odile Michel soeur aînée d’Anne défendent admirablement leur personnage. Le ton général du film est juste. Diane Kurys rejoint le cercle fermé ou restreint des femmes cinéastes de ces années 70 : Yannick Bellon, Coline Serreau, Nina Companeez, et bien avant elles Nelly Kaplan et évidemment Agnès Varda. Ce « Diabolo Menthe » a parfois un arrière-petit goût de madeleine de Proust. Je tiens à rassurer qu’il n’est pas nécessaire d’avoir connu l’encrier, les pupitres, les tabliers aux couleurs d’un établissement scolaire des années 60 pour apprécier ce film. Je n’ai pas connu le XVIIème siècle par exemple et j’apprécie les films de cape et d’épée !
    Alain D.
    Alain D.

    600 abonnés 3 296 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 août 2018
    Cette comédie écrite et réalisée par Diane Kurys nous replonge avec nostalgie dans les années 60 ; le temps des boums, de Nougaro, de JFK et du SLC de Daniel Filipacchi. Son scénario, plutôt inconsistant, nous dépeint l'évolution de deux jeunes filles ados : le lycée, les garçons, l'éveil en politique ... Même si le film a pas mal vieilli, il nous offre de jolies scènes malheureusement trop courtes et trop rares.
    Heureusement cette comédie nous offre tout de même de belles images, une charmante BO de Yves Simon (avec "petite Anne") et une affiche attractive. Les jeunes actrices font plaisir à voir. Eléonore Klarwein (Anne la cadette) et Odile Michel (l'ainée des sœurs) sont parfaitement naturelles. Quant aux enseignants, Dominique Lavanant en prof de maths et Dora Doll en prof de gym, ils se révèlent assez gratinés.
    Charlotte28
    Charlotte28

    127 abonnés 2 031 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 août 2018
    Le film "générationnel" d'avant la Boum! Une image tendre et mélancolique de l'adolescence portée par des acteurs amateurs qui donnent toute leur innocence et leurs hésitations aux personnages. L'absence de scénario au profit d'une chronique aurait été intéressante si la réalisatrice avait su choisir entre tous les thèmes qu'elle affleure pour au final n'en déterminer aucun, ce qui nuit à la cohérence et à la pertinence du propos. L'instantané d'une époque néanmoins...
    Clint.
    Clint.

    2 abonnés 36 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 août 2018
    Un bon film, bien interprété, très émouvant parfois, drôle par moment. Les années 60, avant 68. Une bonne représentation des milieux familiaux et de l'éducation nationale qui était bien plus sévère à l'époque. Le film de Diane Kurys flirte avec un certain réalisme qui donne du poids à l'histoire ( les ados qui découvrent la société, les premières boums, l'assassinat de Kennedy, la politique a l'école malgré l'interdiction, le mal être des personnages, la découverte de la sexualité -comment les filles découvrent que les garçons ont un sexe différent du leur, ......) Bon film ! bravo à Diane Kurys, je ne me suis pas ennuyé une seconde ! ....Mais qu'est ce que la société a changé !!!
    Matthias T.
    Matthias T.

    46 abonnés 612 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 juin 2019
    Un film assez charmant mais aussi un peu ennuyeux, sans veritable intrigue. Reste un charme, du entre autres aussi aux actrices, attachantes.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 188 abonnés 5 194 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 septembre 2017
    On ne peut s'empêcher de penser à une autre "boum", mais en vérité j'ai trouvé ce film profondément mélancolique, tendre et véritablement sensible. Évoquant avec grâce et délicatesse la prime adolescence, celle qui effraie en même temps qu'elle attire. Les propos sont forts, tristes et joyeux en même temps. Une très belle peinture d'une époque de la vie et de l'histoire.
    Marian88
    Marian88

    2 abonnés 189 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 septembre 2017
    Grand classique des années 70, ce film raconte les péripéties de 2 soeurs dans un collège parisien des années 60 avec son cortège de profs tyranniques et autoritaires. Le scénario est simple mais efficace car on passe un bon moment face aux moeurs de ces années pas si innocentes.... à voir et revoir sans modération.
    missfanfan
    missfanfan

    93 abonnés 851 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 septembre 2017
    revu ce film avec plaisir même si mon adolescence ne fut pas des plus joyeuse et le casting est irréprochable
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