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CrackO DingO
45 abonnés
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3,0
Publiée le 25 février 2014
Du grand Bebelle, de l'action et des cascades de l'époque. 27 ans plus tard Georges n'en aura toujours pas fait cuir son steak! -----Novembre 2010-----
Film d'action sans humour. Le film tient bien la route, notamment grâce à la réalisation de Jacques Deray, spécialiste du film policier français. Bebel sans humour, ça fait drôle, mais l'enquête est bien menée et montre un monde de la nuit assez rare à l'époque.
Un Bébel au meilleur de sa forme dans un policier conçu à faire voir ses "talents". Il ne s'en cache pas, et fort d'une intrigue bateau mais minutieusement armée et d'une mise en scène du vétéran du genre (Monsieur Jacques Deray : Le professionnel, Trois hommes à abattre, Borsalino...) des années fastes. Avec Tchéky Karyo qui fait une petite apparition on ne peut plus surprenante dans le rôle d'un gangster et Claude Brosset qui fait toujours plaisir à voir (Flic ou voyou, Les ripoux...). Une pensée pour lui, amis spectateurs... Vous ne vous trompez pas, Le marginal fait partie de la carrière de Belmondo et ne vous lassera jamais. Pourquoi ? Parce que Bébel restera Bébel... A noter : la musique porte bien la griffe de l'inconditionnel Morricone. Encore un atout qu'il ne faut pas oublier d'omettre. Envoûtez vous. Shaaam sham shaam...
Cascades, humour et méthodes peu orthodoxes sont des paramètres classiques à mettre au profil du flic décontracté et expéditif joué par Jean-Paul Belmondo dans plusieurs polars de sa carrière. Peu importe la contenance du scénario, cette marque de fabrique est payante et colle tellement bien au charisme de l’acteur et on ne ne va pas bouder notre plaisir de le (re)voir dans un tel rôle. « Le Marginal », réalisé par Jacques Deray en 1983, ne révolutionne assurémement pas le genre mais s'additionne à la longue liste des succès récoltés par Bébel.
Du Belmondo pur jus qui donne au public, en compagnie du réalisateur spécialiste du polar Jacques Deray, exactement ce qu'il voulait à l'époque. Justicier sauvage, fonceur et hantise de sa hiérarchie, notre inspecteur Harry nationale s'en donne à cœur joie. Beau florilège de bastons, courses-poursuites pédestres ou en voitures et belle composition de Morricone qui comblent les faiblesses, pour ne pas dire la paresse, du scenario et un méchant, campé par Henry Silva, peu et très mal utilisé. Ce film manque clairement d'émotion mais il est très efficace.
Un film policier de bonne facture qui repose entièrement sur les épaules de Bébel dans son personnage de flic-cow boy incorruptible. L'ensemble est très rythmé avec des duels, bagarres et des cascades spectaculaires effectuées par Belmondo lui même. L'histoire est cependant sans surprises et de facture classique. Néanmoins, on passe un bon moment.
un Belmondo classique avec son lot de cascades, de bagarres un peu d'humour, du traditionnel sans grande originalité. Ce n'est pas le meilleur bebel mais ça laisse regarder sans déplaisir
Le polar Français, Jacques Deray s'y est frotté plusieurs fois, avec plus ou moins de réussite, cette fois pour Le marginal la sauce des années 80 est plutôt réussie : le regard noir apporté sur la France des années 80 est la principale force du film, des quartiers chauds de Marseille aux squates les plus insalubres de Paris en passant par tous les lieux de perdition inimaginables ... Deray dirige le film avec brio. Côté acteur, Bébel dans un quasi one-man-show est très bon, sans en rajouter des milles et des cents il est très juste en jonglant sur des registres bien disctincts, l'apport des dialogues étant également très important. Henry Silva, l'Américain de la distribution est plus vrai que nature en mafioso pourri jusqu'à l'os, les seconds rôles restent solides à l'image de Claude Brosset, Charles Vernier ou Tchéky Karyo. Néanmoins le seul défaut de poids tient au scénario, un peu trop léger. A noter encore une superbe poursuite urbaine en voiture orchestrée par Rémy Julienne ! Un classique de la filmographie de Belmondo.
Et on retrouve notre fameux et unique Belmondo sur un film policier à l'esprit offensif et provocateur accompagnée de notre cher et tendre Commissaire Jordan (Belmondo) qui nous démontrent ses manières personnelles de faire dans la police avec suréminence ! Les confrontations sont toujours très bien interprétées ainsi qu'une musique phénoménale de la part de Ennio Morricone qui nous offrent sa musicographie qui restera excellente et inoubliable !
Même si "Le marginal" n'est pas un film très original, on le suit quand même avec un certain plaisir, surtout qu'il est accompagné d'une musique d'Ennio Morricone.
Encore et encore un souvenir de mon enfance ....je sais ça fait madeleine de Proust mais je me souviens des affiches en géant sur les Champs- Elysées à cette époque géniale où les affiches étaient en relief avec le titre qui ressortait ce qui permettait de voir de très loin le cinéma où le film se projetait . Evidemment typique des années 80 ce polar à la française est du sur mesure pour Belmondo le héros de mon enfance . La musique originale d'Ennio Morricone et Henri Sylva en patron de la drogue marseillaise ! ...oui dit comme ça c'est à fuir et pourtant essayez de ne pas avoir de préjugés et de penser que dans ces années là il y avait du cinéma populaire français qui faisait des entrées et qui n'était pas pour autant les "comédies franchouillardes" qu'on nous sert aujourd'hui et qui a malheureusement pris le relai de ce cinéma populaire de ces temps là ! . Oui je suis nostalgique de ce cinéma là où on parlait du dernier Belmondo comme du dernier Delon et à part pour les gens qui étaient abonnés aux Cahiers du Cinéma c'était pas une insulte de dire qu'on allait voir ces films là .
Un trés bon film policier . Un bon scénario , une bonne histoire policière . Beaucoup de suspens , un peu d' actions et un peu d' émotions . Et également , une superbe musique de Ennio Moriconne .
À noter que le grand méchant du film , l' ennemi de Jean Paul Belmondo est un acteur américain , Henry Silva , qui est également l' ennemi de Chuck Norris , dans le film : " Sale temps pour un flic " et l' ennemi de Steven Segal , dans le film : " Nico " .
Belmondo qui prend toujours autant de risque dans ses cascades à la cinquantaine, l'acteur fétiche de la nouvelle vague s'est tournée à cette époque au cinéma de divertissement. Il est claire que le scénario ne vaut pas celui du ''Professionnel'' mais ne brille que par Jean-Paul Belmondo ou a cette époque il commence à s'auto-parodier et deviens la caricature de lui-même. Pas très loin du semi-nanar et ne brille que par ses cascades et ces scènes d'actions. Pourtant nostalgique de cette époque je trouve ce film bien potable et pourquoi? C'est simple!
Parce que Belmondo! Parce que Michel Audiard et parce que Ennio Morricone.
Un bon film, que personellement moi je regarde pour Bebel. Il fou des baffes aux méchants, et rétablie la justice. Bref un scénario normal mais c'est un plaisir pour tout les fans de Jean Paul Belmondo. Du belmondo pure et dure dans un style qui ferait pensé au film de cowboy façon Eastwood.