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chrischambers86
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2,5
Publiée le 6 octobre 2018
Suite des aventures du trappeur solitaire, de l'explorateur infatigable qui ètait plus animè par le goût de la grande aventure que par un quelconque intèrêt patriotique ou scientifique! Fess Parker reprend donc le rôle de Davy Crockett dans la production Disney intitulèe, "Davy Crockett and the River Pirates", de Norman Foster, en compagnie de son ami George Russel! Cette seconde aventure est une fois de plus destinèe à sèduire un jeune public, plus encore que "Davy Crockett, King of the Wild Frontier", avec ici un humour très enfantin dans les nombreuses bagarres (cf. l'amusant Jeff York, boule de saindoux ressemblant à Gino Cervi). Cette suite, malgrè son manque d'objectivitè historique, connut comme l'èpisode prècèdent un immense succès mondial! Du divertissement familial sans prètention aucune spoiler: où les morsures de fourmis ont des morsures de crocodiles, où Crockett dans une course contre la montre doit affronter les rapides les plus dangereux du pays et où les Peaux-Rouges ne sont pas toujours de vrais Peaux-Rouges...
Moins bon que le premier opus, ce second film avec Davy Crockett comporte quelques bonnes idées mais trop rares pour nous tenir en haleine, pour nous passionner de bout en bout. L'histoire est assez faiblarde, les effets aussi, tout comme les "combats". La majorité du film se passant sur la rivière, ne vous attendez pas à beaucoup de rythme, beaucoup d'action, on assiste surtout à du bavardage !!
Très légèrement supérieur au premier opus, "Davy Crockett et les pirates de la rivière" se trouve être un film agréable à visionner. L'histoire est sympathique, Fess Parker campe avec sérieux le rôle principal et la réalisation propose quelques séquences bien divertissante.
Davy Crockett et les pirates du fleuve est le deuxième film avec ce héros, et c’est un petit film d’aventure divertissant, bien qu’enfantin et qui fait son âge. Au casting pas de grands noms, mais des acteurs convaincants qui prennent leur rôle avec suffisamment de sérieux, tout en apportant une touche humoristique qui évidemment était attendu dans un film produit par Disney. Fess Parker endosse donc le rôle de Davy Crockett, avec maitrise, mais il se fait quand même voler la vedette par un Jeff York déchainé qui se lâche complétement dans la peau du braillard et musclé Mike Fink, le roi du fleuve. Honnêtement j’avais quelque crainte de son côté, je craignais un vilain surjeu, et pourtant non, l’acteur se débrouille bien et fait presque de son personnage le héros. Le scénario est un peu simplet, et manque de véritable relief. Il n’y a pas tellement de gros rebondissement, le film avance avec de petites mésaventures sympathiques, mais on ne peut pas dire que le métrage soit réellement très percutant dans son intrigue. A mon sens la première partie sur le fleuve est la meilleure, la seconde apparaissant comme un prolongement moins intéressant, bien qu’un peu plus nerveux. Bon, c’est sympa, mais c’est vrai que ça plaira plus aux enfants, et pour ma part je suis certain que j’aurai fort apprécié tout jeune ce métrage. Visuellement le film peut compter sur des décors de bonne tenue. Le film, comme beaucoup de film Disney d’ailleurs fait authentique, alors même qu’on sent que le budget était ici certainement restreint. On le remarque dans des scènes d’action assez minimaliste, l’usage de stock shot notable, un manque de figurants, des lacunes que Norman Foster essaye de combler dans la mesure du possible, avec une mise en scène intelligente, mais qu’il ne parvient pas complétement à effacer. Bon, ce n’est pas en soit vraiment problématique, mais c’est certain que les spectateurs un peu trop regardant tiqueront quand même sur ces lacunes. La bande son est très dynamique, très nerveuse, elle laisse parfois une impression surprenante, mais elle trouve une place attrayante. Au final Davy Crockett et les pirates du fleuve est le genre de film qui ne surprend pas vraiment, et qui est ce qu’il est : c’est-à-dire un petit film d’aventure tout public des années 50, naïf certes, sans grand budget bien sûr, mais sympathique, divertissant avec pas grand-chose, et qui a quand même quelque chose de bienfaisant je trouve. Bref, à voir si vous en avez l’occasion, même s’il est rare. 3.
Walt Disney Pictures avait au départ réalisé trois téléfilms de 45 minutes chacun (Davy Crockett contre les Indiens - 1954, Davy Crockett au Congrès - 1955 & Davy Crockett à l'Alamo - 1955). Suite à ce succès, ils décidèrent d’en produire deux autres (Davy vainqueur des rapides - 1955 & Davy et les pirates de la rivière - 1955). Les trois premiers furent distribués au cinéma sous un seul et même film, intitulé Davy Crockett - Roi des trappeurs (1955) et les deux derniers sous le titre : Davy Crockett et les pirates de la rivière (1956). Ce second et dernier film est comme pour son prédécesseur, d'une simplicité désarmante. Le scénario est rachitique, grotesque et prévisible de bout en bout, heureusement pour nous, contrairement au premier film qui totalisait 150 minutes (soit trois téléfilms), cette fois-ci, il ne dure que 80 minutes (deux téléfilms), mais elles n'en restent pas moins exaspérantes par tant de simplicité (tournage en transparence, utilisation abusive de stock-shots animalier, etc). Un divertissement à réserver exclusivement aux enfants.
« Davy Crockett et les pirates de la rivière » est un film Disney datant de 1956 qui a l'originalité de ne pas être une suite de « Davy Crockett, roi des trappeurs » (1955) car ce dernier film se termine sur la bataille de Fort Alamo et la destinée tragique du héros. « Davy Crockett et les pirates de la rivière » est, comme tous les films Disney, un film familial. Il se divise en deux parties : la première s'attache à la rivalité entre Davy Crockett et un « roi de la rivière », tandis que la deuxième est en lien avec l'éradication d'un groupe de pirates qui font accuser les Indiens de leurs crimes. L'histoire est plutôt distrayante, les personnages sont sympathiques, il y a de l'humour et des situations cocasses, ainsi que quelques scènes d'action. Rien de bien original, mais plaisant pour les nostalgiques comme moi qui retrouvent l'un des personnages de leur enfance.
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Film très décevant. Aucune action terrible. Tout se passe sur un radeau en plastique. Doublage mauvais. De plus de rivière il n'y a qu' un film projeté sur un écran de cinema avec les acteurs devant. Nul. Ne vaut pas 1 euros en dvd.
Tout comme le précédent opus, Davy Crockett, roi des trappeurs (Davy Crockett, king of the wild frontier), ce film est en réalité la combinaison de deux épisodes de la série télévisée de Walt Disney "Davy Crockett".
Le film est un "prequel" puisque le 1er film finissait sur la mort de Davy à Fort Alamo.
Dans ce nouvelle opus, on retrouve donc Davy et son acolyte Georges qui vont tenter de descendre le fleuve Ohio jusqu'à la Nouvelle Orléans pour vendre leurs peaux de bêtes chassés durant l'hiver. La première partie du film (soit l'épisode "Davy Crockett's Keelboat Race") raconte comment Davy Et George vont à la suite d'un pari, faire la course sur le fleuve à bord de bateau à perche contre Mike Flint, le roi du Misissipi. Coups tordus, aventures au fil de l'eau, et chansons ponctuent le film pour démontrer au final que les justes triomphent toujours.
Dans la seconde partie (soit l'épisode "Davy Crockett and the River Pirates"), Mike ramène Davy et Georges en amont du fleuve. Suite à des attaques mystérieuses de pirates indiens, les 3 compagnons décident de découvrir se qui se trament réellement derrière tout ça afin d'éviter la guerre civile.
Dans la pure tradition Disney, le film est centré sur un héros blanc comme neige, fort des valeurs américaines, défendant les indiens et déjouant les pièges des méchants tout en donnant de belles leçons de morale. Le personnage de Georges E. Russell retranscrit le côté amusant et bien entendu introduit la célèbre musique de Davy Crockett en chantant sa balade à tout bout de champ. Mais c'est le personnage de Mike Flint qui reste l'élément comique principal ce qui fait que ce film tranche avec le 1er volet par son ton résolumment plus drôle. Ce 2e volet ne se contente pas d'être une succession de tableaux supposés historiques comme le 1er, proposant un scénario inédit ce qui nous donne un très agréable divertissement tout public.
Un 3e opus viendra ensuite : "Davy Crockett, sur la route de l'Oregon"