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romano31
279 abonnés
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4,0
Publiée le 4 janvier 2020
En adaptant lui-même son roman, Clive Barker livre un film atypique, gore, sale et malsain et créait un personnage culte du cinéma d'horreur : Pinhead. Ce qui m'a le plus frappé en visionnant le film, c'est à quel point les maquillages sont réussis. Ils sont vraiment bluffants, encore aujourd'hui. Et j'adore le design des Cénobites, habile mélange entre horreur pur et SM. De plus, toute la mythologie autour de ces derniers est vraiment excellente et sera bien approfondie dans le deuxième opus. Un très bon film d'horreur donc, culte qui plus est, et qui fonctionne encore très bien aujourd'hui.
Helleraiser premier du nom, et non toute ces suite de l'enfer hormis le 2, est vraiment pas mal dans son approche de l'horreur. Le film n'a pas trop mal vieilli, et la scène lorsque Franck reviens de l'enfer est plutôt réussi et fait toujours sont petit effet malgré ses 32ans d'âge. Les maquillages sont bons, et les cénobites bien que peu présents, sont réussies. Classique de l'horreur de la fin des années 80 qui mérite d'être vu au moins une fois, en attendant un probable remake
Ambiance angoissante, univers gore, scénario intrigant. La réalisation de Clive Barker fonctionne, les effets spéciaux ont vieillis mais pour un film des années 80, il reste vraiment bien.
Étant gosse en passant le chemin devant la vidéothèque, avec les yeux cachant l’image de l’affiche, un chauve qui fait une de ses têtes ressemblant aux aiguilles d’acupuncture. C’est la trace du défiguré à la douleur transpercée de clou jusque dans le sang de sa chair depuis le début de l’intrigue par un cube démoniaque, une fois le casse tête résolu, les portes de l’enfer lui sont ouvert. C’est gore, sale et ça fait série B par les effets de maquillage, l’interdiction au moins de 12 ans va bien à ce film, je ne soupçonne pas l’influence pour les jeux vidéos horrifiques des années 90. Le visuel n’a rien d’extraordinaire, ça fait moche, nous plongeons dans les années 80 que l’on connaît aux moyens limités, comme pour guider le personnage à entrer dans le niveau du monde des ombres maléfiques par le contour de ce labyrinthe. Les thèmes de fantasmagorie, de plaisir sadomasochiste par delà le royaume des morts et des errances de scénario fantomatique. La mise en scène est assez ennuyeuse avec cette prolifération anatomique rouge sang, j’ai pris peur au moins une fois, ce n’est qu’une question de mental pour les fous qui endurent la souffrance imposée par leurs visions maladives.
Il faudrait peut-être se remettre dans le contexte de la fin des années 80, car il faut avouer qu’aujourd’hui « Hellraiser le pacte » a sacrément vieilli. La photographie gothique, l’histoire ambigüe et surtout les effets spéciaux sont totalement dépassés, presque irregardables. Un homme prend possession d’une boîte maléfique qui le transporte dans un monde où de monstrueuses créatures le dévorent. Quelques années plus tard, il prend contact avec l’épouse de son frère et la convainc de lui apporter des hommes pour les dévorer à son tour et ainsi voir son corps se régénérer. Ce film d’horreur de Clive Barker se veut un mélange de fascination fantastique et de perversion. En adaptant son propre roman, le romancier-cinéaste pose alors les bases de ce qui sera une longue franchise dans le cinéma d’horreur, mais qui perd son souffle à chaque décennie qui défile. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Un pur classique du genre, un ovni total, un film incroyable tout droit sorti de la tête de Clive Barker, écrivain de génie. Les personnages sont très originaux, tout comme les décors, et le scénario offre une multitude de possibilités. Barker choisit d'emmener le spectateur dans un monde novateur, malsain et sadomasochiste, à mi chemin entre le plaisir et la souffrance, où règne une ambiance vraiment pesante et néfaste. Certaines scènes s'avèrent très réussies, elles offrent leur pesant de gore et d'intensité, et Pinhead s'impose comme l'un des plus impressionnants et génialissimes méchants de l'histoire de cinéma.
Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
Ce film pose les bases des Hellraiser. Si je ne me trompe pas il y a 9 suites à ce film. Eh bien... Je n'ai vraiment pas envi de voir la suite.
J'ai cligné des yeux plusieurs fois non pas parce que c'est gore et effrayant mais parce que j'ai failli m'endormir! L'action se passe toujours au même endroit : spoiler: Franck a besoin de sang pour se régénérer
on se retrouve dans un vieux grenier moisi, les jeux d'ombres sont zéros, spoiler: on emmène un gus trouvé dans le bar du coin, un coup de marteau dans les dents et voilà . L'action est ultra simpliste et bien trop rapide... 1-2-3 fois la même chose on aurait pu faire preuve d'originalité... Les dialogues et acteurs principaux sont ridicules...
Pourquoi 1 étoile alors : - Une histoire qui aurait mérité meilleure interprétation, les cénobites gardien des portes des ténèbres et du paradis expient les pêchés. Franchement pourquoi pas. - Les cénobites plutôt bien fait, le mec qui claque des dents et plutôt flippant (comparé à cette espèce de gros tas dégeu qui avance on ne sait comment "pathétique"). - PinHead qui a marqué les esprits, d'ailleurs je ne comprends toujours pas...
Bon film d'horreur. Hellraiser est un film d'horreur très marqué années 80. L'histoire est plutôt prenante et les acteurs sont plutôt corrects. Au niveau des effets, on sent que ça a vieilli. On voit les marionnettes, les effets spéciaux moches mais c'est ce qui fait l'authenticité du film. Le film a quand même un point qui le démarque des autres : son ambiance. Les décors sont sales (dans le bon sens du terme), la musique est bonne et le design des monstres est superbe (Pinhead est impressionnant).
En bref, Hellraiser est un bon film d'horreur. C'est loin d'être le film du siècle mais il est bon.
Pareil !! Un monument de l horreur de ma jeunesse qui aujourd hui parait bien triste.... Quel dommage de ne plus le voir avec les yeux de la jeunesse. Car il faut l avouer le temps a fait du mal au film.... Cependant malgre peu de moyen sur ce premier opus il faut avouer que l univers mis en place est plutôt réussit les cénobites sont plutôt terrifiant !! Meme le thème de fond de l extase du plaisir ultime par la souffrance est plutôt tordu !! Mise en scène talentueuse malgre le Peu de moyen pour autant le film traine en longeur et on s ennuie vite par le peu de diversité des decords et la pauvreté du scénario...tant pis il s agissait la du premier jalont de l une des sagas d horreur les plus réussis
Jusqu'où peut-on aller pour vivre une passion sexuelle ? C'est cette question que pose Clive Barker à travers cet étonnant premier long-métrage, aux effets spéciaux certes totalement dépassés aujourd'hui, mais qui ne recule devant aucun tabou et rehaussé par la magnifique partition de Christopher Young. Film culte.
Un pur film fantastique qui lorgne largement avec le cinéma d'horreur. C. Barker fait des débuts assez fracassants derrière la caméra, sachant s'y prendre pour installer une ambiance, le tout grâce à de belles lumières et des cadrages bien pensés. Toutefois, le film devient assez vite un peu ennuyeux, l'intrigue mettant bien trop de temps à prendre forme, surtout que le personnage du père est bien trop fade. Tout n'est pas à jeter bien sûr, surtout avec cette magnifique scène de "résurrection" dans le grenier, un véritable morceau de bravoure qui fait toujours son petit effet. Les maquillages sont par ailleurs au top, si ce n'est dans spoiler: la conclusion, avec ce combat passablement ridicule, mal filmée et grotesque . Le film souffre d'ailleurs de son petit budget, se déroulant dans à peine trois décors, le rythme est lent mais il y a des envies, des idées, des plans marquants pour ce qui constitue le début d'une saga d'horreur comptant l'un des groupes de méchants parmi les plus fascinants. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
J'ai trouvé ce film de très mauvais goût. Le film est juste glauque, mais c'est tout. La frayeur vient uniquement du fait qu'il y a une surenchère dans le trash. Les acteurs sont assez moyens, pour ne pas dire mauvais. S'il y a une certaine originalité sur les costumes et maquillages, ils sont gâchés par des effets spéciaux surannés (le film date tout de même des années 80). En revanche, j'ai trouvé l'histoire à la fois assez faible comme intrigue de film, mais plutôt efficace pour introduire un véritable autour de la boîte maudite (notamment grâce aux maquillages et aux costumes des personnages). Cette boîte demeure assez intrigante. Le film m'a plus donné envie de vomir que de me réfugier sous ma couette, ce qui pour moi est plutôt le signe d'un mauvais film d'horreur, qui a besoin de recourir au glauque plutôt qu'au talent de réalisation pour faire effet.
Un couple remarié s’installe dans la vieille maison familiale de Monsieur, où autrefois son jeune apollon de frère salace et pervers perdit son âme en se vendant aux Cénobites, êtres surnaturels cultivant plaisirs luxurieux et souffrances sataniques. Imbibant encore la demeure, son âme tente de reconstituer son corps en manipulant Madame, sensible aux promesses érotiques, qui, bien vite possédée, lui amènera sur place les victimes nécessaires à l’opération, mari compris. Mais ce joyeux scenario partira dans bien des sens quand interviendront les enfants respectifs du couple, courageux ados amoureux, et surtout les maléfiques êtres mystiques, dès qu’ils comprennent le potentiel de nouvelles proies et leur crainte de voir l’ancienne leur échapper. N’ayant pas vu autrefois ce petit classique du cinéma d’horreur anglais qui suscita tant d’encre et de suites, je suis heureux d’avoir rattrapé ce retard de 30 ans. Croquignolesque festival d’horreur sanglantes aux accents de torture et de sexualité perverse, valsant au milieu d’un cube mystique transdimentionnel et d’une exquise soupe de cadavres, métamorphoses sanglantes, monstres, putréfaction et geyser d’effets spéciaux purulents, inhérent à une époque où leur outrance battait son plein, aujourd’hui un peu dépassés et suscitant quelques rires étouffés. Le scenario reste sympa, relativement cohérent dans sa narration et sa progression, et l’ensemble captive quand même jusqu’au bout le voyageur amateur du genre.
Hellraiser est un film qui date, les effets spéciaux sont là pour le prouver. Le seul intérêt reste dans le personnage très clouté de Pinehead, imposant et impressionnant. Le reste... L'histoire reste classique (un huit clos horrifique dans une maison) et certains films sont bien meilleur que ce décevant Hellraiser, premier d'une lignée de 10 films (avec celui de 2017), personnellement, je ne m'attarderai que sur le premier du nom.