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tuco-ramirez
133 abonnés
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2,0
Publiée le 17 septembre 2021
Les histoires d’amour adolescentes de Vic, 14 ans, ne m’avait guère passionné à la première diffusion du film et même à la seconde alors que j’avais l’âge du personnage. Il a le mérite de montrer le début de l’adolescence. Le scénario est aussi bien maladroit ; le montage en parallèle des amours naissantes de Vic avec les amours heurtées de ses propres parents est assez navrant. Y a pas d’âge pour aimer et chercher l’amour : ce qui est dit en substance manque cruellement de subtilité. C’est aussi souvent une accumulation de stéréotype. Mis à part le plaisir de retrouver le monde d’avant, sans portable, ni internet, c’est l’ennui qui domine. Par contre deux duos sortent leur épingle du jeu : Denise Grey/Sophie Marceau ; Brigitte Fossey/Claude Brasseur. Peu intéressé par ce film ; mon fils, 13 ans, était encore plus circonspect. tout-un-cinema.blogspot.com
U film sympathique que l'on voit e revoir avec plaisir et nostalgique en s'identifiant à la jeune ado Vic, ses premiers émois amoureux, l'émancipation progressive de ses parents en pleine tourmente conjugale et la complicité de sa grand-mère à l'esprit facétieux et libre. Nostalgie des années 80, celle des boums, des flirts avant l'avènement des réseaux sociaux et des Smartphones Servi par un belle brochette d'acteurs à la hauteur
Film pour ados de l'année 1980, il est indéniable que les filles de l'époque pouvait se retrouver dans le personnage de VIC. De même, dans ce monde de bobos parisiens où l'argent est roi et les loisirs facilement à portée, les jeunes ne pouvaient qu'espèrer faire partie de ce monde de fête et d'amour libertaire. 40 ans plus tard, la société et la jeunesse ont bien changés et cette boum (ne serait ce que le terme) semble bien dépassé et d'un autre temps. D'un point de vue cinématographique et hormis la découverte de la talentueuse Sophie Marceau, il n'y a rien à retenir de ce film dont la musique Reality est utilisé à outrance et où les jeunes personnages secondaires ne sont pas tous très talentueux.
C'est beau, c'est tendre, ça parle d'amour à tous âges, c'est simple, c'est la vie quoi ! Les relations parents-ados sont dépeintes avec tendresse. "Mais qu'est-ce qu'elle a ?" dit le père de Vic (Claude Brasseur), "13 ans !" lui répond sa femme (Brigitte Fossey). Tout ça sous la bienveillance de Poupette (alias la pétillante Denise Grey), l'arrière-grand-mère qu'on aimerait avoir. La Boum a marqué une génération, aussi par sa bande son, avec Reality de Richard Sanderson. Et aussi par la scène mémorable du paquet de chips au cinéma. On y apprend qu'on dit partir pour Cabourg et non partir à Cabourg, parmi une foule d'anecdotes et de répliques reflétant la qualité de l'écriture et du jeu des acteurs. Sophie Marceau rayonnait déjà (et fait une jolie démonstration à la guitare en interprétant Reality), annonçant une magnifique carrière. J'avais de vagues souvenirs de La Boum que j'ai dû voir vers 1985, alors que j'avais l'âge de l'héroïne. Autant dire qu'il m'était facile de me projeter. Le revoir en 2023, soit 43 ans après sa sortie, c'est prendre beaucoup de plaisir à voir un film qui n'a pas vieilli. Les rapports humains sont toujours les mêmes, seuls ont disparu les marqueurs d'une époque : la vignette auto, le téléphone fixe, les cabines téléphoniques, les boums, les slows, les permanentes, etc. À (re)voir avec bonheur.
Un film devenu culte qui est le reflet d'une époque. On suit une ado (Spphie Marceau) confronté aux premiers émois amoureux. Dans le même temps ses parents (Claude Brasseur et Brigitte Fossey) traversent une crise de couple et ont du mal à gérer la crise d'ado de leur fille. Sophie Marceau est épatante et elle d'un naturel parfait. Brasseur et Fossey sont parfaits eux aussi et n'oublions pas l'excellente Denise Grey dans le rôle de l'arrière grand-mère complice.
Super bluette pour minettes. Mais avec beaucoup d'humour grâce aux turpitudes des Parents et surtout à la grand-mère style Maud d'Arnold. Perso j'ai retrouvé avec émotion le lycée de ma khâgne 1968-1971... Et toutes ces stars de l'époque, sans "les seins de Sophie Marceau" !
Comédie culte, "La boum" révèle Sophie Marceau dans la peau d'une adolescente qui connaît ses premiers émois. Le film ne brille pas par sa mise en scène mais ce n'est évidemment pas le problème ; plus embêtant, c'est par son écriture que l'ensemble déçoit. Le schéma selon lequel les parents se déchirent pendant que leur fille insupportable drague les mecs est certes prévisible mais aurait pu au moins avoir un peu plus de charme que cet alignement de vignettes au mieux amusantes au pire carrément anecdotiques. Pinoteau ne cherche même pas à construire un tant soit peu son personnage principal, dont les caractéristiques sont données telles quelles dès le début. Agaçante et rebelle, Vic est interprété par une Sophie Marceau qui parfois convainc mais qui le plus souvent joue faux ; alors qu'elle est censée donner au film ses meilleures scènes – puisque c'est principalement elle que l'on voit à l'écran –, on retient surtout Claude Brasseur et Brigitte Fossey qui font le job en parents dépassés qui se fracturent et une arrière-grand-mère fantasque interprétée par Denise Grey qui fait valoir son expérience des hommes. Film inoffensif et plutôt aimable, "La boum" échoue néanmoins à donner une image concrète et profonde de l'adolescence.
Ce film, je le connais par coeur avec ses suites qui passent souvent à la télévision. Evidemment, le contexte a changé depuis 30 ans, "La boum" a un peu vieillit car les jeunes d'aujourd'hui ont une autre mode de vie et un autre style musical que dans ce long métrage mais l'on regarde ce film, pour ma génération et surtout celle d'avant, avec un brin de nostalgie. Puis, on s'attache aux personnages adolescents ou adultes qui ont des problèmes de couples, chez les parents d'abord avec de l'adultère (je me sépare puis je reviens) et la jeune fille de 13 ans dans ses premiers émoies amoureuses. Une bonne ambiance joviale écrite par Danièle Thompson et réalisé par Claude Pinoteau. Une belle distribution révèlant une jeune actrice qui deviendra une star, Sophie Marceau rayonnante entouré de Brigitte Fossey, Claude Brasseur, la pétillante Denise Grey et dans les roles secondaires Bernard Giraudeau ou Dominique Lavanant. Les jeunes garçons et filles dont je ne sais pas les noms qui ont du bien grandir depuis sont trés bons aussi. Magie d'adolescence.
L’histoire évoque les premiers émois amoureux d’une jeune adolescente de 13 ans. L’objet, que je revois toujours avec une certaine nostalgie, n’a rien d’extraordinaire en soit, mais pour ceux qui avaient, comme moi, l’âge de Vic au début des années 80, « La Boum » était LE film français à ne pas rater. Et puis, qui n’a pas rêvé d’avoir une (arrière) grand-mère (formidable Denise Grey) de la trempe de Poupette, hein ?
Film devenu culte . Revu avec plaisir la première fois je devais avoir un peu moins d une dizaine d années. Claude Brasseur est longtemps resté pour moi le papa idéal. Bien écrit et les débuts de Sophie Marceau...
Film culte par son aspect impact générationnel, nous voilà face à de sombres histoires de tout côté. Aujourd'hui le film apparait comme une simple comédie avec du bon gros Dreams are my reality, de jeunes acteurs talentueux et sans aucun aspect propagande.
Que celles qui avaient l'âge de Sophie Marceau à la sortie de La Boum se souviennent. Vos parents revoyaient leur vocabulaire (au diable la "surpise-partie" !) et ne s'étonnaient pas de voir qu'un crayon de khôl avait remplacé votre barette sur le bord du lavabo. Et cette fameuse bande-originale "Dream are my reality" quand Mathieu met le casque aux oreilles à Sophie, scène culte de mon enfance et que vous faisiez tourne cette musiquer jusqu'à plus soif sur l'électrophone. Sophie Marceau, c'était vous, la même salopette, les mêmes Stan Smith. Bref, vous vous sentiez comprise et aimée. Des années après, vous croquez dans cette madeleine de Proust : aie... Pour certains tout paraît daté, gentillet. Mais la patine est suffisante pour devenir joliment rétro. Le point fort : Sophie Marceau fait ses débuts mais elle est remarquable !
La Boum est un film certes ancien mais qui montre avec verité la vie des adolescent de l'epoque, leur vraie vie, sans chichis, sans detour, les acteurs sont vrais, les histoires sont realistes, pas de grand feu d'artifice, du joli vrai !
Même si l’ensemble paraît un peu naïf, on ne se lasse pas des aventures toujours d’actualité de Vic, de son arrière-grand-mère super confidente et de ses parents en pleine crise de couple. « La boum » est un film qui a révélé le tube « Dreams are my reality » et surtout Sophie Marceau aux yeux des français, quelle grâce ! Mais ce long-métrage est également un révélateur de la vie dans les années 70/80 avec son décorum, son actualité et la vie de certaines classes sociales, dommage alors qu’elles ne soient pas toutes représentées…