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Un visiteur
2,5
Publiée le 29 juillet 2018
Le teen movie à la française, aussi culte que kitsch. On parle plutôt de pré-ados ici, donc des premiers coups de coeur, des premiers slows, des premiers baisers. L'héroïne est en pleine crise d'adolescence et ses rapports tendus avec sa famille occupent une place aussi importante que ses relations amoureuses et amicales. Globalement, le personnage est insupportable, mais aussi suffisamment juste et touchant pour avoir solidement ancré Sophie Marceau dans le paysage français. Niveau ambiance, le film est vraiment dans son jus 70's-80's et vaut surtout pour les touches d'humour qu'il réserve à travers les personnages secondaires.
sophie marceau au casting et vous espériez un bon film ??? film qui a marché à l'époque mais qui est juste un film pour ado de l'époque ( 1980) et qui est aujourd'hui un navet ,avec une sophie marceau jeune mais déjà très doué en ce qui concerne le cabotinage et le mauvais jeu d'acteur .
Même pour le divertissement, je ne vois pas l'intérêt de "La Boum". Ce film qui nous montre la "pauvre" vie d'une petite prépubaire et ses déboires amoureux, est d'un ennui profond. Le tout est très mal joué, sans intérêt aucun. On retient juste le fait que Sophie Marceau y joue l'un de ses premiers rôles sur le grand écran. Je ne comprends pas comment j'ai pu autant entendre parler de ce film...
Le film qui me faisait rêver étant jeune. Vu et revu des centaines de fois je suis toujours aussi fan! Un vrai film culte qu'on se doit de voir. Certes il a un peu vieilli aujourd'hui mais il n'en reste pas moins un super film bien fait et très agréable. On passe vraiment un bon moment et ça nous replonge nous aussi dans ces moments la!
Le film d'ados a trouvé son modèle, en France en tout cas, avec cette histoire d'amour adolescente. Marceau débute ainsi sa carrière. Un grand succès public pour cette bluette insignifiante.
Epreuve obligatoire des fêtes de fin d'année : se taper des films "cultes" parce qu'on est coincés en repas familiaux... La douloureuse épreuve aura été pour moi "La Boum" qui m'a laissé de marbre et pétri dans un ennui incommensurable... Le film d'une génération ? certainement pas la mienne...
40 ans déjà et une justesse totale. S'il reste un instantané de la vie des jeunes des années 80, il n'en reste pas moins un regard toujours moderne de l'adolescence en général avec ses espoirs, ses déceptions et ses amours. Un film qui reste superbe tant d'années après, je dis chapeau!
Vu à sa sortie en salle durant ma période parisienne. Plus de quarante ans après, content de retrouver le tout premier rôle de Sophie Marceau sous les traits de Vic, jeune collégienne issue d’un milieu bourgeois. Content de retrouver le tout début des années 80 qui s’apprêtait à mettre fin aux années giscardiennes.
« Boum » : mot polysémique qui signifie explosion et surprise-partie entre autres. L’explosion est multiple dans ce titre, explosion d’une actrice débutante : Sophie Marceau ; boum des sentiments amoureux pour son personnage Vic ; boum de jeunes collégiens réunis pour danser, fumer, boire, s’embrasser ; boum, lieu magique et interdit aux parents. Les parents de Vic, François et Françoise (Claude Brasseur et Brigitte Fossey) ont failli exploser leur couple, couple en voie de disparition dans la mesure où la plupart des élèves ont des parents divorcés, séparés ou recomposés. Cette famille unie dans la difficulté permet à Vic de s’épanouir avec l’aide de son arrière-grand-mère, autre explosion de vitalité : Denise Grey.
Ainsi, « La Boum » réunit quatre générations. Claude Pinoteau ne s’attarde pas du tout sur la deuxième. La première avec Poupette, rafraichissante Denise Grey, la troisième avec les parents Françoise et François et la dernière avec Vic. Le scénario peut encore faire écho aujourd’hui. J’oserai dire que « La Boum » est une histoire inter-générationnelle. En fonction de son âge, le spectateur peut se retrouver. Il y a quarante ans, étant légèrement plus âgé que Vic, je pouvais la comprendre, et d’autant plus que j’aurais aimé avoir des parents comme elle, connaître des boum pour danser des slow avec des filles. Puis avec le temps, on se reconnaît dans les parents, même si on ne partage pas toujours la même philosophie d’éducation, toutefois on se reconnaît dans la fonction. Et tout en étant parents, on peut s’apercevoir que les reproches de Vic peuvent nous être adressés ! « La Boum » parle aux deux générations : parents et enfants.
De mon point de vue, « La Boum » n’a pas trop vieilli, le film est à l’image de Poupette : fringuant !
A que les années 80 furent catastrophiques ! On y trouvait déjà Daniele Thompson qui sévissait et nous abreuvait de dialogues insipides et un Pinoteau (qui depuis ne fait guère parler avec ses téléfilm) qui fait des films comme des clips ! Excepté le conte de fée de Marceau, le succés de la boum nous en dit long sur ce qui marche en France ! Un sacré nanar d'une crétinerie petite bourgoise qui plaît au peuple... A croire qu'Henri IV fait fantasmer une jeunesse en mal de sensation à la fin de l'ère VGE...
Chronique d’adolescence intemporelle, un film dans lequel on croque comme une madeleine de Proust avec ses personnages inoubliables, Vic (la révélation Sophie Marceau), Poupette (la géniale Denise Grey), et évidemment la BO de Vladimir Cosma dont Reality, le slow kitch de Richard Sanderson.
Qui ne connait pas aujourd’hui la chanson Reality de Richard Sanderson ? Chanson phare de La Boum de Claude Pinoteau sortie en 1980, c’est aussi sur cette danse que Sophie Marceau s’est révélée sur les grands écrans. Désormais âgée de cinquante ans, l’actrice a commencé sa carrière à 14 ans en se préparant pour cette soirée mémorable. Elle y fera en effet la rencontre de son premier amour. Autour, ses parents abordent une période difficile dans leur couple et la grand-mère respire encore la jeunesse avec ses conseils plus ou moins sages. La Boum n’est pas une comédie extraordinaire, pourtant celle-ci est devenue culte pour l’énergie et les bons sentiments qu’elle dégage. Enregistrant près de 4,4 millions d’entrées en France, La Boum atteindra presque les 8 millions en Italie. Considéré comme le film d’adolescent des années 80 en France, on aurait presque envie de se préparer une boum party… D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Un film tout en simplicité mais qui s'avère vivifiant. L'humour est bien subtil avec des dialogues hilarants et des personnages somptueux. Même si l'histoire s'avère facile l'oeuvre s'avoue être à l'honneur de l'amour et de la jeunesse.
Une adolescente de treize ans participe a sa première boum. Elle y découvrira ses joies et ses premières émotions... Enorme et inattendu succès en 1980, " La Boum " est une comédies de moeurs réalisé par Claude Pinoteau, qui est certes sympathique à suivre, mais qui paraît aujourd'hui bien démoder, ce qui est quelque part assez logique étant donner qu'il s'agit d'un film ancrée dans les années 80 et qu'il faut être de cette génération pour pouvoir pleinement l'apprécier. Néanmoins, son excellent et imposant casting, qui est composé notamment de l'adorable Sophie Marceau ( qui lança la carrière de l'actrice avec le rôle de Vic ), de Pierre Brasseur et de la charmante Brigitte Fossey ( qui jouent les parents de l'héroine ), de Denise Grey ( bien marrante à travers son personnage de Poupette, l'arrière grand-mère ), de Sheila O'Connor ( dans celle de la meilleure amie de Vic ) ou encore du regrété Bernard Giraudeau ( dans celui du prof d'allemand ), fait que le tout se visionne sans ennui, d'autant que la partition musicale de Vladimir Cosma ( dont le fameux tube " Reality " chanté par Richard Sanderson ) est rester encore dans toutes les mémoires.