Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
MCinéma.com
par Yann Kerloc'h
(...) on n'a aucun mal à comprendre son amour pour Failan, icône de l'innocence et de la beauté. L'actrice, Cécilia Cheung, est une incarnation de la grâce même.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
On voit ainsi toute la grâce et la puissance du cinéma asiatique condensées dans ce film spectral, adapté d'un romancier japonais, réalisé par un cinéaste coréen et interprété par une actrice de Hongkong (la remarquable Cecilia Cheung dans le rôle de Failan).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Antoine De Baecque
Ce n'est pas du Im Kwon-taek, mais Failan illustre la bonne tenue du cinéma coréen, longtemps considéré comme la poubelle cinématographique asiatique et qu'on sait désormais le plus costaud des nouveaux dragons, protégé par un système d'exception culturelle à la française et de solides quotas, tenu par un réseau d'acteurs et de cinéastes de talent, soutenu par un public avide et nombreux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Sophie Grassin
Aidé par deux comédiens subtils et intenses, le cinéaste coréen (...) déploie, la poésie funèbre en moins, le même rapport entre douceur et violence qu'un Takeshi Kitano.
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Failan possède ainsi une multitude de scènes purement décoratives, assez distrayantes en soi, mais qui traduisent un évident manque d'enjeux.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Echos
par Annie Coppermann
Violence, cynisme, le début du film, en petites séquences décousues, évoque l'univers de Kitano, maîtrise en moins...
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Positif
par Hubert Niogret
L'urgence, l'émotion, la qualité de description sociale du propos se marient avec un manque de maîtrise général du rythme, qui rend le film inégal et fait ressentir d'autant plus fortement une longueur qui ne se justifiait pas.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Dans cette histoire d'amour fou et platonique, l'émotion réelle ne s'épanouit guère que dans le dernier quart d'heure.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Song Hye-sung risque le balancement mécanique entre le trop-plein de noirceur et l'excès de gentillesse un peu mièvre. Mais il est sauvé, le plus souvent, par ses deux interprètes, Choi Min-sik (le magistral interprète du récent Ivre de femmes et de peinture), un concentré de détresse fruste, et Cecilia Cheung (découverte dans Shaolin Soccer), lumineuse incarnation de l'abnégation sereine.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Trois prix au festival du Film asiatique de Deauville pour un film plutôt raté.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
(...) on n'a aucun mal à comprendre son amour pour Failan, icône de l'innocence et de la beauté. L'actrice, Cécilia Cheung, est une incarnation de la grâce même.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
On voit ainsi toute la grâce et la puissance du cinéma asiatique condensées dans ce film spectral, adapté d'un romancier japonais, réalisé par un cinéaste coréen et interprété par une actrice de Hongkong (la remarquable Cecilia Cheung dans le rôle de Failan).
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Ce n'est pas du Im Kwon-taek, mais Failan illustre la bonne tenue du cinéma coréen, longtemps considéré comme la poubelle cinématographique asiatique et qu'on sait désormais le plus costaud des nouveaux dragons, protégé par un système d'exception culturelle à la française et de solides quotas, tenu par un réseau d'acteurs et de cinéastes de talent, soutenu par un public avide et nombreux.
Première
Aidé par deux comédiens subtils et intenses, le cinéaste coréen (...) déploie, la poésie funèbre en moins, le même rapport entre douceur et violence qu'un Takeshi Kitano.
Chronic'art.com
Failan possède ainsi une multitude de scènes purement décoratives, assez distrayantes en soi, mais qui traduisent un évident manque d'enjeux.
Les Echos
Violence, cynisme, le début du film, en petites séquences décousues, évoque l'univers de Kitano, maîtrise en moins...
Positif
L'urgence, l'émotion, la qualité de description sociale du propos se marient avec un manque de maîtrise général du rythme, qui rend le film inégal et fait ressentir d'autant plus fortement une longueur qui ne se justifiait pas.
TéléCinéObs
Dans cette histoire d'amour fou et platonique, l'émotion réelle ne s'épanouit guère que dans le dernier quart d'heure.
Télérama
Song Hye-sung risque le balancement mécanique entre le trop-plein de noirceur et l'excès de gentillesse un peu mièvre. Mais il est sauvé, le plus souvent, par ses deux interprètes, Choi Min-sik (le magistral interprète du récent Ivre de femmes et de peinture), un concentré de détresse fruste, et Cecilia Cheung (découverte dans Shaolin Soccer), lumineuse incarnation de l'abnégation sereine.
Les Inrockuptibles
Trois prix au festival du Film asiatique de Deauville pour un film plutôt raté.