Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
par Erwan Higuinen
1943 est un film digne.
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
Jon Avnet (...) a reconstitué minutieusement cette page d'histoire tragique de la Pologne et du peuple juif.
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Les exigences du téléfilm donnent de manière surprenante une sobriété à ce récit qui bénéficie d'une interprétation d'excellente facture, à commencer par Leelee Sobieski et Jon Voight. En privilégiant l'action, Jon Avnet évite les pièges du sentimentalisme et de la fresque édifiante. L'Ultime Révolte est un film tout à fait honorable.
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Stéphanie Thonnet
(...) 1943... s'impose comme un efficace exposé sur l'absurdité du système nazi, et offre un point de vue intéressant sur " l'art de la propagande ". Un film utile donc, qui coupe court, espérons une fois pour toutes, à toute accusation de passivité des juifs à cette période.
Première
par Nicolas Schaller
(...) la force majeure du film vient de l'aptitude du réalisateur à rendre palpable l'instinct de survie primaire et finalement irrationnel de ses protagonistes, sans sentimentalisme ni apitoiement, mais avec une énergie étonnante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
par Philippe Piazzo
Pour raconter cette formidable histoire vraie, le film s'est d'abord déployé en une série fleuve (...). Aujourd'hui, pour le cinéma, il ne dure plus "que" deux heures quarante-trois. Mais si le montage est ingénieux, les raccourcis réduisent non seulement la durée mais aussi les personnages, dont l'héroïsme ressort de façon si aiguë qu'il semble caricatural.
Chronic'art.com
par Frédéric Bas
Enfin, en dépit des bornes chronologiques et des cartons explicatifs inscrits à l'écran, l'action n'apparaît jamais que dans la toute-puissance de la fiction hollywoodienne, inventée de bout en bout. Face au spectacle de l'écran qui montre un nazi assassiner pour rien un musicien juif, il faut sans cesse résister à l'assaut des émotions pour se dire enfin : "Ca a été réellement l'Histoire". C'est cet empêchement à se soustraire à la vague des larmes faciles qui est parfois appelé "banalisation".
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cine Libre
par Benjamin Decoin
Le film remplit son contrat - moral tout au moins - même si on peut lui reprocher quelques détails. Mais – et tout est dans ce mais – il s'agit avant tout d'une mini-série. Le scénario et la mise en scène sont formatés pour cette diffusion, non une autre. Or, un film, dans une salle obscure, ne se regarde pas comme une mini-série, surtout lorsqu'il dure trois heures.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
par Edouard Launet
(...) si Avnet réussit à filmer un bout de l'Histoire, c'est au détriment de ses personnages, réduits au rôle de simples vecteurs d'une entreprise d'édification. Cependant, parce que le film recense ça et là quelques scènes un peu moins toc que les autres, on parvient à trouver son chemin jusqu'au bout de ces trois heures, illustration honnête des atrocités auxquelles aboutit un régime raciste et totalitaire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
La reconstitution du ghetto est scrupuleuse, la réalisation de Jon Avnet nerveuse, l'interprétation sans faille (...), mais... c'est de la télé, pas du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par François Gorin
Souvent au bord de l'étouffement, le film convainc le plus quand il emprunte au cinéma d'action ceratine faculté de faire éprouver physiquement les situations extrêmes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Véronique Le Bris
Regroupés dans des caves, quelques survivants parviendront même à s'échapper par les égouts après trois mois de résistance héroïque. Et c'est justement cet héroïsme qui pose problème. Certes, l'événement historique méritait bien un film. Mais le maniérisme emphatique de la mise en scène signée Jon Avnet (...) entache d'un romantisme inadapté une oeuvre qu'il aurait fallu sobre. C'est dommage, surtout pour les interprètes qui restent malgré tout convaincants.
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
1943 est un film digne.
Le Figaroscope
Jon Avnet (...) a reconstitué minutieusement cette page d'histoire tragique de la Pologne et du peuple juif.
Le Monde
Les exigences du téléfilm donnent de manière surprenante une sobriété à ce récit qui bénéficie d'une interprétation d'excellente facture, à commencer par Leelee Sobieski et Jon Voight. En privilégiant l'action, Jon Avnet évite les pièges du sentimentalisme et de la fresque édifiante. L'Ultime Révolte est un film tout à fait honorable.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
(...) 1943... s'impose comme un efficace exposé sur l'absurdité du système nazi, et offre un point de vue intéressant sur " l'art de la propagande ". Un film utile donc, qui coupe court, espérons une fois pour toutes, à toute accusation de passivité des juifs à cette période.
Première
(...) la force majeure du film vient de l'aptitude du réalisateur à rendre palpable l'instinct de survie primaire et finalement irrationnel de ses protagonistes, sans sentimentalisme ni apitoiement, mais avec une énergie étonnante.
Aden
Pour raconter cette formidable histoire vraie, le film s'est d'abord déployé en une série fleuve (...). Aujourd'hui, pour le cinéma, il ne dure plus "que" deux heures quarante-trois. Mais si le montage est ingénieux, les raccourcis réduisent non seulement la durée mais aussi les personnages, dont l'héroïsme ressort de façon si aiguë qu'il semble caricatural.
Chronic'art.com
Enfin, en dépit des bornes chronologiques et des cartons explicatifs inscrits à l'écran, l'action n'apparaît jamais que dans la toute-puissance de la fiction hollywoodienne, inventée de bout en bout. Face au spectacle de l'écran qui montre un nazi assassiner pour rien un musicien juif, il faut sans cesse résister à l'assaut des émotions pour se dire enfin : "Ca a été réellement l'Histoire". C'est cet empêchement à se soustraire à la vague des larmes faciles qui est parfois appelé "banalisation".
Cine Libre
Le film remplit son contrat - moral tout au moins - même si on peut lui reprocher quelques détails. Mais – et tout est dans ce mais – il s'agit avant tout d'une mini-série. Le scénario et la mise en scène sont formatés pour cette diffusion, non une autre. Or, un film, dans une salle obscure, ne se regarde pas comme une mini-série, surtout lorsqu'il dure trois heures.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
(...) si Avnet réussit à filmer un bout de l'Histoire, c'est au détriment de ses personnages, réduits au rôle de simples vecteurs d'une entreprise d'édification. Cependant, parce que le film recense ça et là quelques scènes un peu moins toc que les autres, on parvient à trouver son chemin jusqu'au bout de ces trois heures, illustration honnête des atrocités auxquelles aboutit un régime raciste et totalitaire.
TéléCinéObs
La reconstitution du ghetto est scrupuleuse, la réalisation de Jon Avnet nerveuse, l'interprétation sans faille (...), mais... c'est de la télé, pas du cinéma.
Télérama
Souvent au bord de l'étouffement, le film convainc le plus quand il emprunte au cinéma d'action ceratine faculté de faire éprouver physiquement les situations extrêmes.
Zurban
Regroupés dans des caves, quelques survivants parviendront même à s'échapper par les égouts après trois mois de résistance héroïque. Et c'est justement cet héroïsme qui pose problème. Certes, l'événement historique méritait bien un film. Mais le maniérisme emphatique de la mise en scène signée Jon Avnet (...) entache d'un romantisme inadapté une oeuvre qu'il aurait fallu sobre. C'est dommage, surtout pour les interprètes qui restent malgré tout convaincants.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr