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Votre avis sur Solaris ?
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Superbe, un Georege Clooney tout en retenu, une Natasha McElheone superbe de sensibilité, un film plat où rien ne se passe, où la folie s'amplifie de plus en plus grâce à une réalisation superbe, lisse, esthétique ! MAGNIFIQUE !
Remake d'un classique du cinéma russe signé Andrei Tarkovsky, "Solaris" avait de quoi séduire mais a eu le tort de s'être livré à une campagne de publicité mensongère lors de sa promotion en mettant en avant sa star George Clooney (et une scène où l'on peut voir ses fesses !) et une bande-annonce qui ne reflète pas le choix de Steven Soderbergh de faire dans le contemplatif. Comment dès lors ne pas décevoir les attentes d'un public à peine sorti du classieux "Ocean's Eleven" (pour l'association Clooney - Soderbergh) et redécouvrant les joies des duels au sabre laser avec la nouvelle trilogie "Star Wars" (pour le trip SF dans l'espace) ? Si le film était sorti à une autre période (et avec une promotion plus honnête), il y a fort à parier qu'il n'aurait pas subi le même sort. Car, il faut admettre que ce "Solaris" sort des sentiers battus de la science-fiction pour davantage s'intéresser au terrible cas de conscience qui se pose au héros (George Clooney donc, impeccable) dont la proximité avec la mystérieuse planète Solaris va le mettre en présence de sa défunte femme (Natasha McElhone, troublante). Le film oblige d'ailleurs le spectateur à choisir entre la raison (accepter qu'il ne s'agisse que d'une hallucination et faire le deuil de son amour) et la passion (tenter de sauver ce qui ne peut pourtant plus l'être), ce qui est plutôt rare au cinéma et donne quelques scènes bouleversantes. Pourtant, ce dilemme, passionnant sur le papier, est noyé par la mise en scène franchement chiante de Soderbergh qui semble ne jamais se lasser des multiples longueurs de sa réalisation et de l'austérité de ses dialogues. Une austérité pas franchement indispensable qui plombe le film et m'empêche d'accorder une 2nde étoile !
Comment trouver ce film magique, extraordinaire !!???
Il ne se passe absolument rien ! C'est plat ! Il y a plus de mouvement dans un aquarium ! Pire que le pire des films français. Ca aurait pu être un banal court-metrage, mais les mauvaises prises de vue lentes, lentes, lentes... en font une soupe encore jamais atteinte dans la science fiction américaine ! Une note : 4/20 pour les décors.
Conseil : A éviter au plus vite....
Il ne se passe absolument rien ! C'est plat ! Il y a plus de mouvement dans un aquarium ! Pire que le pire des films français. Ca aurait pu être un banal court-metrage, mais les mauvaises prises de vue lentes, lentes, lentes... en font une soupe encore jamais atteinte dans la science fiction américaine ! Une note : 4/20 pour les décors.
Conseil : A éviter au plus vite....
Comment décrire ce chef d'oeuvre !!
Dylan Thomas est bel et bien le fil conducteur dans ce très bel ouvrage du Cinéma, les amants se perdront mais l'amour restera et la mort n'aura pas d'empire, résume très bien cette quête de l'homme.
Aux portes de l'éternité, tu chercheras ton ame, tes regrets ne resteront pas douleur, tu toucheras au but ultime, approcher Dieu, l'existence ne sera pas vaine, et l'amour triomphera.
Cliff MARTINEZ nous envoute par sa musique qui contribue à placer cette atmosphère si particulière.
C'est cette existence que nous devons toucher du doigt, aimer, être aimer, exister, ne pas faillir et ne pas mentir, vivre enfin, sans masque, sans être une marionnette.
Merci Steven SODERBERGH
Dylan Thomas est bel et bien le fil conducteur dans ce très bel ouvrage du Cinéma, les amants se perdront mais l'amour restera et la mort n'aura pas d'empire, résume très bien cette quête de l'homme.
Aux portes de l'éternité, tu chercheras ton ame, tes regrets ne resteront pas douleur, tu toucheras au but ultime, approcher Dieu, l'existence ne sera pas vaine, et l'amour triomphera.
Cliff MARTINEZ nous envoute par sa musique qui contribue à placer cette atmosphère si particulière.
C'est cette existence que nous devons toucher du doigt, aimer, être aimer, exister, ne pas faillir et ne pas mentir, vivre enfin, sans masque, sans être une marionnette.
Merci Steven SODERBERGH
Soderbergh s'illustre pour la 1ére fois à la SF aprés avoir touché a presque tout.Et le résultat est à la hauteur de ces précédents films.Car il nous emporte dans un voyage hypnotique grace à la lenteur du film mélangé avec la magnifique musique de Cliff Martinez qui n'endort pas, bien au contraire.Cela laisse une étrange sensation de légèreté qu'on ressent notament dans elephant ou 2001 l'odyssé de l'espace.De plus il propose une réfléxion sur l'amour en mélangeant passé et présent,réalité et réve,avec dans le role de l'amant le grand George Clooney qu'on aimerait voir plus souvent dans ce genre de registre,et dans le role de la défunte la trop rare et étrange Natasha McElhone.Bref comme a chaque coup Soderbergh nous étonne et ne nous laisse jamais indem.
SOLARIS est un film d'une rare beauté visuelle et sonore qui hypnotise littérallement le spectateur. Chaque scène dégage de la poésie emprunt de mélancolie et pousse à la réflection sur les l'existence de chacun. MAGNIFIQUE
Attention ! il y a deux types de films Soderbergh : les films "commerciaux" ( Hors d'atteinte, Ocean's Eleven ...que j'aime bien) et les films "d'auteurs" ( L'Anglais, Full Frontal ... qui me rebutent). Solaris fait parti de la deuxième catégorie. Le film manque cruellement de rythme, les rebondissements sont mal gérés, l'histoire de la rencontre extra-terrestre est mal amenée.
Conclusion : si vous voulez voir un bon film de science-fiction allez (re)voir "Sphère".
Conclusion : si vous voulez voir un bon film de science-fiction allez (re)voir "Sphère".
Plus qu'une déception, un immense gâchis. Un des films les plus soporifiques jamais réalisé. Un Georges Clooney tout simplement ridicule et Léthargique. On s'ennuit ferme pendant tout le film, à croire que le réalisateur a voulu nous faire vivre de l'intérieur les paradoxes spacio- temporels qui constituent la base de ce film. A éviter absolument.
Solaris ou l'histoire d'une renaissance. Plus intimiste et plus à l'encontre des principes commerciaux, que les précédents films de George Clooney, Solaris montre un huit clos hors du commun et se déroulant dans un cadre opposé à l'atmosphère général du scénario[...] Après le succès d'Ocean's eleven, Steven Soderbergh a préféré privilégier l'image et la psychologie du spectateur, à la débauche de moyens. Un choix qu'on ne lui reprochera pas.
Esthétiquement très beau, le rythme de ce film est aussi très lent. Malgré quelques bonnes idées, l'ennui guette...
Ca fait peut-être un peu naze d'écrire que ça, mais ce film est absolument sublime, envoûtant, planant, hypnotisant... Les mauvaises langues qui ont descendu ce film n ont pas dû le comprendre comme il le fallait ! Un chef-d'oeuvre !
Solaris est tout à fait lamentable!!!!! L'histoire traine énormément en longueur, c'est lent, mais on ne s'imagine pas à quel point. Ensuite, les acteurs ne parlent presque jamais, autant dire qu'il est très amusant de regarder un film quasiment muet!! L'histoire est à la limite incompréhensible, et j'avoue que je ne suis pas certain d'avoir compris la fin!!! Seuls les acteurs sont bons... Un film qui n'apporte rien : ni divertissement, ni intérêt. En résumé, si vous ne le voyez pas, c'est pas bien grave!
Un film touchant, envoutant, déroutant, inquiétant parfois.
Le jeu de Natascha McElhone est boulversant.Celui de Clooney est merveilleux d'intelligence et d'expressivité. Cet acteur est exceptionnel.
La sensibilité et la profondeur des sentiments sont parfaitement rendues. La photo du film est superbe, l'ambiance est soignée, la musique est prenante et vous arrache des larmes de pure émotion aux scènes les plus fortes.Le film vous remue de l'intérieur.
* La perte d'un être cher
* le souvenir
* la culpabilité (surtout celle d'un médecin)
* Le désir de revivre pour toujours les mêmes instants -oh temps, suspend ton vol-
* Le souvenir qui reconstruit l'être aimé (mais dans quelle mesure ?)
* Peut-on vivre avec une illusion, la vie ne serait-elle qu'un songe ?
* Quel est le prix à payer: celui d'affronter ses pires cauchemars ?
* et où est la solution ?:
la mort, la science, l'amour ?
La question du rapport entre rève et réalité est présente dans de nombreuses oeuvres, depuis Platon, en passant par Caldéron, pour continuer aujourd'hui avec Matrix, ou Solaris. La question du rapport virtuel / réel se pose.
Des questions profondes, une vision humaniste, à la Blade runner (ex. de thème: définition d'un invidiu par rapport à sa mémoire):
Si la richesse d'une oeuvre réside dans la richesse des liens qu'elle entretient avec les autres éléments de la culture, alors cette oeuvre est riche. Vous vous interrogerez longtemps encore après avoir vu Solaris
Sensibilité, envoutement, sublime et mystère métaphysique: voilà les maîtres mots de ce chef d'oeuvre.
Un joyau à ranger parmi les meilleurs films de SF.
Le jeu de Natascha McElhone est boulversant.Celui de Clooney est merveilleux d'intelligence et d'expressivité. Cet acteur est exceptionnel.
La sensibilité et la profondeur des sentiments sont parfaitement rendues. La photo du film est superbe, l'ambiance est soignée, la musique est prenante et vous arrache des larmes de pure émotion aux scènes les plus fortes.Le film vous remue de l'intérieur.
* La perte d'un être cher
* le souvenir
* la culpabilité (surtout celle d'un médecin)
* Le désir de revivre pour toujours les mêmes instants -oh temps, suspend ton vol-
* Le souvenir qui reconstruit l'être aimé (mais dans quelle mesure ?)
* Peut-on vivre avec une illusion, la vie ne serait-elle qu'un songe ?
* Quel est le prix à payer: celui d'affronter ses pires cauchemars ?
* et où est la solution ?:
la mort, la science, l'amour ?
La question du rapport entre rève et réalité est présente dans de nombreuses oeuvres, depuis Platon, en passant par Caldéron, pour continuer aujourd'hui avec Matrix, ou Solaris. La question du rapport virtuel / réel se pose.
Des questions profondes, une vision humaniste, à la Blade runner (ex. de thème: définition d'un invidiu par rapport à sa mémoire):
Si la richesse d'une oeuvre réside dans la richesse des liens qu'elle entretient avec les autres éléments de la culture, alors cette oeuvre est riche. Vous vous interrogerez longtemps encore après avoir vu Solaris
Sensibilité, envoutement, sublime et mystère métaphysique: voilà les maîtres mots de ce chef d'oeuvre.
Un joyau à ranger parmi les meilleurs films de SF.
Un peu décevant de la part du réalisateur qui voulait s'essayer au genre fantastique mais malheureusement pour lui et pour nous son film n'est qu'une sucession d'images sans queue ni tête qui frôle l'ennui au bout d'un moment. Il faut être sincère : difficile de rester jusqu'à la fin.
D'accord on peut dire que c'est magnifique dans le registre onirique, ou drmatique, que c'est sensuel ou je sais pas trop quoi... Mais malgré tout, je ne me suis jamais autant ennuyé au cinéma ... La réalisation est plate, sans envergure, trop lente; George Clooney et Natasha McElhone semblent perdus dans le vague; quant aux seconds rôles on en parlera même pas. Enfin même si Soderbergh effleure une petite émotion à quelque reprises, l'enui a pris le pas sur la magie depuis longtemps...
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