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Alasky
348 abonnés
3 397 critiques
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2,5
Publiée le 25 mai 2009
Super divertissement ! On suit les personnages plus décalés les uns que les autres et on s'atache à eux tout au long du film que je ne peux que vous conseiller !!!
Et bien je suis très déçu par un film dont la presse de qualité a fait tout un cinéma. Bon pour ceux qui ont vu Shortbus ce film va vous paraître très fade. Il n'y a rien de bien méchant, il aurait été intéressant d'inverser le rôle de l'homo manchanceu avec celui de l'hétéro racôleur. Seul le rôle de la fille est intéressant, une sorte de frustration contemporaine d'être vierge dans la "civilisation du cul" comme disait Godard. Rien de bien original dans le scénario, peu de folie, peu d'immoralité, peu de surprise (hormis la dégoutante scène du début). Les plans n'ont rien d'extraorinaire, la caméra reste très prude sur la plupart des scènes, efin bon c'est fade. Que l'on ne parle pas d'interrogations dans ce genre de film qui sur certains côtés me fait penser aux poupées russes dans cette bienséance endormante. Les effets musicaux sont cependant très intéressants. Toutefois le sujet de la drogue est traité très superficiellement et les petites phrases pseudo-phylosophiques ne serven absolument à rien. Bon que lon ne me dise que j'ai pas compris le film qui plaira certainement à une élite hétérosexuelle branchée qui pense dans un nombrilisme effroyable que seule elle à le droit de participer à la "civilisation du cul" et que finalement la drogue montre sa capacité à éveiller ses sens. L'immoralité ne se pense pas, elle ne s'approprie pas, elle se fait naturellement dans le désir et là pour le coup ça sonne faux et prétentieux sinon de l'auto-satisfaction.
Adaptation de Bret Easton Ellis , ce film est bien trash mais je pense assez fidèle au bouquin et décrit un phénomène qui n'est sans doute pas si éloigné que ça de la réalité... Ian Somerhalder est assez drôle dans son rôle de gay tombé sous le charme de Sean Bateman ( Van Der BEEK) mise en scène et montage original qui peut lassé à la longue.... Dommage qu'il n'y ait pas de vraiment de conclusion à ce film , mais pouvait -il y en avoir une ?
Qui a dit que les romans de Bret Easton Ellis étaient inadaptables ? Après un American Psycho osé d'une réalisatrice qui a donné son meilleur rôle à Christian Bale, voici que Roger Avary se plie à la tâche du non moins barré Rules of attraction. Personne d'autre que ce "génie fou" tel que l'a surnommé B.E.E aurait été capable de capter avec autant de justesse ce qui ressort du livre, d'y inculquer une forme qui fait honneur à l'écriture furtive de Bret, et même d'en transcender les écrits. Car, si le livre est probablement le moins bon de la bibliographie de l'auteur américain, nul doute que l'adaptation est l'une des meilleures de l'histoire du cinéma. L'éloge serait trop osée si le résultat n'étais pas aussi prodigieux.
Le film est un condensé d'ingéniosités constantes, qui n'apparaissent pas superficielles ou prétentieuses mais en parfait accord avec le discours du scénario. D'une séquence d'introduction d'anthologie rythmée à deux cent à l'heure en passant par des split screens inspirés et une scène de suicide un coup touchante et un coup hilarante, le sublime se fond dans le cadre. Avary a même le culot de finir le film de la même manière qu'Ellis finit ses phrases, en oubliant les points. Le génie du réalisateur transfigure littéralement la vie de Camdem pour nous livrer une expérience universitaire diabolique dans tous les sens du terme. Un profond regard porté sur des jeunes à la dérive, dont les apparences glaciales ne cachent que des hurlements internes. Un des personnages se prend pour un vampire, et le film se résume à cela, une chasse constante, des morsures furtives, une nuit interminable et une peur chronique du soleil, et du sommeil.
Rien ni personne n'entrave cet enchaînement de séquences toutes aussi jouissives les unes que les autres. Un casting de premier choix donne aux personnages Ellisien l'ampleur qu'ils méritent, comme Victor, héros du futur Glamorama, qui a le droit à un passage qui résonne encore dans mes oreilles, vibrant avec autant d'intensité après deux, trois ou quatre visionnages. Ou encore Shanny Sossamon qui est là dans un registre qui lui sied à merveille, séduisante et complexe comme jamais. D'une vie d'égoïsme se créer un partage ahurissant que seuls nous autres spectateurs parvenons à apprécier sans remords. C'est une véritable expérience, à prendre avec le sourire ou non, à creuser ou non, mais une expérience qui est sûre d'une chose : vous faire prendre votre pied comme jamais.
Rogery Avary glisse sur l'image ce que Ellis glisse sur les pages, et le film glisse dans notre gorge comme une pilule d'ecstasy, psychédélique et brûlante, qui nous retourne à l'envers et nous fait en demander plus. Toujours plus.
Aucun rapport avec les films pour ados "alcool, sexe et blagues relous", ici il s'agit d'un film bien plus substantiel où l'on retrouve plusieurs têtes connues du petit écran. Par une réalisation originale qui en renforce l'aspect déjanté et dérangeant, le film nous plonge de manière décousue dans le quotidien d'une jeunesse à la dérive. A voir.
2002 fut une grande année, pleine de découvertes et de changements historiques majeurs pour le cinéma. C'est l'année ou Roger Avary découvrit la touche Fast Reverse sur son magnétoscope. Ah ! Et il s'en est aussi servit pour transformer un film de cul en étude sémiologique pour bobos prépubères. Mais cette partie est négligeable.
J'ai du voir au moins 15 fois ce film et je ne m'en lasse toujours pas , les scènes sont aussi bien les unes que les autres , des acteurs au top , de l'humour au drame , bref ce film tirait d'un livre est une reussite !!! 4,5/5. à voir !!!
Un film qui déroute, en effet. Ici, pas d'American Pie (les post-ado seront déçus). Les sentiments mais surtout la pensée font le plus-value de ce film. La réalisation est impeccable avec différents systèmes de caméra (voir la présentation "speed" du dernier personnage présenté) et l'idée est fort convaincante). Dasn ce cas qu'est-ce qui cloche dans "les lois de l'attraction". Tout simplement la VF et le fait qu'il reste certains clichés infects. Van Der Beek joue très très bien, surtout au niveau des expressions du visage. Seulement, la voix de Dawson enlève ce charme (après tout, j'aurai pu le voir en V.O). Concernant les clichés, il y a par exemple celui des fêtes : la dernière (ou avant-dernière, ce sera comme vous le voulez) est une soirée "baise qui peut" et, oh malheur, le réalisateur filme et met en scène des jeunes filles nues et chaudes comme des brindilles...euh oui, mais est-ce la réalité pour un "chauffe qui peut"? Je n'en ai pas l'impression. Alors soi la culture américaine me répulse au point de me décevoir par ce film, soi le réal. a péter un dernier plomb. En gros, bon film mais loin d'être culte malgré la qualité des acteurs et de la réalisation...
J'ai été agréablement surpris par Les lois de l'attraction. Ce n'est pas un film pour-ado-sur-les-ados, comme certains pourraient le penser. La réalisation est particulièrement soignée, et ca va jusqu'au générique qui va même à défiler à l'envers -sympa comme idée-. Ajoutons à ça trois acteurs convaincants : James Van Der Beek (dans un rôle à contre-emploi par rapport à celui de Dawson, dans la série éponyme), Shannyn Sossamon, et Ian Somerhalder. On se laisse emporter par cette longue et lente descente aux enfers de ces trois principaux protagonistes : Sean, Lauren et Paul. Notons également la présence de Jessica Biel dans le rôle de Lara (decidemment, le réalisateur est allé chercher ses acteurs dans des séries !)
CE FILM EST VRAIMENT BIZARRE.TANTOT IL YA DES SCENES QUI SONT TRES BIEN TANTOT IL EST CHIANT.LES ACTEURS IL YA RIEN A DIRE ILS SONT TRES BON,MON COUP DE COEUR VA A L'ACTRICE QUI JOUE LE ROLE DE LAUREN ELLE EST EPATANTE.BREF JE METS CE FILM DANS LE GENRE MYSTERIEUX IL NE MA PAS EMBALLE MAIS IL NE MA PAS FAIS CHIER ORMI QUELQUES SCENES.
Film culte de mes années lycée et que je regarde encore avec grand plaisir mais attention, ames sensibles s'abstenir! Un film très bien tourné, de façon original, et des acteurs qu'ont a pas vu assez au cinéma et surtout Ian Sommerhalder!!! Je conseille à tous ceux qui ne l'ont pas lu le boukin ki a inspiré le film "Les lois de l'attraction" de Breat Easton Ellis qui est un chef d'oeuvre de réalisme et d'auto-dérision.
Un mélange de Sexe Intentions, de Trainspotting et d'un teen movie à la American Pie : mettez tout ça ensemble et vous obtenez "Les lois de l'attraction". Du coup, vous imaginez le résultat un peu hallucinant que ça peut engendrer, avec les caricatures en plus : sexe, drogue, alcool, jeunes à la dérive, suicide, homosexualité... Tout ça dans le même film. Les images vont de pair : flashbacks à n'en plus finir, marche arrière, avance rapide, histoire qui défile à toute vitesse à la manière de "Bref"...(c'est d'ailleurs un des meilleurs moments : le voyage de Victor en Europe vers la fin de film). Pour le scénario, on s'y perd un peu, on est mal à l'aise mais la dernière demi-heure est pas mal du tout et permet de rester sur un avis positif. Avant cela, il faut se farcir des étudiants déjantés qui jouent pas trop mal, mais surtout James Van Der Beek (le frère de Patrick Bateman d'"American Psycho")...A noter que l'affiche en dit pas mal sur le film...A ne pas mettre entre toutes les mains quand même...
Adaptation du roman titre de Bret Easton Ellis, le film nous mène vers les années 80, vers cette génération X qui fascine véritablement l'écrivain, et les cinéastes l'adaptant. Nous avons ici affaire à une réalisation qui, certes, n'atteint pas l'audace du roman, mais tout en ne montrant pas, plonge dans un malaise rarement ressenti dans un film mettant en scène des adolescents. Pour dire, j'ai été aussi mal à l'aise avec ce film qu'avec Bully. Avary s'en sort à merveille pour donner vie à son oeuvre, en la livrant à une contorsion narrative tout à fait intéressante, et en pratiquant un acting passionnant. En effet, les acteurs y sont dirigés avec brio, et leur jeu, sensuel et terrifiant, en devient hypnotique. La BO est parfaitement maîtrisée, et les aficionados, comme moi, de Larry Clark, s'en trouveront comblés. Le film est bien sûr beaucoup plus pudique que le livre sur lequel il s'appuie, mais tellement bien foutu qu'au fond on se dit que ça n'est pas bien grave, et que ça ne l'empêche pas de trôner au rang de chef-d'oeuvre.
Très bonne adaptation du roman de Bret easton ellis, les acteurs sont bons, la fin est je pense une petite allusion à american psycho spoiler: quand Sean arrive à la soirée du début du film et que l'on voit couché avec la fille et finalement ca revient avec sean qui reouvre les yeux avec sa bouteille d'alcool. Est il victime du même problème que son frère ?