Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
C'est ce sujet délicat - où le vrai et le faux sont sans cesse remis en perspective - et la fascination qu'il exerce, qui font tout l'intérêt de ce premier film. Le trouble est d'autant plus fort que, dans le rôle de Thelma, Pascale Ourbih, actrice débutante, transsexuelle d'origine kabyle, semble jouer sa vie... à moins qu'elle ne vive simplement son rôle.
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
A travers Thelma (étonnante Pascale Ourbih), Pierre-Alain Meier s'attache à saisir toute la complexité d'une personnalité qui tente, tant bien que mal, de se débrouiller avec sa singularité, les limites qu'elle s'est fixée dans la négation de sa nature et de son sexe.
Télérama
par Isabelle Fajardo
Dans ce road-movie règne un climat d'arrière-saison, mélancolique, léger. On y respire à l'aise.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Isabelle Régnier
Heureusement porté par le jeu subtil et sincère des deux comédiens principaux, le film évite de justesse l'écueil du cri identitaire. Dans le rôle-titre, Pascale Ourbih fait preuve d'une grande générosité et parvient, à quelques rares moments, à transmettre une émotion.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Gérard Lefort
(...) les casse-gueule sont au rendez-vous. Le réalisateur suisse Pierre-Alain Meier les a presque tous surmontés. (...) Et surtout par la grâce de ses acteurs : Laurent Schilling (...), Nathalia Capo d'Istria (...), et Pascale Ourbih (Thelma), belle plante et bonne actrice d'elle-même. Manque peut-être ce brin de folie douce qui aurait exhaussé le film vers le roman-photo moderne.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Obejctif-Cinema.com
par Claudia Collao
Une fine couche entre fiction et réalité, troublante et engageante, existe lors de la rencontre de Vincent et Thelma. Rien ne semblait alors pouvoir briser l'intégrité déployée par Pierre-Alain Meier, pour faire corps à la sincérité atteinte. Rien sauf peut être la convention narrative et filmique dans laquelle le récit s'embourbe alors.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Première
par Christophe Narbonne
Pas toujours très naturelle, la débutante Pascale Ourbih est éclipsée par le formidable Laurent Schilling (...) qui n'a pas la tâche facile dans le rôle ingrat du cocu de la vie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
La part de fascination comprise dans Thelma offre un très beau début de trouble, une promesse non tenue, l'impression simplement que le courage a manqué.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
par Stéphane Brisset
S'il fait preuve de maîtrise technique, le cinéaste ne possède pas encore le métier pour transformer en avantages patents les aléas de son script et l'inexpérience de Pascale Ourbih, vrai transsexuel mais piètre comédienne. Dommage, car l'image est belle et les sentiments puissants, particulièrement grâce à l'interprétation de l'excellent Laurent Schilling.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Aden
C'est ce sujet délicat - où le vrai et le faux sont sans cesse remis en perspective - et la fascination qu'il exerce, qui font tout l'intérêt de ce premier film. Le trouble est d'autant plus fort que, dans le rôle de Thelma, Pascale Ourbih, actrice débutante, transsexuelle d'origine kabyle, semble jouer sa vie... à moins qu'elle ne vive simplement son rôle.
MCinéma.com
A travers Thelma (étonnante Pascale Ourbih), Pierre-Alain Meier s'attache à saisir toute la complexité d'une personnalité qui tente, tant bien que mal, de se débrouiller avec sa singularité, les limites qu'elle s'est fixée dans la négation de sa nature et de son sexe.
Télérama
Dans ce road-movie règne un climat d'arrière-saison, mélancolique, léger. On y respire à l'aise.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Heureusement porté par le jeu subtil et sincère des deux comédiens principaux, le film évite de justesse l'écueil du cri identitaire. Dans le rôle-titre, Pascale Ourbih fait preuve d'une grande générosité et parvient, à quelques rares moments, à transmettre une émotion.
Libération
(...) les casse-gueule sont au rendez-vous. Le réalisateur suisse Pierre-Alain Meier les a presque tous surmontés. (...) Et surtout par la grâce de ses acteurs : Laurent Schilling (...), Nathalia Capo d'Istria (...), et Pascale Ourbih (Thelma), belle plante et bonne actrice d'elle-même. Manque peut-être ce brin de folie douce qui aurait exhaussé le film vers le roman-photo moderne.
Obejctif-Cinema.com
Une fine couche entre fiction et réalité, troublante et engageante, existe lors de la rencontre de Vincent et Thelma. Rien ne semblait alors pouvoir briser l'intégrité déployée par Pierre-Alain Meier, pour faire corps à la sincérité atteinte. Rien sauf peut être la convention narrative et filmique dans laquelle le récit s'embourbe alors.
Première
Pas toujours très naturelle, la débutante Pascale Ourbih est éclipsée par le formidable Laurent Schilling (...) qui n'a pas la tâche facile dans le rôle ingrat du cocu de la vie.
Chronic'art.com
La part de fascination comprise dans Thelma offre un très beau début de trouble, une promesse non tenue, l'impression simplement que le courage a manqué.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
S'il fait preuve de maîtrise technique, le cinéaste ne possède pas encore le métier pour transformer en avantages patents les aléas de son script et l'inexpérience de Pascale Ourbih, vrai transsexuel mais piètre comédienne. Dommage, car l'image est belle et les sentiments puissants, particulièrement grâce à l'interprétation de l'excellent Laurent Schilling.