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Zilog
10 abonnés
161 critiques
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0,5
Publiée le 4 janvier 2007
Je me joins à ceux qui crient au foutage de gueule, il est manifeste... Ce film alambiqué, complaisant, lent, incohérent (conte? fantastique? délire?), avec pour seul effet majeur des plans fixes de 1 minute sans aucun intérêt est à mon sens du "non cinéma" majeur. Le prochain film de Haneke pourrait être la caméra de télésurveillance du cabinet de son psy, ça ferait sensiblement le même effet...
Le cinéma franchouillard-bobo-subventionné dans toute sa splendeur : chiant, bien moins palpitant qu'un Derrick, mal joué (Auteuil n'a décidément jamais été aussi bon que dans "Les Sous-Doués"...), porteur d'un douteux message politico-moraliste, plein de non-dits... Un conseil : allez le non-voir.
je m'attendais à un film plein de mystères et j'ai été servi au dela de mes espérances. Je n'ais rien compris à la fin du film et la deception ressentie a été immense, perte de temps, naufrage intellectuel et surtout remise en cause de ma personne, suis-je si nul pour ne rien comprendre ? ce film à fini par me faire réfléchir, alors que je lisais très régulièrement depuis quelques années les critiques des spectateurs sur le site d'allo ciné, je prends la plume à mon tour pour dénoncer ce genre de cinéma sans vraiment d'interets si ce n'est que de brouiller les esprits.Il mérite Z.....COMME ZERO
Gravissime de non événement ! Je me permets de poster ma première critique parce que je suis outré de la nullité du film. Ca fait plus de cinq ans que je fais confiance à Allociné, mais là on touche le fond. Pourtant, je suis plutôt bon public. Il ne se passe rien ! Des plans fixes d'une longueur éternelle. Un coupable qui n'en est pas un ! Une invraisemblance de taille ! Comment peut-on filmer de l'intérieur de l'appartement du soi-disant coupable, qui n'en est pas un ? Il n'y a rien à comprendre visiblement ! un enchainement de séquences filmés sans dénoument ! Au secours !
Vraiment effrayant...de nullite!!! On attend en s'ennuyant ferme qu'il se passe quelque chose d'interessant mais la fin arrive sans qu'il se soit passe quelque chose qui permettrait de relever les paupieres alourdies. Le theme principal a ete pompe sans vergogne a Lost Highway, mais ici sans aucun talent. La realisation est tres moche le realisateur(?) se contentant de laisser sa camera posee a quelques differents endroits. Les dialogues sont ici remplaces par des concours de silence entre acteurs immobiles, ce qui donne l'impression qu'il etait vraiment difficile de remplir les 1h30 de film. Que le cinema francais se tourne vers l'etranger pourquoi pas mais quel est l'interet de produire des films plus nuls que les pires films d'auteurs a la francaise???
Décevant. Je n'ai pas compris. Je ne dirais pas que c'est un navet, les acteurs jouent bien, le scénario nous tient en haleine, mais le déroulement est décevant... voire incompréhensible. Y a-t-il un message ou une morale à retenir pour justifier ce dénouement ou plutôt ce non-dénouement ? Pas compris ! D'autant plus dommage qu'on s'attend à mieux tout le long du film. Les plans fixes sont un peu longs. Ok, c'est fait exprès mais tout de même...
Je suis persuadé qu'un sujet de philo dont le theme serait "expliquer l'interet du film : Caché" provoquerai des résultats catastrophiques... Si il faut être intelligent pour comprendre ce film, personne n'aurait son bac, je trouve ça un peu prétentieux. J'ai bien compris de quoi traite le sujet mais quel interet ? Tu fais un film, tu filmes une rue pendant une demie heure et au final il fait 2 heures... C'est un peu se moquer du monde! C'est comme si je commançais une phrase et que...
Un scandale cinématographique!!! Le réalisateur nous mène pendant tout le film vers une sortie impossible. En effet, malgré deux très bons acteurs principaux on attend avec impatience la fin du film car on est dans le trouble durant tout le long. Malheureusement, ce dernier s'achève sur un plan fixe de sortie d'école n'apportant aucune réponse à mes questionnements. Beaucoups de critiques signalent que l'intérêt du film est justement de n'apporter aucune réponse. Si c'est le but du réalisateur je me met à écrire dès demain.
deception. Le mot n'est pas assez fort pour traduire l'effet produit par ce film. En plus d'un ennui profond, d'un jeu sans conviction pour des acteurs qui savent pourtant etre geniaux, on doit supporter un ton professoral qui nous rappelle une periode noire de notre histoire. Non abouti, voila le mot qui convient pour ce film, cette ebauche de film...
dur dur!!!! Il faut batailler ferme pour ne pas s'endormir. De long plans fixes (souvent deux fois les mêmes sans doute des probleme de budget), qui nous incitent à prendre la télécommande, et d'appuyer sur "veille". Bon courage pour les courageux qui vont le regarder!
Comme d'habitude Haneke nous livre un film glacial. Agréable à suivre tant on a envie de comprendre qui envoie les cassettes au couple Auteuil/Binoche. La déception arrive à la fin ou le réalisateur n'offre aucune réponse et conclut sur une dernière scène quasi hors sujet. J'en viens à me demander s'il y a réellement quelque chose à comprendre à cette dernière scène. Et si simplement Haneke voulait se jouer des spectateurs de son film? Pas très respecteueux de son public mais pas si étonnant à mon avis.
cest une sorte de thriller intelligent, qui na dintelligent que la non-violence des protagonistes et les effets de style du réalisateur Hanecke. Le problème est quun thriller sans véritable suspense, sans torpeur du spectateur, sans surprise autre que larrivée dune nouvelle et énième cassette ça reste vide de sens. Quand en plus de cela le réalisateur Hanecke gonfle le spectateur avec ses plans fixes à rallonge frisant lanecdotique ce pseudo-thriller fait tâche vis-à-vis de ses pairs. Que de clichés xénophobes sur le climat politique ambiant de lannée 2005 et de laprès 11 septembre. Je nai pas apprécié les flashs informatifs sur la situation en Irak parce quen termes cinématographiques cest du domaine du rajout de sensations, de sentiments. Ces flashs sont mis au montage pour donner un angle au film. Or langle du film, sil y en a un, cest la déchirure progressive dun couple sous les coups de butoir dun harcèlement. Lintrigue est tirée à quatre épingles entre oppression, drame, suspense et géopolitique sans quaucun de ces dits penchants ne soient abouties (explication détaillée sur mon blog « Fredhorizons : critiques de film »). La vraie force dHanecke est sa mise en scène froide, animale, prospectrice, inquisiteur, culpabilisante. Ses cadrages au couteau. Hormis ses 4-5 longs plans séquence Hanecke mérite son prix de la mise en scène au festival de Cannes tant elle est singulière et puissante. Si Hanecke a peut être eu la prétention dinventer un style, quil sache quil ne fera pas « école » avec ses longs plans fixes. Ce film a quand même une sacrée ambiance
Désarroi, surprise, fascination se sont succédé en moi : les fameux plans fixes dont on a tant parlé ! Dabord : Haneke se paie-t-il notre tête ? Puis : énervement. Puis : est-ce Haneke qui filme ou le corbeau ? Dautres visions me traversent : la pelouse et les buissons de « Blow up », le ciel et les maisons de « Batalla en el cielo ». Et lidée que tout cela nest pas gratuit, est tout sauf du mépris du spectateur. Nous étions moins impatients, jadis. Le doute apparaît : si ces plans sont tournés par linconnu... Nous cherchons les indices, comme Georges doit le faire. Et devenons enquêteurs. Si nous faisions le total des minutes consacrées à ces plans fixes ? Ils occupent une faible minorité du temps. Je comprends lagacement de certains spectateurs et ne conseillerai donc pas de voir ce film sans sy être préparé. Mais il fait réfléchir sur la notion de culpabilité, car il sagit ici dune faute bien réelle, pas dune culpabilité diffuse comme trop souvent. Georges cherche à la minimiser, mais elle a détruit une existence. Lenfant du couple le ressent, le malaise est palpable. Parlons des acteurs : jeu fantastique de vérité, scènes pouvant être du vécu à lintérieur du couple, personnages de Majid, sobre, bouleversant, et de son fils (Walid Afkir, très beau rôle). Lhistoire personnelle rejoint la grande histoire. Haneke est autrichien et son pays na pas encore « digéré » la période très sombre après lAnschluss. Il a adapté « La pianiste », uvre de sa compatriote Jelinek, et cela nest pas par hasard. Lanecdote de Podalydes à propos du chien (très drôle) se passe un 17 octobre, comme le massacre des Algériens de Paris ordonné par Papon en 61. Cela na rien et en même temps beaucoup à voir avec la faute personnelle de Georges (on le découvre dans le film). Il y a de multiples strates sous la scène-choc. On pense au terrorisme. On est mis en face de ses peurs même fantasmatiques. Un film utile et qui mérite un effort sur limpatience éprouvée au début.
bon film, du moins jusqu'à ce que j'arrive au générique, sans avoir compris, si qqu'un a la clé de l'énigme je suis preneuse, ce film a fait l'objet d'éloges fabuleux, moi je pensais mettre le max d'étoiles, mais franchement je suis restée sur ma faim, et j'attends toujours la réponse à ma question, qui, et pourquoi .??
Et si "Caché" était un film malhonnête ? L'écrivain Raymond Carver avait coutume de rudoyer les élèves qui, en atelier d'écriture, pratiquait dans leurs écrits, la rétention d'information. "Malhonnête, travers de paresseux", disait-il. La paresse. Parce qu'il est plus compliqué de boucler une intrigue comme un coffre-fort, de créer une chaîne inoxydable de causes et d'effets que de laisser les choses dans l'ombre, sans s'en soucier. "Manipulateur". Parce qu'il est très aisé de mener le spectateur par le bout du nez. C'est pour cela qu'il est venu. J'ajouterais, concernant Haneke, l'intellectualisme. Parce se moquer des ressorts de l'intrigue, faussement prétendre que le problème est ailleurs, au-delà des petites bassesses narratives, c'est classe et bien noté sur la petite échelle de la bonne critique. Tout dire, c'est vulgaire. Ne rien dire, c'est comme souffler au dessus d'un pot de chambre. Haneke prétend donc atteindre autre chose, derrière ce paravent narratif : un animateur d'émission littéraire reçoit d'étranges cassettes (de sa maison - comme si une sorte d'oeil géant les épiait), et des dessins anonymes morbides. Point de salut. Point de lumière ! Sa caméra salit tout, noircit tout. Intellectualise tout. Où est donc la chair ? Auteuil et Binoche, campe le non jeu, comme deux pantins plantés sur des rails. Tout est faux, gris, saturé de malaise. Tout est propos. Bien sur, le film laisse la possibilité d'une grille de lecture. Le problème principal, c'est qu'à défaut de faire du cinéma, Haneke semble filmer un essai et qu'on a l'impression d'en feuilleter les pages sans même convaincu. Il aurait sans doute mieux qu'il l'écrive.