Wesh Wesh, qu'est-ce qui se passe ? : Critique presse
Wesh Wesh, qu'est-ce qui se passe ?
Note moyenne
4,2
15 titres de presse
Aden
Chronic'art.com
Le Parisien
Libération
Télérama
Zurban
Ciné Live
L'Express
Le Monde
Les Echos
MCinéma.com
Studio Magazine
Africultures.com
Le Point
TéléCinéObs
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
De tous les films consacrés à la "banlieue", Wesh wesh... est l'un de ceux qui nourrissent le mieux la réflexion. Un film que les politiques responsables pourraient se passer en boucle.
Chronic'art.com
par Yann Gonzalez
Peuplé de personnages tragi-comiques (le junkie à la masse, la mère perdue entre tradition et modernité) souvent aux antipodes, le film joue vaillamment la carte de la pluralité, brouillant les pistes et les données pour mieux se construire. En refusant ainsi les sentiers balisés, Ameur-Zaïmeche a trouvé sa voie, celle du patchwork énervé et mal élevé, foutraque et stimulant.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
S'il fallait jeter une bouteille à la mer, jetée à l'attention de tous les énarques dont le discours est définitivement caduc, la voilà.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Philippe Azoury
Le film est comme cette balle que vient frapper ce club de golf : rapide mais en suspens, lancé vers le ciel (vous en connaissez beaucoup, des films de banlieue, où les ciels sont omniprésents dans le cadre ?) le plus haut possible, pour ne retomber sur le sol qu'en y laissant une marque profonde. Qui a dit "nécessaire" ?
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Rabah Ameur-Zaïmeche bâtit la fiction avec des blocs de réalité brute où des interprètes sous pression jouent - et parlent - leur vie avec un aplomb formidable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Claire Vassé
La cité qu'il filme n'est pas un zoo où l'on puise des arguments pour se persuader que, décidément, il n'y a plus grand-chose à faire. Loin des reportages qui trimballent toujours les mêmes idées alarmistes, Ameur-Zaïmeche n'est pas pour autant optimiste. Mais sa banlieue est composée d'êtres humains à la recherche de leur vie, non de décérébrés qui ont perdu tout sens de la citoyenneté. Et ça, ça change tout.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Thomas Sotinel
A travers le portrait d'un jeune Algérien expulsé pour trafic de drogue et revenu clandestinement dans sa cité des Bosquets, en Seine-Saint-Denis, le réalisateur Rabah Ameur-Zaïmeche évoque sans angélisme la survie dans un de ces quartiers oubliés.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Annie Coppermann
(...) le tableau n'est pas encourageant, " Wesh Wesh " peut être vu comme un document, et comme une sorte d'appel à l'aide. Au coeur, en tout cas, de l'actualité !
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
MCinéma.com
par Yann Kerloc'h
Les situations s'enchaînent implacablement, mais sans pathos mécanique. WESH WESH vise juste et regarde haut. Les scènes sont précisément cadrées, parfois même dessinées comme un tableau abstrait : des travellings fascinants sur les innombrables fenêtres des " barres " de la cité nous familiarisent peu à peu avec cet environnement pénitentiaire, étouffant.
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Africultures.com
par Olivier Barlet
Ce premier long métrage s'embourbe parfois dans quelques démonstrations inutiles mais il ressort de la multiplicité des situations et des regards une compréhension vitale du phénomène cité.
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
TéléCinéObs
par Frédéric Faure
Le choix de tourner en numérique accentue son côté reportage urbain.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Aden
De tous les films consacrés à la "banlieue", Wesh wesh... est l'un de ceux qui nourrissent le mieux la réflexion. Un film que les politiques responsables pourraient se passer en boucle.
Chronic'art.com
Peuplé de personnages tragi-comiques (le junkie à la masse, la mère perdue entre tradition et modernité) souvent aux antipodes, le film joue vaillamment la carte de la pluralité, brouillant les pistes et les données pour mieux se construire. En refusant ainsi les sentiers balisés, Ameur-Zaïmeche a trouvé sa voie, celle du patchwork énervé et mal élevé, foutraque et stimulant.
Le Parisien
S'il fallait jeter une bouteille à la mer, jetée à l'attention de tous les énarques dont le discours est définitivement caduc, la voilà.
Libération
Le film est comme cette balle que vient frapper ce club de golf : rapide mais en suspens, lancé vers le ciel (vous en connaissez beaucoup, des films de banlieue, où les ciels sont omniprésents dans le cadre ?) le plus haut possible, pour ne retomber sur le sol qu'en y laissant une marque profonde. Qui a dit "nécessaire" ?
Télérama
Rabah Ameur-Zaïmeche bâtit la fiction avec des blocs de réalité brute où des interprètes sous pression jouent - et parlent - leur vie avec un aplomb formidable.
Zurban
La cité qu'il filme n'est pas un zoo où l'on puise des arguments pour se persuader que, décidément, il n'y a plus grand-chose à faire. Loin des reportages qui trimballent toujours les mêmes idées alarmistes, Ameur-Zaïmeche n'est pas pour autant optimiste. Mais sa banlieue est composée d'êtres humains à la recherche de leur vie, non de décérébrés qui ont perdu tout sens de la citoyenneté. Et ça, ça change tout.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
A travers le portrait d'un jeune Algérien expulsé pour trafic de drogue et revenu clandestinement dans sa cité des Bosquets, en Seine-Saint-Denis, le réalisateur Rabah Ameur-Zaïmeche évoque sans angélisme la survie dans un de ces quartiers oubliés.
Les Echos
(...) le tableau n'est pas encourageant, " Wesh Wesh " peut être vu comme un document, et comme une sorte d'appel à l'aide. Au coeur, en tout cas, de l'actualité !
MCinéma.com
Les situations s'enchaînent implacablement, mais sans pathos mécanique. WESH WESH vise juste et regarde haut. Les scènes sont précisément cadrées, parfois même dessinées comme un tableau abstrait : des travellings fascinants sur les innombrables fenêtres des " barres " de la cité nous familiarisent peu à peu avec cet environnement pénitentiaire, étouffant.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Africultures.com
Ce premier long métrage s'embourbe parfois dans quelques démonstrations inutiles mais il ressort de la multiplicité des situations et des regards une compréhension vitale du phénomène cité.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
TéléCinéObs
Le choix de tourner en numérique accentue son côté reportage urbain.