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« Voilà un flic qui se donne à fond ! »...Cinèaste èclectique, John Badham dètourne ici un scènario de polar conventionnel, faisant de "Stakeout" l'un des grands succès de l'annèe 1987 au box-office amèricainl! Pour toile de fond, il raconte la planque de deux policiers face à l'appartement de la petite amie d'un repris de justice campè par le charismatique Aidan Quinn! Mais ici, les gags s'enchaînent sur un tempo endiablè, fusillades et poursuites spectaculaires dans la grisaille de Seattle sont filmèes avec un sens de l'image très affirmè! Si l'on parvient à trouver dans l'intrigue même les ressorts de la violence et de la comèdie, on ne se retrouve pas catapultè brutalement d'un registre à l'autre! Richard Dreyfuss et Emilio Estevez incarnent avec humour ces deux flics qui multiplient les blagues de potaches pour tromper l'ennui, avant de se retrouver propulsès au coeur du danger, dans un règlement de compte final (une scierie, la nuit) d'une très grande originalitè! Quant à Maria "Guadaloupè", campè par la sublime Madeleine Stowe, son joli minois fait des ravages! Dreyfuss ne tardera pas à tomber amoureux de cette crèature de rêve (et on le comprend) en devenant de plus en plus hystèrique au fur et à mesure de son avancèe dans les embarras, sous le regard affolè de son partenaire! Astucieux et amusant, toutes les qualitès requises d'un suspense nerveux et bien ficelè dans cette comèdie policière dètonnante filmèe sans temps mort, avec le tandem choc Chris Lecce-Bill Reimers! Le tout est accompagnè d'une B.O entraînante d'Arthur Rubinstein! On n'en redemande...
AMCHI
Etroite surveillance mélange à merveille plusieurs genres avec réussites, romance, polar et une dose d'humour. Les personnages sont attachants et le final à la scierie offre une bonne scène.
bsalvert
Une comédie gentillette mais qui fait passer un tellement bon moment, qu'il serait dommage de passer à coté. Pas de mauvais esprit juste une histoire simple bien amenée.
PLV : certes daté ce film reste agréable
PLV : certes daté ce film reste agréable
Un film que j'ai vu de multiples fois dans mon enfance que je viens de revoir à la télévision, le DVD est introuvable, c'est dommage, une comédie policière que j'invite les plus jeunes à voir car il y a un lot d'hilarité qu'on ne voit plus dans le cinéma d'aujourd'hui !!! Réalisé par John Badham qui est metteur en scène talentueux et dont ses longs métrages ont vite été oublié avec le temps, l'histoire raconte le voyeurisme professionnel de deux flics qui ont pour mission de surveiller l'ex fiancée d'un évadé de prison dangereux et violent devant chez elle dans une maison abandonnée. Deux équipes, un la nuit et l'autre le jour et l'aube nocturne est assez agité allant jusqu'à chez la demoiselle, tomber amoureux pour un policier déluré et les choses vont etre de plus en plus compliqué avec des péripéties hilarantes. Besion de rire, "Etroite surveillance" est pour vous. John Badham signe son meilleur film avec plein d'originalités et un duo d'acteurs déchainés qui s'en donnent à coeur joie que sont Richard Dreyfuss et Emilio Estevez. Madeleine Stowe amène de la féminité, Aidan Quinn impeccable en méchant et Forest Withaker dans un second role. Jubilatoire.
Stephenballade
Richard Dreyfuss/Emilio Estevez, telle est la tête d’affiche du succès surprise de l’année 1987 au box-office américain, signé John Badham. Pourtant, on ne peut pas dire que le scénario de Jim Kouf soit d’une grande originalité. Sur le fond, c’est même assez conventionnel, si on prend un peu de recul. C’est vrai quoi : mettre sous surveillance discrète une femme parce que son ex vient de s’évader de prison, avouez que c’est classique et pour le coup il semblerait que le film soit prévisible. Seulement voilà : mêlant avec habileté intrigue policière avec romance et beaucoup d’humour, le scénario brise le spectre de la prévisibilité. Oh je ne dis pas qu’on ne devine pas comment tout cela va finir, bien au contraire ! On le devine même très tôt. Mais c’est le remplissage qui est surprenant. D’abord parce que l’entame ne laisse en rien augurer de ce qui va suivre, du fait qu’on assiste à une évasion suivie d’une cavale durant lesquelles les cadavres s’accumulent. Ensuite parce que la planque qui s’ensuit prend une tournure inattendue. Mais avant d’en arriver à cette étroite surveillance dont on remarquera les termes très à propos, focus est donné sur les deux flics incarnés par nos deux têtes d’affiche. Et déjà le duo est plaisant, à la fois par son entente allant au-delà de l’amitié et par son engagement total. En effet, les deux flics se donnent à fond, mais l'un plus que l’autre encore… Aussi la petite phrase présente sur l’affiche « Enfin un flic qui se donne à fond… » ne ment pas sur la marchandise, mais il nous est impossible de deviner jusqu’à quel point ! Quoiqu’il en soit, Richard Dreyfuss et Emilio Estevez incarnent deux collègues, deux coéquipiers copains comme cochons. Le change leur est bien donné aussi par l’autre équipe de surveillance (dans laquelle on reconnaîtra Forest Whitaker) avec qui tous les coups pendables sont permis ! A l’image de Chris (Richard Dreyfuss), le spectateur se laissera séduire aussi par Maria McGuire, incarnée par une Madeleine Stowe plus lumineuse que jamais. Quel sourire ! je fonds… Toujours est-il que les péripéties et blagues potaches se succèdent les unes aux autres à un rythme soutenu au cours de cette surveillance qui se révèlera effectivement très étroite, Chris obéissant sans réfléchir au boum-boum de son cœur sous l’œil médusé de son collègue. Pour autant, le danger plane, et les médias sont là pour le rappeler sans cesse. On en n’attend pas moins d’Aidan Quinn, très bon dans la peau de ce meurtrier aux yeux hallucinés. Alors oui, on se laisse entraîner par cette comédie policière à la fois fraîche et légère, dopée par une réalisation certes typique des années 80 mais néanmoins dynamique car sans véritable temps morts, et balancée par une bande originale entraînante. Un très bon divertissement qui vous fera souvent sourire et même rire tout court par l’hystérie et les cabotinages d'un Richard Dreyfuss décidément plus en forme que jamais.
Un film d'action de 1987. Les deux acteurs principaux, des policiers sont excellents. Le film est vraiment rigolo, franchement des fois j'ai explosé de rire sur certaines scènes. Je me suis régalé. Un bon moment à ne pas manquer !
Richard Dreyfuss et Emilio Estevez incarnent avec humour ces deux flics qui multiplient les blagues de potaches pour tromper l'ennui, avant de se retrouver propulsés au coeur du danger, dans un réglement de compte final - une scierie, la nuit - d'une très grande originalité! Quant à Maria "Guadaloupé", campé par la sublime Madeleine Stowe! Dreyfuss ne tardera pas à tomber amoureux de cette créature de rêve (et on le comprend) en devenant de plus en plus hystérique au fur et à mesure de son avancèe dans les embarras, sous le regard affolé de son partenaire! Astucieux et amusant, toutes les qualités requises d'un suspense nerveux et bien ficelé dans cette comédie policiere détonnante filmée sans temps mort, avec le tandem choc Chris Lecce-Bill Reimers! Un chef d'oeuvre du genre, accompagnè d'une B.O entraînante d'Arthur Rubinstein, où la maîtrise de Badham n'en est pas moins totale dans sa mise en scène avec des cadrages de toute beauté...
Très bon film.
Très bon film.
Dreyfuss à son collègue :"J'suis amoureux, Bill. Ca arrive à 1 homme sur six..."petit film méconnu mais grand par le plaisir. Le film est à l'image du sourire de Richard Dreyfuss, plein de malice. Les parties de ping-pong verbals avec son partenaire Emilio Estevez, sont savoureuses à souhait. Et voir Dreyfuss s'enfoncer dans des situations de plus en plus impossibles pour les beaux yeux de Madeleine Stowe, est des plus réjouissants. Le film parvient à atteindre une dimension chaplinesque lorsque Estevez observe les agissement de son collègue de l'autre coté de la rue. Un joyeux bordel....
Redzing
La police recherche un dangereux fugitif, et espère qu'il contactera son ex-petite amie, qui vit seule à Seattle. Des inspecteurs installent une planque afin de la surveiller en permanence, cependant l'un d'eux va évidemment tomber amoureux de la jeune femme... "Stakeout" est un film policier décontracté, souvent proche de la comédie, et même potache par moment. La mise en scène de John Badham est correcte sans plus, et le scénario est plutôt prévisible. Toutefois, Richard Dreyfuss apporte beaucoup au film, grâce à son énergie, et son personnage comique de séducteur empêtré dans son double jeu. Face à lui, on remarque Aidan Quinn, qui sera habitué dans les 90's aux rôles de beau brun ténébreux, mais qui incarne ici (avec un faux air de Rutger Hauer !) un voyou violent malheureusement sous-exploité. Madeleine Stowe, dans l'un de ses premiers rôle au cinéma, est séduisante dans le rôle de la femme objet de toute les convoitises.
Une comédie policière avec deux héros moustachus, dont un joué par Emilio Estevez, réalisée par John Badham et écrite par Jim Kouf ? Pas de doute, nous sommes dans la fin des années 80.
Stakeout est un film extrêmement ancré dans son époque, qui pourrait presque n’avoir qu’un charme désuet s’il n’était pas aussi efficace, grâce à son réalisateur John Badham. L’Anglais parvient, comme d’habitude, à mettre son intrigue en image avec un talent particulier pour les scènes d’action (la course poursuite qui finit dans un bac de poissons fraîchement pêchés en est une preuve s’il en fallait), sa spécialité. Mais ce serait oublier la jolie écriture des personnages principaux, la claire plus-value de Stakeout. Cela aide aussi que ces personnages soient joués par des acteurs de grand talent comme Richard Dreyfus et Madeleine Stowe, même si le premier cabotine comme à ses grandes heures. Le vrai problème de Stakeout, si l’on enlève toutes ses qualités, c’est qu’il manque cruellement d’originalité. On a déjà vu cette histoire de policier qui tombe amoureux de la personne qu’il doit protéger, peut-être pas aussi de telle manière, mais il n’y a rien de nouveau ici. De plus, Emilio Estevez et Forest Whitaker sont cruellement sous-utilisés.
Il n’empêche que Stakeout reste un divertissement très honorable et devrait être bien plus connu que ce qu’il est aujourd’hui. Un bon divertissement de jour férié.
Stakeout est un film extrêmement ancré dans son époque, qui pourrait presque n’avoir qu’un charme désuet s’il n’était pas aussi efficace, grâce à son réalisateur John Badham. L’Anglais parvient, comme d’habitude, à mettre son intrigue en image avec un talent particulier pour les scènes d’action (la course poursuite qui finit dans un bac de poissons fraîchement pêchés en est une preuve s’il en fallait), sa spécialité. Mais ce serait oublier la jolie écriture des personnages principaux, la claire plus-value de Stakeout. Cela aide aussi que ces personnages soient joués par des acteurs de grand talent comme Richard Dreyfus et Madeleine Stowe, même si le premier cabotine comme à ses grandes heures. Le vrai problème de Stakeout, si l’on enlève toutes ses qualités, c’est qu’il manque cruellement d’originalité. On a déjà vu cette histoire de policier qui tombe amoureux de la personne qu’il doit protéger, peut-être pas aussi de telle manière, mais il n’y a rien de nouveau ici. De plus, Emilio Estevez et Forest Whitaker sont cruellement sous-utilisés.
Il n’empêche que Stakeout reste un divertissement très honorable et devrait être bien plus connu que ce qu’il est aujourd’hui. Un bon divertissement de jour férié.
Sacré nom de dieu, j'aurais mis du temps à le trouver ce film. Mais j'y suis arrivé. Et je dois bien avouer que j'en sors un peu déçu. Et pourtant, ça commence vachement bien. C'est de facture classique, ne vous attendez pas à une histoire révolutionnaire, mais le mélange entre film policier et comédie est vraiment savoureux. Pendant un peu plus d'une heure, ça envoie du steak. A chaque séquence, son bon mot ou son gag. Et les bons mots et les gags ne sont pas l'apanage d'un seul personnage. Cependant, le film prend une tournure beaucoup moins plaisante lorsqu'il se centre bien davantage sur le couple Dreyfuss/Stowe. Le ton léger qui faisait la force du film, est beaucoup moins présent. Et l'ensemble perd de son intérêt. Dommage. Mais bon, pas de quoi clouer au piloris cette "Etroite surveillance" quand même très sympa et interprétée par toute une clique d'acteurs qui s'éclatent à fond. Richard Dreyfuss en tête.
Un film qui se regarde agréablement malgré qu'il ait un peu vieilli. L'histoire est assez originale et amène des situations comiques bien trouvées, les acteurs ne sont pas trop mauvais, le rythme maîtrisé sans aucun temps mort pour le spectateur. Le final est par contre nul et plombe un peu le film. Loin d'être indispensable mais correct.
Caine78
Aujourd'hui reconverti dans la télévision, John Badham a été longtemps un nom important du cinéma de divertissement, ce que cet « Etroite surveillance » vient nous rappeler avec plaisir. Après, ne vous attendez pas à un grand moment : le spectacle reste modeste et n'atteint jamais des sommets d'inventivité ni d'intelligence, mais il serait dommage de bouder son plaisir. L'intrigue a beau être classique, elle réserve de jolis moments et il est difficile de ne pas rire devant certaines situations, le réalisateur ne se privant pas pour distiller quelques répliques savoureuses. De plus, le film a la bonne idée de se terminer sur une scène d'action particulièrement efficace, nous permettant ainsi de rester sur une bonne note. Côté interprétation, Madeleine Stowe est adorable et Emilio Estevez très correct, mais ils sont tous les deux emportés par la tornade Richard Dreyfuss, que l'on a rarement vu en si grande forme. Bref, tout cela a donc beau rester assez anecdotique, cette plaisante récréation typiquement 80's n'en est pas moins un sympathique moment à passer : une « Etroite surveillance » tout ce qu'il y a de plus honnête.
Un bon petit pollar/thriller. Pas au niveau d'un arme fatale mais pas loin.
selenie
Presque trois étoiles... Mais le tout manque un peu de gags...
L'intrigue policière n'est qu'un prétexte car ce n'est pas un vrai policier mais une vraie comédie. Les flics sont pas terribles mais ils aiment leur boulot. Tous de joyeux lurons qui tentent de concilier leur job et leur vie privée en pimentant au maximum leur quotidien pas toujours joyeux. Les gags sont bons mais les meilleurs scènes restent celles où dreyfuss se retrouve avec la fille dans sa maison surveillée par son collègue. Pas un chef d'oeuvre donc mais un film joyeux, pas prétentieux pour un sou mais efficace.
L'intrigue policière n'est qu'un prétexte car ce n'est pas un vrai policier mais une vraie comédie. Les flics sont pas terribles mais ils aiment leur boulot. Tous de joyeux lurons qui tentent de concilier leur job et leur vie privée en pimentant au maximum leur quotidien pas toujours joyeux. Les gags sont bons mais les meilleurs scènes restent celles où dreyfuss se retrouve avec la fille dans sa maison surveillée par son collègue. Pas un chef d'oeuvre donc mais un film joyeux, pas prétentieux pour un sou mais efficace.
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