Une bonne série B des années 80 réalisé par le metteur en scène Rowdy Herrington !! "T'es viré !", telle est la réplique répété au début du film par un chef videur de boite de nuits pour faire le ménage au "Double Deuce" avec certain mauvais collègues qui ne respectent pas les règles de l'établissement. Sauf qu'un riche businessman du coin sème, avec son équipe, la zizanie et la terreur dans la ville possédant les commerces et la police dans sa poche. Mais le videur nommé Dalton ne se laisse guère impressionné et plus ça avance, plus cela va ètre compliqué et dangereux pour notre héros. Long métrage que je connais par cœur après plein de visionnages quand j'étais petit, je ne me lasse jamais de le revoir, d'abord pour les acteurs avec le personnage principal joué par l'excellent et athlétique Patrick Swayze face à l'ignoble Ben Gazzara mais à ses cotés la belle Kelly Lynch et le plus cool des copains videurs joué par San Elliott qui est un grand comédien qu'on voit rarement au cinéma. La bande originale avec du rock blues est sympathique. Puis, les rebondissements ne manquent pas pour faire une oeuvre palpitante et divertissante. Les scènes d'actions sont réussis aussi. Pour les nostalgiques de cette époque ou pour les amateurs de films d'actions.
Un film devenu culte et qui n'a pas pris une ride. Le scénario est simple mais efficace. Un videur est engagé pour faire le ménage dans une boite de nuit et va très vite se retrouvé confronté à un homme de pouvoir qui fait régner la terreur dans la petite ville. Le film comporte de nombreuses scène de baston fort bien réalisées. Mais soyons clair le gros atout de ce film c'est sa vedette : Patrick Swayze. Il est vraiment au top dans le rôle du videur à la fois "cool" mais aussi intraitable et incorruptible. Il nous offre de très belles scènes de bagarre et notamment un formidable combat contre l'homme de main du grand méchant. Il y a aussi une belle romance entre lui et la jolie doctoresse du coin (Kelly Lynch très sexy). On notera aussi la présence de Sam Elliott qui incarne lui aussi un videur, ami de longue date du héros, et qui assure vraiment bien dans son rôle. Enfin n'oublions pas Ben Gazzara qui est excellent dans le rôle du petit tyran local. Bref un film à voir et revoir et qui offre un vrai bon moment aux amateurs de film d'action et qui nous donne l'occasion de revoir le regretté Patrick Swayze dans un de ses meilleurs rôles.
Un film critiqué lors de sa sortie mais devenu culte au fil des années. Culte pour sa simplicité. Culte pour le charisme de Dalton. Culte pour ses bagarres de boite de nuit. Culte pour le combat final entre monsieur Swayze et le vilain au bord de la rivière. Culte pour la cool attitude de ce videur . Avec ces défauts bien sur dues à l'époque et au manque de budget évident, road house fait partie de ces films qui reposent principalement sur le charme opérant de ses personnages. On oublie le reste, et le plaisir reste intact après toutes ces années.
J'ai adoré ce film . Swayze change de registre complètement en passant de play-boy danseur à VIDEUR et ça lui va au top . Au cocktail : corruption, bagarre , alcool , jolie fille et le tout dans une petite ville qui est loin d'être tranquille. J'ai vraiment aimé. La présence de Sam Elliot rajoute une dose de puissance
Un excellent classique comme je les aime. Je m'attendais pas à grand choses au niveau du scénario mais il fait dire qu'il est bien plus développé que je le pensais. Patrick Swayze tient un excellent rôle qui lui va bien avec son talent et son physique, jolie performance dans les scènes de combat. Le reste du casting est pas mal du tout dans l'ensemble. On s'amuse bien pendant le film avec les scènes de baston. Plus le film avance, plus il devient intéressant en fonction des problèmes qui se développent autour du personnage principal. Pas une seule longueur d'ennui. Le film montre bien les difficultés d'un videur dans un bar très agité. Les scènes de combat sont bien cadrés dont on peut voir tous les mouvements correctement. Un film à regarder sans hésiter.
un film centré sur les bagarres qui met en avant le dur métier de videur. l'histoire est simple et les musiques années 80 sont bien rythmé. patrick swayze tient tout le film sur ses épaules sans trop surjoué et en y rajoutant un peu d'humour et de romantisme il colle parfaitement bien avec le personnage.
Avis personnel. Avec Patrick Swayze comme seul personnage central intéressant, l'histoire est assez simpliste et simple aussi la mise en scène. Ben Gazzara joue bien le vilain un peu caricatural de service et Kelly Lynch la potiche mignonne et sans saveur. Sam Eliott tire son épingle du jeu en partenaire de baston de Patrick Swayze et c'est à peu près tout, même si l'histoire se suit agréablement pour qui aime le genre + ou - arts martiaux, explosions et incendies en tous genres. A peu près tout... quoique... J'aurais aimé qu'on utilise et développe davantage l'ami Jeff Healey, musicien réellement aveugle qui, malgré sa place lointaine au générique, fait le principal de la bande-son avec sa guitare jouée à plat sur les genoux et sa voix ma foi fort bien timbrée que je ne connaissais pas. On fait très peu ressortir son rôle hors musique et pourtant, le personnage, assez singulier et sympathique, aurait mérité une place bien plus importante selon moi. L'histoire plagie un peu le thème de nombreux westerns classiques avec Patrick Swayze qui joue les shérifs (ici videurs/responsable de la sécurité) qui va de ville en ville faire une tête au carré à tous les vilains, avec l'incontournable méchant qui veut s'accaparer la cité en rackettant tous les commerçants et, en toile de fond, l'histoire d'amour obligatoirement compliquée entre le héros et la belle dame qui lui fait la morale tout en tremblant de le voir ainsi risquer sa vie chaque jour pour une cause qui n'est pas la sienne. Cela donne un résultat qui fait plus penser à la fin des sixties / début des seventies qu'à la fin des eighties. Pas mal de dames "se dévoilent" régulièrement et Partick Swayze ne manque pas de montrer aussi qu'il était très bien "sculpté", aussi bien de dos (du haut en bas) que de face (mais rien qu'en haut 😉 ). Tout à fait regardable.
Attention ! Film déjà culte et en devenir. ‘Road house’ a pour intrigue la vie dissolue d’un videur qui voyage de bar en bar sans grande conviction mais intéressé par le fait que ses services soient rémunérés à leur juste valeur c’est-à-dire chère. De ce point, l’évolution est constante et Dalton ne va pas tarder à succomber à une jeune médecin (Kelly Lynch) qui répare les dégâts provoqués par toutes les brutes qui sortent la nuit. Brad Wensley est le grand méchant interprété par Ben Gazarra. Adepte des arts martiaux, Patrick Swayze (Dalton) est des plus charismatiques en videur solitaire sans peur et même plus que Sam Elliott (Wade Garrett) déjà très authentique avec ses cheveux longs et sa barbe, preuves d’une expérience certaine dans le domaine du combat rapproché (il fut le maître de Dalton autrefois). En parlant de combats, ceux-ci sont géniaux, on ressent toute leur puissance et contrairement à ce que le scénario pourrait laisser croire, ce n’est pas du tout une série B de mauvais genre, tout est finement chorégraphié, les cascades sont réellement bluffantes et on découvre un nouveau style de combat propre au film (mélange de boxe, d’arts martiaux et d’improvisation). L’histoire entière évolue de manière continue et limpide : l’introduction présentant le personnage est grandiose, la découverte des conflits de pouvoir au sein de la nouvelle ville change totalement la perception de Dalton, la confrontation du dernier acte est cependant trop classique. En effet, la fin fait dans l’américanisme profond avec un règlement de compte prônant la défense de l’homme par ses propres moyens (le libre commerce des armes à feu) et c’est bien dommage… mais avec Rowdy Herrington comme réalisateur et des films tels que ‘Gladiator’ ou ‘Piège en eaux troubles’, il faut s’attendre à ce genre de morale : on défend la ville par nos propres moyens car la justice est corrompue. Sinon, la musique est d’enfer : The Jeff Healey Band fait de la figuration et compose pas mal de titres, on retrouve aussi les Cruzados avec Tito de Tito & Tarantula, Bob Seger, Wilson Pickett, Alabama et patrick Swayze lui-même, tout cela dans un style Rythm and blues revisité du plus bel effet. Bref, un classique du film de baston et qui ne se veut pas qu’un film d’action mélangeant les thèmes (le contrôle de soi, le bien-être du corps puisque Swayze a étudié le Bouddhisme, l’amitié, l’expérience, la vengeance). A voir ne serait-ce que pour la prestation extraordinaire de Patrick Swayze et de Sam Elliott dans une moindre mesure.
AH AH AH AH AAAAAAAAAAAH pourquoi 3 étoiles ? parce que c'est complétement drôle et ridicule, franchement c'est incroyable, à chaque fois que je le regarde je suis mort de rire. Un pur navet