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Redzing
1 161 abonnés
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1,0
Publiée le 16 décembre 2012
A l'instar de "Commando", "Road House" est un film dont les excès et la niaiserie façon 80's sont à la fois amusants et très ringards. Si l'histoire de western moderne, avec un milliardaire s'amusant à contrôler un trou paumé, est déjà limite, le personnage de Patrick Swayze est assez risible. Videur expert en arts martiaux, modeste, impassible, philosophe, increvable : les scènes mettant en valeur son corps devant la gent féminine finissent d'achever le ridicule. Face à lui, des méchants primaires, des locaux gentils mais trop mous, et une nunuche peu crédible. Malgré quelques chansons sympathiques, l'ambiance kitsch et les péripéties prévisibles ou grossières achèvent le film. Sans oublier un final d'une bêtise ahurissante ! En somme, "Road House" est peut-être culte pour certains, mais en tout cas à ne pas prendre au sérieux.
Un videur de boite très beau gosse ,qui théorise sur le self contrôle et pratique le yoga, se bat contre une bande de gros méchants et arrache des morceaux de cous avec 3 doigts. Dit comme ça, ça a l'air complètement stupide. A voir aussi je vous rassure (car le film la joue premier degré). Reste qu'on est pris par une envie de rire irrésistible que ce soit pendant les scènes de combats, d'amitié ou romantiques. Un navet total.
Il faut être clair tout de suite Road House est un très très mauvais film, mais il faut l’apprécier car on ne fait quasi plus des films aussi crétins au premier degrés. Patrick Swayze y joue une improbable légende des videurs de boite de nuit, qui aime se promener torse nu en fumant une cigarette, la philosophie, les clefs de bras, les docteurs en médecine d’urgence et les high kicks. Road House c’est une orgie de BAGARRES, avec ce discours amusant : la BAGARRE c’est mal, mais mieux vaut savoir faire la BAGARRE dans la vie. Ça aurait put être un film correct si les scènes de la BAGARRE était bien filmés, mais franchement niveau castagne c’est très faible même pour l’époque, surtout pour l’époque d’ailleurs car honnêtement quitte à aller dans la bêtise mieux vaut se refaire un bon vieux Van Damme c’est plus réussi de ce point de vu et c’est aussi plus drôle. Honnêtement si on est vraiment fan de gros type qui se tape dessus dans une ambiance alcoolisée mieux vaut aller passer un dimanche après midi devant un match de rugby régional.
Souvent adulé comme un élément phare des films d'action des années 80 avec une touche d'honneur et de philosophie pour le héros. Que dalle, on dirait un film des années 70 avec des règlements de compte à la cow-boy. Les combats sont mal chorégraphiés et les effets spéciaux de blessure souvent lamentables. Seul 2-3 cascades et effets pyrotechniques valent le coup. Ca se tire en longueur, on a pas un petit sourire comme c'était souvent le cas dans les années 80 pour ce genre de film. Swayze a refuser le rôle dans Tango et Cash pour faire ce film, moi au moins Tango et Cash ça m'a bien fait marrer et je ne me suis pas ennuyé!
Un film qui remplit son quota de scènes d'action et de bastons. Pour le reste, on oubliera son cerveau pendant deux heures durant lesquelles on nous dépeint le dur monde des videurs peuplé de vilains méchants avides de vengeance qui ne veulent que foutre le bordel. Heureusement, dans ce monde de brutes existe une brute playboy au coeur tendre toujours prêt à combattre le plus méchant des méchants (qui fait la loi dans la bourgade et dont tout le monde a peur) : Patrick Swayze et son improbable coupe de cheveux. Il restaure l'ordre, vire les méchants, drague une médecin et accueille son pote et mentor videur. Tout ça, ça ne plait pas au grand méchant, mais alors pas du tout... Et comme dans tout grand film riche en rebondissements, le mentor y passe (et ça on ne s'y attendait pas du tout !). Il n'en fallait pas plus pour donner à Patrick la force nécessaire pour ramener la paix et la volupté. Justice a été faite !
Un film à vivre comme un western à la sauce eighties, où la culture américaine est bien présente à travers un thriller mêlant action et sentiment dans une réalisation banale mais sans fioritures. On retrouve le mythe du méchant riche et du gentil beau gosse musclé qui sauve le village entier et séduit sa donzelle. Sympathique mais vraiment pas original et trop abrutissant à mon goût.
Un film d'action où bizarrement celle-ci tarde à venir. On ne cesse de nous ressasser que Patrick Swayze est le meilleur videur des US sans ne jamais rien voir. Et quand on voit enfin, on est déçut : notre cher ami videur nous en met plein la vue alors qu'il ne sait même pas lever sa jambe correctement. L'histoire et quant à elle bien risible avec magouilles et compagnies dans une petite bourgade paumée des US. Mais n'ayez crainte, notre videur national est là pour y mettre un terme avec ses petits bras musclés. Seul contre tous, il osera défier le terrible Wesley, milliardaire sans scrupules ni code d'honneur. Entre deux coups de savates, il paraissait évidant que pour passer le temps, Patrick Swayze se devait de trouver la fille la plus belle de la ville, cela va de soi. Road House fait beaucoup de bruit au départ pour rien au final. Si vous êtes fan du genre, préférez un bon vieux Steven Seagal ou un JCVD de la première heure : ça ne vole pas bien haut mais ça a le mérite de nous divertir.
Quel ennui. Un film sur un videur en boite de nuit Country, avec sa coupe mulet et son charisme de canette de bière. On voit vraiment tout et n'importe quoi quand on est bourré.
On ne peut pas attaquer les "80" et leur côté super cheap... C'était comme ça, c'était comme ça... et beaucoup de films en sont méchamment imprégnés...
Mais ce film est indéfendable: pseudo western moderne de série Z, situations, dialogues et acteurs au plus bas...
L'œuvre est coulée par son personnage principal et par son scénario linéaire, banal, vu et revu et en fin de compte, blasant. Patrick Swayze partage le blâme avec le réalisateur pour le rôle peu crédible qui lui a été donné. Un "bouncer" philosophe et vertueux, on peut le croire, mais la morale qu'on tente d'y injecter est absolument superficielle et inhabile. Patrick Swayze y est froid, distant sans être mystérieux et son personnage est empreint d'une suffisance qui n'est jamais justifiée ou "vendue" pendant le film. Les scènes de combat sont mauvaises, prévisibles et redondantes. Le tout est complété par des acteurs moyens ainsi que d'un antagoniste involontairement caricatural. Un film sans cachet et agaçant.
L'histoire d'un videur de boite de nuit au passé tourmenté, qui a des couilles, qui picole, mais avant tout, grand philosophe (il a été en fac le coco). Il se bat contre des mechants (lui il est gentil). Les méchants, ils passent en helicoptére au dessus de la barraque du voisin pour le faire chier, il font péter des fermes et des garages, ils se battent dans les bars, et frappent leurs gonzesse (c'est des durs). Finallement, ça se finit bien, parceque Patrick Swayze, c'est un pro du kung fu. Et son pote aussi. Dans le rade ou il bosse, y'a un aveugle qui joue de la guitare en massacrant, version hard rock, des légendes du blues. Y'a un barman qui pique dans la caisse, y'a une serveuse amoureuse de lui, et y'a un patron qui fait partie du clan des gentils, qui se fait emmerder par le chef des méchants. Patrick Swayze, c'est un beau gosse, alors il sort avec une toubib, il l'invite chez lui, il met un slow (il est romantique aussi), et il la baise (là il ne l'est plus).
Bref, si t'aime la biére, si t'aime le kung fu, si t'aime le cul; tu aimeras Road house. Sinon, tu aimeras quand même parceque c'est ... heu.. merde.. j'avais trouvé le mot pourtant.