Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
rocky6
31 abonnés
1 736 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 17 août 2022
Un film devenu culte et qui n'a pas pris une ride. Le scénario est simple mais efficace. Un videur est engagé pour faire le ménage dans une boite de nuit et va très vite se retrouvé confronté à un homme de pouvoir qui fait régner la terreur dans la petite ville. Le film comporte de nombreuses scène de baston fort bien réalisées. Mais soyons clair le gros atout de ce film c'est sa vedette : Patrick Swayze. Il est vraiment au top dans le rôle du videur à la fois "cool" mais aussi intraitable et incorruptible. Il nous offre de très belles scènes de bagarre et notamment un formidable combat contre l'homme de main du grand méchant. Il y a aussi une belle romance entre lui et la jolie doctoresse du coin (Kelly Lynch très sexy). On notera aussi la présence de Sam Elliott qui incarne lui aussi un videur, ami de longue date du héros, et qui assure vraiment bien dans son rôle. Enfin n'oublions pas Ben Gazzara qui est excellent dans le rôle du petit tyran local. Bref un film à voir et revoir et qui offre un vrai bon moment aux amateurs de film d'action et qui nous donne l'occasion de revoir le regretté Patrick Swayze dans un de ses meilleurs rôles.
Voilà un film typiquement de son époque. Patrick Swayze du temps de sa splendeur. Moins impressionnant musculairement parlant que les gros bras de l'époque. Schwarzenegger et Stallone en tête. Mais acteur plus polyvalent et dont le succès auprès des femmes depuis Dirty Dancing n'était plus à prouver. Les hommes n'ont pas à être jaloux. Ils pourront profiter des courbes de Kelly Lynch et Julie Michaels. Deux magnifiques blondes tombées en pâmoison dès le premier regard lancé par le beau et ténébreux Patrick. Alors que j'ai du mal à voir ce qu'une brillante toubib peut trouver à un videur de boîte de nuit fumant comme un pompier. Certes, c'est une légende, paraît-il, dans son domaine. Mais quand même. Un bandage, un verre et direct en couple ? Ah, si, ça y est. J'ai deviné. Dalton est un philosophe bouddhiste. Adepte du kung-fu. C'est peut-être pour ça. Comme on est dans une production Joel Silver, il y a plusieurs explosions de bâtiments (le parrain local a la main mise sur toute la ville, terrorise les commerçants, ce qui énerve profondément Patrick enfin Dalton), du kung-fu puisque Dalton ne se met pas en tête de nettoyer seulement sa boîte de nuit mais la ville toute entière et du romantisme avec nos deux protagonistes au physique digne de Barbie et Ken. Ils sont d'autant plus mis en valeur que tous les autres sont des américains profonds avec chemises à carreaux, bide à bière, casquette sur la tête, bretelles, salopette en jean. Un couple vedette pour faire rêver les spectateurs grâce à leur plastique, de la castagne. Pas très évolué. Mais effet nostalgie garanti.
Un film critiqué lors de sa sortie mais devenu culte au fil des années. Culte pour sa simplicité. Culte pour le charisme de Dalton. Culte pour ses bagarres de boite de nuit. Culte pour le combat final entre monsieur Swayze et le vilain au bord de la rivière. Culte pour la cool attitude de ce videur . Avec ces défauts bien sur dues à l'époque et au manque de budget évident, road house fait partie de ces films qui reposent principalement sur le charme opérant de ses personnages. On oublie le reste, et le plaisir reste intact après toutes ces années.
Ce Road House laisse une impression assez puissante, surtout en ce qui concerne la tranquillité et le charisme de Patrick Swayze. L'histoire est vraiment différente par rapport à celle du nouveau, car le scénario est mieux centré sur les émotions et crée une histoire assez touchante avec Kelly Lynch. Les chorégraphies sont parfaitement adaptées à l'époque, car si le film devait sortir en 2024, cela semble très kitsch. Sam Elliott, qui joue un rôle crucial dans le développement du personnage de Dalton et Ben Gazarra en tant que caïd de la ville, est excellent. La musique de ce film est vraiment géniale.
J'ai adoré ce film . Swayze change de registre complètement en passant de play-boy danseur à VIDEUR et ça lui va au top . Au cocktail : corruption, bagarre , alcool , jolie fille et le tout dans une petite ville qui est loin d'être tranquille. J'ai vraiment aimé. La présence de Sam Elliot rajoute une dose de puissance
Que de souvenirs de ma jeunesse avec ce film kitchissime ! Il y a de l’action, on se prend au jeu et on fini par détester le vieux grand méchant de la ville, 2 splendides blondes, de la camaraderie, un monster truck, un peu de romance et forcément le Happy End. Divertissant et so 80’s
"Ça gratouille ou ça chatouille ?" "Dors bien avec ton nounours"... Des répliques cultes mais pas que. Glissant malencontreusement vers le nanardesque, Road House sait également réconforter et distraire. Tango & Cash aura échappé à Patrick Swayze mais l'un dans l'autre la sympathie perdure grâce à un duo pas moins fun en la présence de Sam Elliott.
Considéré comme un monument du "film pour mec", Road House est une sympathique série B d'action ou Patrick Swayze fait preuve d'aptitudes martiales à faire pâlir Jean-Claude Van Damme et Chuck Norris réunis.
Il faut être clair tout de suite Road House est un très très mauvais film, mais il faut l’apprécier car on ne fait quasi plus des films aussi crétins au premier degrés. Patrick Swayze y joue une improbable légende des videurs de boite de nuit, qui aime se promener torse nu en fumant une cigarette, la philosophie, les clefs de bras, les docteurs en médecine d’urgence et les high kicks. Road House c’est une orgie de BAGARRES, avec ce discours amusant : la BAGARRE c’est mal, mais mieux vaut savoir faire la BAGARRE dans la vie. Ça aurait put être un film correct si les scènes de la BAGARRE était bien filmés, mais franchement niveau castagne c’est très faible même pour l’époque, surtout pour l’époque d’ailleurs car honnêtement quitte à aller dans la bêtise mieux vaut se refaire un bon vieux Van Damme c’est plus réussi de ce point de vu et c’est aussi plus drôle. Honnêtement si on est vraiment fan de gros type qui se tape dessus dans une ambiance alcoolisée mieux vaut aller passer un dimanche après midi devant un match de rugby régional.
En débarquant dans un bar en tant que nouveau videur, James Dalton ne se doutait pas qu'il allait non seulement devoir se débarrasser de la vermine des lieux, mais aussi de toute la ville... Malgré son métier, Dalton n'est pas le gros bagarreur que l'on croit même s'il ne faut pas le chercher. D'ailleurs, plusieurs lui font la remarque sur son physique. Titulaire d'un doctorat en philosophie, il a une vision plus cérébrale de son métier et n'utilise la force qu'en dernier recours. Son recul et sa manière d'être font de lui quelqu'un d'assez amusant. Je ne sais pas s'il y avait une volonté parodique, mais cette célébration de la masculinité toxique avec des types qui vont toujours plus loin est vraiment fun à voir. On est sur du bon kitsch avec beaucoup de violence, dont une fatality qui fait son petit effet, et quelques scènes de sexe. Pour ma part, je trouve qu'il a bien vieilli et que c'est toujours un sympathique divertissement avec un très bon Patrick Swayze.
Une péloche qui sent bon les années 80, je dirais même qui pue les 80's ! C'est très sympa de voir Patrick Swayze à contre emploi, le corps taillé dans la roche et qui distribue les bourre-pifs par valise. Son personnage est cool et quand on a grandi avec ce film c'est compliqué de mal le noter. Car honnêtement c'est beauf à souhait, pas crédible et mal joué. Oui mais le charme est présent et ça opère toujours et puis le regretté P. Swayze porte le film à lui seul. Sans prise de tête c'est toujours plaisant de revoir Road House premier du nom. Un remake avec Jake Gyllenhaal est pressenti, beh pour une fois je prends, à voir.
A l'orée de la sortie du remake, Road house premier du nom respire les années 80 que ce soit dans sa réalisation, ses dialogues ou chorégraphies. Globalement, malgré tout, le film vieillit plutôt bien, en même temps son scénario est d'une telle simplicité qu'il ne faut y voir rien d'autre qu'un defouloir au service de la plastique de Swayze. Les combats sont tous les mêmes, les enjeux inexistants et la plupart des personnages sont des clichés ambulants, mais cela fonctionne tout de même. Ayant acquis une petite renommée au fil des années, pas au point de devenir culte, le film se laisse toujours voir avec plaisir et sûrement que la nouvelle mouture signée Doug Liman, se chargera de dépoussiérer le tout.
Ce film n'a certainement pas été fait pour les amis de la poésie, des amateurs de bibines se castagnent à tout va pour des motifs futiles dans des bars peu accueillant. Le pitch peut faire peur mais c'est terriblement efficace. Auréolé aux razzies, ce n'est pas pour son scenario très faiblard que ce film est devenu culte assez rapidement. Il possède tout un charme bien typique de cette période la et bénéficie surtout d'un Patrick Scwayze au top de sa forme.
Souvent adulé comme un élément phare des films d'action des années 80 avec une touche d'honneur et de philosophie pour le héros. Que dalle, on dirait un film des années 70 avec des règlements de compte à la cow-boy. Les combats sont mal chorégraphiés et les effets spéciaux de blessure souvent lamentables. Seul 2-3 cascades et effets pyrotechniques valent le coup. Ca se tire en longueur, on a pas un petit sourire comme c'était souvent le cas dans les années 80 pour ce genre de film. Swayze a refuser le rôle dans Tango et Cash pour faire ce film, moi au moins Tango et Cash ça m'a bien fait marrer et je ne me suis pas ennuyé!
Un petit film symapthique qui n'a pas très bien viellit sur un videur de boite de nuit, spécialiste des arts martiaux. Le film avait été monté pour faire la part belle à Patrick Swayze, star montante à l'époque et qui avait un public d'inconditionnels.. C''est vrai que son charisme impacte bien l'écran. Mais le scénario est très faible et la réalisation moyenne.