AlloCiné
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Un film complètement foutraque dans lequel une bande de copains s'amusent comme des fou à tourner un film où il est question d'une équipe qui tourne un film. Comme mise en abyme c'est pas mal ! Le casting féminin est impressionnant : aux côtés d'Anémone et de Catherine Lachens toujours aussi déjantées, pas mal des jolies filles à moitié nues et décontractées, parmi lesquels Grace Jones (mais oui !). Côté masculin c'est moins évident avec un bon Claude Brasseur qui à l'époque ne se prenait pas au sérieux, Guy Marchand, peu inspiré, Robert Castel, pénible ou encore Daniel Auteuil à 26 ans , ainsi que pas mal de tous petits rôles comme Michel Blanc, 24 ans et chevelu. Et le reste, et bien on va dire qu'on regarde ça avec le sourire et sans prise de tête et c'est déjà pas si mal, et on a envie d'être indulgent avec ce genre de film.
Je mets quatre étoile pour être lu plus longtemps et rectifier une autre erreur d'Allociné ! Ce n'est pas l'histoire d'un réalisateur sans beaucoup d'expérience qui souhaite tourner un film pornographique !
C'est justement l'inverse ! Il souhaite tourner un "grand film" ; Il a des rêves plein la tête pour sa grande œuvre... Seulement voilà, les seuls personnes qu'il trouvera pour le produire le pousse (jeu de mot avec André Pousse ?) peu à peu à faire ce film "porno" car évidemment, le sex rapportera plus...
C'est donc un homme bien déçu, forcé à faire ce film, que campe assez justement Claude Brasseur. Le film est léger, pas hilarant mais se regarde sans déplaisir !
On peut y retrouver une pléiade d'acteurs dans des seconds rôles plus ou moins important : Guy Marchand (étonnamment drôle) ; Anémone, Christian Clavier, Michel Blanc, Thierry Lhermitte, André Pousse, Marthe Villalonga, Stéphane Collaro, Nathalie Courval, Georges Adet, Jean-Pierre Darras, Catherine Lachens, Daniel Auteuil, Robert Castel, Gérard Hernandez et Grace Jones en potiche...
Quelques scènes tout de même assez drôle de part leurs situations. Car demander à des acteurs peu doué de jouer un porno à deux sous contenant des scènes tirées par les cheveux, cela donne quelques moment plutôt drôle !!
J'ai bien plus apprécié Attention les yeux à Taxi ou Double Zéro, navet parmi les navets !!!
Mon attachement pour les années 60/70 doit jouer...
C'est justement l'inverse ! Il souhaite tourner un "grand film" ; Il a des rêves plein la tête pour sa grande œuvre... Seulement voilà, les seuls personnes qu'il trouvera pour le produire le pousse (jeu de mot avec André Pousse ?) peu à peu à faire ce film "porno" car évidemment, le sex rapportera plus...
C'est donc un homme bien déçu, forcé à faire ce film, que campe assez justement Claude Brasseur. Le film est léger, pas hilarant mais se regarde sans déplaisir !
On peut y retrouver une pléiade d'acteurs dans des seconds rôles plus ou moins important : Guy Marchand (étonnamment drôle) ; Anémone, Christian Clavier, Michel Blanc, Thierry Lhermitte, André Pousse, Marthe Villalonga, Stéphane Collaro, Nathalie Courval, Georges Adet, Jean-Pierre Darras, Catherine Lachens, Daniel Auteuil, Robert Castel, Gérard Hernandez et Grace Jones en potiche...
Quelques scènes tout de même assez drôle de part leurs situations. Car demander à des acteurs peu doué de jouer un porno à deux sous contenant des scènes tirées par les cheveux, cela donne quelques moment plutôt drôle !!
J'ai bien plus apprécié Attention les yeux à Taxi ou Double Zéro, navet parmi les navets !!!
Mon attachement pour les années 60/70 doit jouer...
NeoLain
Attention les yeux ! Claude Brasseur joue un réalisateur avec peu d'expérience et qui doit tourner un film porno. Une comédie qui au départ et pour mal de temps sur la durée est bien excentrique. Cette positivité reste tout de même fragile car le rythme et l'ingrédient motivateur fond. Attention à la grande déception !
Yannickcinéphile
Pirès il a de tout dans sa filmo. Du bon, du moins bon, du mauvais, mais Attention les yeux appartient vraiment à la partie haute de son travail.
D’abord le casting est énorme, et les interprètes jusqu’aux seconds rôles sont totalement investis. Claude Brasseur est drôle en producteur qui débarque sur un porno malgré lui et qui tente de lui donner un minimum de relief « auteurisant », mais il y en a vraiment qui s’arrache ici ! Je pense à Descrières qui décidément est un acteur comique redoutable, et qui est ici le patron d’un sex shop, et il se lâche ! Je note aussi un André Pousse bien à l’aise dans un rôle comique qu’il tient avec classe, et Guy Marchand comme toujours est au top. Quel bon acteur. Je ne les citerai pas tous, mais on soulignera aussi la présence d’un Auteuil à ses débuts et d’un Darras toujours convaincant. Mais bon, soyons franc, le casting féminin est aussi une sacrée attraction, spécialement car il se dénude beaucoup ! Bon, il ne tient pas qu’à cela, mais tout de même ! Anémone est charmante, Grace Jones fait une apparition délirante (elle est quand même en surjeu total !), mais de toutes, et en dépit de la tenue d’Eve qu’affiche souvent Christine Dejoux, celle qui a retenu le plus mon attention c’est Christine Dejoux. On dirait presque qu’elle a été victime d’un bizutage sur ce film, et elle est très très drôle ! Sa rencontre avec Descrières est un moment comique d’anthologie, tout comme son face à face avec les trois policiers campés par Lhermitte, Blanc et Clavier. Et qu’est-ce qu’elle est mignonne !
Le scénario tient donc dans les mésaventures d’une équipe de bras cassés (plus ou moins !) qui doivent tourner un film porno. Un sujet qui inspiré pas mal à l’époque ! A priori pas de quoi casser la baraque, mais de quoi être fun, et en fait on tient une comédie survoltée, très drôle. Sexy en diable (oui, faut pas être réticent à voir de la nudité quand même !), un peu provoc (faut pas être trop fan de Deneuve quand même !), Attention les yeux c’est surtout une boule de nerf sans prétention qui envoie un gag toutes les cinq secondes ! Profitant d’une durée courte, Pirès ne nous laisse jamais tranquille, avec de vrais délires. Des casting au repas de l’équipe chez le restaurateur du coin jusqu’aux exigences de dernières minutes des producteurs, Pirès nous montre en vérité sous un humour volontiers absurde mais souvent loufoque les difficultés d’un réalisateur sur un tournage fauché. C’est très fendard, et jamais vulgaire en fait. Un point à souligner, car le film ne cède pas à cette facilité.
Sur la forme, Pirès orchestre son film avec talent. Si on sent un budget un peu ric-rac et une approche théâtrale un peu trop visible, néanmoins Attention les yeux ne démérite pas du tout. On reste l’essentiel du temps sur le plateau du film, et on ressent bien l’ambiance à la fois amicale et tendue qui peut exister sur ce genre de tournage. Pirès offre une mise en scène rapide et fluide, et le métrage est coloré et frais. Sa bande son sympa n’est pas pour rien. Un peu de nudité (beaucoup ?) et un côté libéré très seventies, mais pas de sexe explicite (ou même implicite), donc pas un film érotique.
Franchement, Attention les yeux est une excellente surprise. Malgré un petit manque d’enjeux et un aspect théâtral qui pourra paraître un peu facile, c’est là une comédie assez irrésistible quand même ! Emporté par son casting de fou, elle se laisse déguster comme un bonbon au chocolat. Ça ne dure pas assez longtemps, mais c’est super bon ! 4.5
D’abord le casting est énorme, et les interprètes jusqu’aux seconds rôles sont totalement investis. Claude Brasseur est drôle en producteur qui débarque sur un porno malgré lui et qui tente de lui donner un minimum de relief « auteurisant », mais il y en a vraiment qui s’arrache ici ! Je pense à Descrières qui décidément est un acteur comique redoutable, et qui est ici le patron d’un sex shop, et il se lâche ! Je note aussi un André Pousse bien à l’aise dans un rôle comique qu’il tient avec classe, et Guy Marchand comme toujours est au top. Quel bon acteur. Je ne les citerai pas tous, mais on soulignera aussi la présence d’un Auteuil à ses débuts et d’un Darras toujours convaincant. Mais bon, soyons franc, le casting féminin est aussi une sacrée attraction, spécialement car il se dénude beaucoup ! Bon, il ne tient pas qu’à cela, mais tout de même ! Anémone est charmante, Grace Jones fait une apparition délirante (elle est quand même en surjeu total !), mais de toutes, et en dépit de la tenue d’Eve qu’affiche souvent Christine Dejoux, celle qui a retenu le plus mon attention c’est Christine Dejoux. On dirait presque qu’elle a été victime d’un bizutage sur ce film, et elle est très très drôle ! Sa rencontre avec Descrières est un moment comique d’anthologie, tout comme son face à face avec les trois policiers campés par Lhermitte, Blanc et Clavier. Et qu’est-ce qu’elle est mignonne !
Le scénario tient donc dans les mésaventures d’une équipe de bras cassés (plus ou moins !) qui doivent tourner un film porno. Un sujet qui inspiré pas mal à l’époque ! A priori pas de quoi casser la baraque, mais de quoi être fun, et en fait on tient une comédie survoltée, très drôle. Sexy en diable (oui, faut pas être réticent à voir de la nudité quand même !), un peu provoc (faut pas être trop fan de Deneuve quand même !), Attention les yeux c’est surtout une boule de nerf sans prétention qui envoie un gag toutes les cinq secondes ! Profitant d’une durée courte, Pirès ne nous laisse jamais tranquille, avec de vrais délires. Des casting au repas de l’équipe chez le restaurateur du coin jusqu’aux exigences de dernières minutes des producteurs, Pirès nous montre en vérité sous un humour volontiers absurde mais souvent loufoque les difficultés d’un réalisateur sur un tournage fauché. C’est très fendard, et jamais vulgaire en fait. Un point à souligner, car le film ne cède pas à cette facilité.
Sur la forme, Pirès orchestre son film avec talent. Si on sent un budget un peu ric-rac et une approche théâtrale un peu trop visible, néanmoins Attention les yeux ne démérite pas du tout. On reste l’essentiel du temps sur le plateau du film, et on ressent bien l’ambiance à la fois amicale et tendue qui peut exister sur ce genre de tournage. Pirès offre une mise en scène rapide et fluide, et le métrage est coloré et frais. Sa bande son sympa n’est pas pour rien. Un peu de nudité (beaucoup ?) et un côté libéré très seventies, mais pas de sexe explicite (ou même implicite), donc pas un film érotique.
Franchement, Attention les yeux est une excellente surprise. Malgré un petit manque d’enjeux et un aspect théâtral qui pourra paraître un peu facile, c’est là une comédie assez irrésistible quand même ! Emporté par son casting de fou, elle se laisse déguster comme un bonbon au chocolat. Ça ne dure pas assez longtemps, mais c’est super bon ! 4.5
Ok je serai plus prudent que Highlander qui a également critiqué le film...
A prendre en considération : je suis née après la sortie de ce film.
Donc, on ne s'éclate pas de rire' sur ce film en 2007, loin de la (à moins d'avoir pris queq chose avant) mais c'est un excellent documentaire.
Oui, ce film plaira aux personnes désireuses d'en savoir plus sur les navets d'anthologie. Concernant le thème, on dirait que la liberation sexuelle était a l'ordre du jour à cette époque.
Les bonnes choses : Guy Marchand et Anemone sont bons et ca fait toujours autant plaisir de les voir. Daniel Auteuil, un chouilla en dessous...il en fait trop parfois (mais est ce bien de sa faute ??) J'ai surtout vu ce film pour Michel Blanc (il joue le role d'un flic pendant 2 minutes.. incroyablement jeune et avec des cheveux) Claude Brasseur, qui tient le role principal, joue le role d'un metteur en scene forcé de faire un film porno, mons de charisme que les autres...desolé Claude.
Réservé aux nostalgiques des années 80 et autres collectionneurs.
A prendre en considération : je suis née après la sortie de ce film.
Donc, on ne s'éclate pas de rire' sur ce film en 2007, loin de la (à moins d'avoir pris queq chose avant) mais c'est un excellent documentaire.
Oui, ce film plaira aux personnes désireuses d'en savoir plus sur les navets d'anthologie. Concernant le thème, on dirait que la liberation sexuelle était a l'ordre du jour à cette époque.
Les bonnes choses : Guy Marchand et Anemone sont bons et ca fait toujours autant plaisir de les voir. Daniel Auteuil, un chouilla en dessous...il en fait trop parfois (mais est ce bien de sa faute ??) J'ai surtout vu ce film pour Michel Blanc (il joue le role d'un flic pendant 2 minutes.. incroyablement jeune et avec des cheveux) Claude Brasseur, qui tient le role principal, joue le role d'un metteur en scene forcé de faire un film porno, mons de charisme que les autres...desolé Claude.
Réservé aux nostalgiques des années 80 et autres collectionneurs.
Dans la collection « Rires & fous rires » , je demande "Attention les yeux !" de Robert Pirès, sorti en 1975! L'histoire d'une totale connerie va de surprise en surprise! L'intèrêt en est nul mais il y a dans ce film hautement moral des scènes osèes par-ci par-là qui font plus sourire qu'autre chose! Le genre de film où il faut ramer pour avoir sa gamelle! On attendait quand même mieux de Pirès ("Elle court, elle court la banlieue") où Claude Brasseur tente, mais en vain, de remonter le niveau du film en campant un rèalisateur qui tourne « un film èrotique de classe » . Malheureusement, ce dernier s'enlise dans des situations absurdes : le hangar d'Aubervilliers, transformè en jungle africaine, avec des mercenaires et une Grace Jones qui ne comprend pas un mot français! Consternant [...] On reste de marbre devant ces positions sexuelles (les oeufs au plat sur les fesses), devant tant d'âneries! Aucun gag ne fonctionne vraiment, aucune excitation (un comble). Dèbuts de Daniel Auteuil, Michel Blanc, Thierry Lhermitte et Christian Clavier! il y a même ici un certain Stèphane Collaro...
Thibault F.
Il y a un gros soucis avec ce film porté à l'écran par le médiocre Gérard Pirès où on retrouve notamment Claude Brasseur mais également une pléiade de second rôles relativement connus de nos jours (Blanc, Clavier, Auteuil etc...). Si à première vue, le casting semble convaincant, l'ensemble tourne rapidement en une chose indigeste et franchement sans intéret. Au plein coeur des années 70, un réalisateur se voit dans l'obligation pour remonter financièrement sa boîte de production de tourner un film à la mode durant ces années là, un porno. Si le pitch de départ prête à sourire, le film n'arrive jamais à convaincre et à faire rire (un comble pour une comédie). La réalisation est catastrophique, la direction artistique inexistante et les péripéties insipides. Bref, une certaine idée d'un naufrage à la française. Reste tout de même, quelques moments sympathiques qui restent beaucoup trop minces. Une grosse déception
Un sacré beau casting, puisque le film est rempli d'acteurs connus et reconnus. Je pense qu'aujourd'hui , ce genre de comédie n'aurait plus le droit de cité. Pourtant le scénario bien que simpliste est sommes tout une bonne idée, mais derrière ça ne suit pas beaucoup et malgré un Brasseur qui se démène pas trop mal, et un Castel égale a lui meme et qui nous arrachent quelques rictus, on reste un peu sur sa faim.
Un film d'époque, La libération séxuelle est passée par là. C'est pas drolissime mais les acteurs jouent bien. Sonia Vareuil est assez marrante dans le film, elle a petit côté Bardot quand elle parle.
Ce documentaire sur un certain milieu du cinéma des années 70 cache mal tout simplement son voyeurisme.... il en fallait pas beaucoup à l'époque pour attirer les foules car le jeu des comédiens est pitoyable et pour les comédiennes ce jeu n'existe pas..... seul le titre a raison, un film engagé qui pique les yeux.......
Casting d'enfer pour un nanar d'anthologie !! A voir uniquement pour michel blanc avec des cheveux, pour guy marchand essayant d'etre drole et pour Grace jones nue (oui c'est pas beau a voir !!)
Désolé mais pour une comédie... j'ai attendu mais même pas un rictus ne m'a été arraché. Ce n'est pas drôle, ça a trop mal vieilli, c'est lourd.
Une floppée de bien jolies filles, mais des dialogues d'une nullité incroyable et ajoutez à ça une musique exécrable de
Guy Marchand (tous aussi mauvais dans sa prestation), plus de la musique classique (? ? ?)... Je ne parle pas de Grace Jones qui est non seulement exécrable comme actrice mais vraiment pas attirante (mon Dieu quelle horreur). Minute 17, le type qui chante sur le tamtam doit être l'un des plus grands idiots que j'ai jamais vus, ça ne dure que quelques secondes mais j'ai envie de me barrer. Un navet sur des gens qui tournent un navet. Une étoile pour le casting dément et pour Catherine Lachens que j'aime beaucoup.
Guy Marchand (tous aussi mauvais dans sa prestation), plus de la musique classique (? ? ?)... Je ne parle pas de Grace Jones qui est non seulement exécrable comme actrice mais vraiment pas attirante (mon Dieu quelle horreur). Minute 17, le type qui chante sur le tamtam doit être l'un des plus grands idiots que j'ai jamais vus, ça ne dure que quelques secondes mais j'ai envie de me barrer. Un navet sur des gens qui tournent un navet. Une étoile pour le casting dément et pour Catherine Lachens que j'aime beaucoup.
Quelle suprise !
Je m'attendais à un film bassement potache et j'ai eu une vraie parodie de tournage d'un film pour hommes comme il s'en faisait à une certaine époque. C'est drôle du début à la fin, et mon sourire ne se décroche pas encore 😄
Les acteurs ont pris grand plaisir à jouer, ça se voit et ça fait plaisir.
Du cinéma français original, inspiré, divertissant et presque dénonciateur des conditions de production d'une catégorie de films de la vieille époque 😂
Je m'attendais à un film bassement potache et j'ai eu une vraie parodie de tournage d'un film pour hommes comme il s'en faisait à une certaine époque. C'est drôle du début à la fin, et mon sourire ne se décroche pas encore 😄
Les acteurs ont pris grand plaisir à jouer, ça se voit et ça fait plaisir.
Du cinéma français original, inspiré, divertissant et presque dénonciateur des conditions de production d'une catégorie de films de la vieille époque 😂
Deux producteurs de cinéma fauchés (Jean-Pierre Darras et André Pousse) espère se refaire en proposant à Claude Brasseur la réalisation d'une pseudo oeuvre érotico-intello...rien d'autre, en fait, suivant les réalités du tournage, qu'un porno basique.
Gérard Pirès entame une satire plaisante d'un genre alors en plein essor dans les salles de cinéma. On s'amuse des exigences artistiques du metteur en scène croyant encore pouvoir tourner une "oeuvre" et de l'alibi intellectuel spécieux derrière lequel se cache une entreprise mercantile. Toutefois, le caractère mordant de la comédie et l'ironie du cinéaste s'estompent pour laisser la place à une simple farce, volontiers portée, sujet oblige, sur la gaudriole.
Drôle mais moins impertinent, le scénario devient une succession de scènes décrivant un tournage foireux avec ses contingences techniques et humaines qui stigmatisent l'argumentaire grotesque du cinéma porno. Sans argent, ni savoir-faire, renonçant à ses ambitions artistiques, Manuel improvise dans la confusion des séquences ridicules.
On ne s'offusque pas des images et des propos graveleux qui sont un des arguments de la comédie de Pirès, mais on peut regretter que cette dérision parodique attachée au genre porno ne se décline pas de façon plus astucieuse et caustique.
Gérard Pirès entame une satire plaisante d'un genre alors en plein essor dans les salles de cinéma. On s'amuse des exigences artistiques du metteur en scène croyant encore pouvoir tourner une "oeuvre" et de l'alibi intellectuel spécieux derrière lequel se cache une entreprise mercantile. Toutefois, le caractère mordant de la comédie et l'ironie du cinéaste s'estompent pour laisser la place à une simple farce, volontiers portée, sujet oblige, sur la gaudriole.
Drôle mais moins impertinent, le scénario devient une succession de scènes décrivant un tournage foireux avec ses contingences techniques et humaines qui stigmatisent l'argumentaire grotesque du cinéma porno. Sans argent, ni savoir-faire, renonçant à ses ambitions artistiques, Manuel improvise dans la confusion des séquences ridicules.
On ne s'offusque pas des images et des propos graveleux qui sont un des arguments de la comédie de Pirès, mais on peut regretter que cette dérision parodique attachée au genre porno ne se décline pas de façon plus astucieuse et caustique.
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