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Un visiteur
5,0
Publiée le 25 novembre 2009
Film culte des années quatre-vingt, Police Academy a fait ce que seule l'Amérique a su faire. Un humour décalée de l'époque, des personnages stéréotypés comme on les aime, parfaitement acceptable pour une comédie où tout est grossi, amplifié. Répliques et expressions frappantes (Plus vite! plus vite! plus vite!), acteurs et actrices charismatiques (on remarquera Kim Cattrall, Samantha Jones de Sex and the City), tout concourt à un divertissement typique. Notons pour les âmes sensibles que les pendants de racisme et d'homophobie du film sont à replacer dans le contexte de la décennie, le film ne les encourageant pas, bien évidemment, surtout pour le racisme, pour sa part, dénoncé. L'homosexualité étant tout de même raillée mais jamais fustigée. L'acceptation de l'homosexualité par le médium d'humour, grand débat... mais excellent film.
Film qui eu son heure gloire à l'epoque. Humour au ras des paquerettes, on est très loin des délires ZAZ. Dire qu'il a tout de même engendré six suites, ça force le respect...
Film culte à l'humour stupide mais toujours très sympathique à regarder, je ne m'en lasse pas. Certains acteurs son vraiment hilarants surtout pour les rôles de Jones (le bruiteur) et surtout Tackleberry, le roi de la gâchette !
Entre l'humour au 364ème degré pas assumé, les faux-shows bien narcissiques et la nouvelle autofiction (très) risible; comment passer à coté d'un film au language certes imagé & digne de nos aînés, mais - de toute façon - pas si loin de la réalité... Pas si nul.
Aaaah ! Amenez donc les gags les plus potaches, les plus grivois et les plus limites moralement ! Le temps est venu de faire la comédie la plus dégénérée de sa génération. Paradoxalement, ce film est peut-être celui qui symbolise le mieux l’Amérique de Reagan. Tout par en couille, rien n’a de véritable profondeur, mais on s’éclate et c’est l’essentiel. Le pire, c’est que je trouve qu’au final, « Police Academy » fonctionne encore aujourd’hui, aussi bien pour son irrévérence que pour son humour décomplexé vis-à-vis de tout. Est-il utile de préciser par ailleurs que la scène de révolte urbaine à la fin est juste un bijou de film d’action, voire même de film historique ? Je ne sais d’ailleurs pas pourquoi ce premier épisode fonctionne si bien sur moi alors que je vis les suites comme de véritables plaies ? L’insouciance surement…
Premier d'une longue saga inégale, Police Academy est une comédie typique des années 80 où régnaient gags gentillets et humour gras. Véritable diablotin à la figure d'ange, Steve Guttenberg lance concrètement sa carrière avec ce premier opus où il incarne le facétieux Mahoney, le bleu qui donne du fil à retordre à ses supérieurs et en particulier le lieutenant Harris personnifié à vie par le génial G.W. Bailey. L'histoire, basée sur des faits réels, raconte comment des citoyens lambda se portent volontaires pour intégrer tant bien que mal les forces de police. Au programme : des recrues toutes plus délurées les unes que les autres, incarnant des personnages cultes comme Mahoney le blagueur, Jones le pro du bruitage, Tackleberry le psychopathe de la gâchette, Hightower le géant noir ou encore Callahan la bimbo instructrice à la poitrine protubérante. Des gags à chaque plan, pas forcément hilarants mais suffisamment drôles pour passer un agréable moment dans ce qui est le meilleur opus de l'heptalogie.
Une comédie fort sympathique aux gags jamais lourdingues grâce aux acteurs malicieux, et qui prend délicieusement en compte la diversité ethnique du personnel de police. A recommander pour rire un bon coup.
une très bonne comédie sur l'école de police. completement loufoque du début a la fin, on passe un très bon moment grace au multiple situations humoristique parfois a la limite du ridicule. le must de la comédie durant les années 80.
Des gags relativement sympas au début, on rigole bien pendant la première moitié. Et puis ça devient n'importe quoi, on tombe vite dans le style de films que je m'attendais à voir, où finalement le but premier du film est oublié - à savoir faire rire le spectateur.