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Ykarpathakis157
4 554 abonnés
18 103 critiques
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3,0
Publiée le 21 avril 2021
Police Academy n'est pas le Pont de la rivière Kwai mais ce n'est pas non plus Power Rangers. Mais son humour de bas étage correspond parfaitement à l'ère du cinéma qui nous a donné Porkys, Revenge Of The Nerds, Animal House et Caddyshack. Je suis d'accord que ce premier film est jugé injustement à cause de ses nombreuses suites qui sont peu ou pas drôles...
un film culte des année 80 qui est notamment citer dans les Simpson autre série, films qu'il a inspirer. Une académie de police a décider sous les ordres de la nouvelle maire de la ville d'ouvrir son recrutement à tout le mine quelque soit sa taille , sexe , son poids ou bien même son âge. Beaucoup de personne garder au seins de cette académie ne veulent pas de cette nouvelle mesure car il savent qu'il vons récupéré des nuls il décident donc de les entraîner jusqu'à que tous le monde craque et quittent l'école. Une comédie qui a du mal à ce mettent en routes on ne rigole pas au début, puis grasse notamment au imitation, bruitage d'un personnage qui sont juste incroyable on peux enfin rigoler , puis nous renouvelons cela avec des scène plutôt bien travailler, et humoristique . Nous sommes bien conscient que a notre époque certains dialogue ne pourrait plus être dit pour ne pas choquer la bien séance pronné partout . Une fois le film bien lancer nous passons une bonne soirée qui devrait divertir tous le monde .
Premier épisode d'une saga interminable, une comédie américaine culte des années 80, à l'humour bien gras mais qui a mal vieilli malgré quelques scènes toujours marrantes.
Police Academy est une comédie pas terrible des années 80. Le succès de ce film laisse un peu perplexe (il a tout de même donné naissance à six suites et deux séries télévisées), tant les gags ne sont franchement pas top et il n'y a rien de mémorable dans ce long-métrage. Les gags sont assez faciles (peut-être qu'à l'époque, ils n'étaient pas éculés, mais au jour d'aujourd'hui, ils le sont). Les acteurs jouent correctement, mais il n'y a rien d'extraordinaire à noter (d'ailleurs, à part peut-être Kim Catrall, peu de noms resteront en mémoire et marqueront l'histoire du cinéma). Bref, rien de mémorable. Le culte par toute une génération autour de ce film me paraît bien exagéré.
Ah les films des 80's!! Soit ils restent dans les mémoires, soit ils restent pas, eh bien, "Police Academy" n'aurait pas du rester. Nettement moins drôle que les films des ZAZ et vu que le scénario est réduit au néant, la sauce ne prend pas. Dommage, j'en avais gardé un meilleur souvenir!!
Ce premier opus de la franchise "Police Academy", réalisé par Hugh Wilson et sorti en 1984, est assez mauvais, enfin en tout cas à mon goût. J'ai en effet d'ailleurs été assez surpris car même si je ne m'attendais pas à une grande comédie, je m'attendais à quelque chose qui soit dans la même veine que "Y a t-il un pilote dans l'avion ?" ou encore des deux "Hot Shots!", ce qui ne fut malheureusement pas le cas. C'est l'histoire ici d'une bande de bras cassés qui veulent entrer dans la police pour cela, ils doivent d'abord passer par l'académie. Voilà, le scénario n'est pas très original, c'est plus ici un prétexte pour nous donner des scènes de gags, ce qui n'est d'ailleurs pas du tout dérangeant dans ce genre de film. Je m'attendais d'ailleurs à un humour burlesque très marqué avec des gags de qualité devant lesquels on rigole, tout simplement. Et bien, mis à part quelques uns, je n'ai pas franchement rigolé et j'ai même trouvé le film assez long ! L'humour est en effet assez lourd, les scène de gags sont longues (notamment celle où le commandent Lassard a droit à une fellation lorsqu'il présente les diapositives, qui est interminable) et dans la plupart des cas, l'humour ne fonctionne pas, ou je n'y suis en tout cas personnellement pas réceptif. En ce qui concerne les acteurs, nous avons, entre autres, Steve Guttenberg, G.W. Bailey, Bubba Smith, George Gaynes etc. qui ne jouent pas trop mal. "Police Academy" est donc un premier film assez mauvais d'une saga que je vais tout de même continuer à regarder par curiosité.
Un classique de la comédie américaine des années 1980. Quand une armée de "looser" débarque pour devenir policier, on peut être sur que les catastrophe vont suivre. Ce long métrage permet de voir la vie d'un groupe de jeunes recrues non destinée à rejoindre les forces de l'ordre. Ce film est à regarder au second degrés.
En 1984, Police Academy sort et nous fait intégrer une école de Police où, assez bizarrement, les gradés ne veulent pas de recrues. Celle-ci sont, il faut bien l'avouer, très originales.. sur le ton de la comédie made in US (des années 80), nous suivons quelques personnages hauts en couleur dans leurs tribulations d'apprentis policiers, le fer de lance étant Mahoney (Steve Guttenberg) aussi désinvolte qu'indiscipliné. Outre l'aspect "militariste décérébré", le film pointe une certaine délinquance dans les 20 dernières minutes, plus proche de la comédie forcément que de la critique générale d'un système de maintien de l'ordre à proprement parlé. Reste que Police Academy a globalement bien vieilli, que certains gags font encore sourire et qu'il est agréable de revoir Kim Cattrall dans un rôle différent de Sex and the City.
Vraiment marquée années 80, cette comédie policière a le mérite d'avoir un scénario original : la mairie d'une ville décide d'abolir tous les critères d'entrée à l'école de police et ouvre ainsi la porte à toute une bande de bras cassés durant 14 semaines de formation.
De cette bonne idée va découler une histoire intéressante, laquelle distille des situations cocasses et des bonnes vannes. Surtout, l'équipe a su créer un univers attachant. Je me suis senti bien, détendu, en regardant les péripéties de ces cadets.
Et puis, les personnages sont tous intéressants avec leurs traits de caractère dominant. On sent beaucoup d'insouciance et de bienveillance dans ce long-métrage. Cela me donne envie de découvrir la suite !
La « Police Academy » est comique, un scénario spécial pour les grands guignols des forces de l’ordre, la meilleure du monde. Une mode qui intègre ces comédies du genre déjanté, des blagues lourdingues, allusions sexuelles, moqueries, les sketchs doivent être inventifs. La belle devise est de servir, protéger au sein de la pluralité et diversité dans la grande police américaine, une comédie moyenne, pas mauvaise ni nulle. Il ne manque plus qu’une feuille de route satire et l’enregistreur de spot publicitaire pour tous postuler.
Film ayant rencontré le succès dans les années 80 (au point d’avoir donné naissance à 6 suites, une série animée et une série télévisée), Police academy est un pur divertissement qui n’a aucune prétention artistique (les transitions entre les séquences avec l’image qui pivote sont totalement et sûrement volontairement ringardes). Le seul intérêt du film est un enchaînement de gags souvent lourds (les allusions sexuelles sont légion) influencés par les ZAZ (le succès de Y a-t-il un pilote dans l’avion ? n’a que quatre ans) qui met en scène des personnages tous plus bêtes et plus caricaturaux les uns que les autres (le fou de la gâchette, l’human beatbox, la petite fille de riches, la femme timide et empotée, le géant au grand cœur, l’instructrice très stricte qui s’appelle Callahan comme l’inspecteur Harry…) au point que même un des personnages a pu lointainement inspirer Stanley Kubrick (le lieutenant instructeur Harris fait fortement penser au sergent instructeur Hartman de Full Metal Jacket qui sera tourné trois ans plus tard !). Le film bénéficie aussi de visages présents dans d’autres films populaires des années 70 et 80 comme Steve Guttenberg (Cocoon, Short circuit…), G.W. Bailey (Short circuit), Bubba Smith (les séries Wonder Woman, Drôles de dames et Mike Hammer) ou George Gaynes (Tootsie ou les séries Papa Schultz, L’Homme qui valait trois milliards et Punky Brewster). Le résultat est un film volontairement caricatural (au point que l’on accepte ce qui passerait aujourd’hui pour des blagues homophobes) qui est le niveau 0 d’un point de vue cinématographique et dont le scénario est volontairement nul et qui n’a pour unique but que de divertir sur le moment, ce qu’il réussi à faire, mais qui a beaucoup vieilli et qui est aussitôt vu, aussitôt oublié.