Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
BabsyDriver
80 abonnés
817 critiques
Suivre son activité
2,5
Publiée le 31 juillet 2008
Une comédie fort sympathique aux gags jamais lourdingues grâce aux acteurs malicieux, et qui prend délicieusement en compte la diversité ethnique du personnel de police. A recommander pour rire un bon coup.
Premier d'une longue saga inégale, Police Academy est une comédie typique des années 80 où régnaient gags gentillets et humour gras. Véritable diablotin à la figure d'ange, Steve Guttenberg lance concrètement sa carrière avec ce premier opus où il incarne le facétieux Mahoney, le bleu qui donne du fil à retordre à ses supérieurs et en particulier le lieutenant Harris personnifié à vie par le génial G.W. Bailey. L'histoire, basée sur des faits réels, raconte comment des citoyens lambda se portent volontaires pour intégrer tant bien que mal les forces de police. Au programme : des recrues toutes plus délurées les unes que les autres, incarnant des personnages cultes comme Mahoney le blagueur, Jones le pro du bruitage, Tackleberry le psychopathe de la gâchette, Hightower le géant noir ou encore Callahan la bimbo instructrice à la poitrine protubérante. Des gags à chaque plan, pas forcément hilarants mais suffisamment drôles pour passer un agréable moment dans ce qui est le meilleur opus de l'heptalogie.
Des gags relativement sympas au début, on rigole bien pendant la première moitié. Et puis ça devient n'importe quoi, on tombe vite dans le style de films que je m'attendais à voir, où finalement le but premier du film est oublié - à savoir faire rire le spectateur.
Une comédie bien sympathique que nous dévoile Hugh Wilson ! Son premier essai est un succès dans le sens où il parvient à promettre un divertissement complet. Le burlesque ne manquera pas de surprendre, bien qu’il tienne à conserver sa trame sérieuse. Le film rebondit sur chacun de ses gags, et le ton humoristique prend les rênes du rythme effréné de l’intrigue. Nous avons donc droit à une équipe de bras cassés, têtus mais indépendant. Chacun se définit par un fort caractère qui les rend unique. On porte ainsi l’humour à son apothéose lorsque ces individus viennent à effectuer leur formation. Toute le teneur du projet tient donc dans cette optique d’évolution, tant sur le plan physique que psychologique. On n’aborde jamais trop le sujet pour divertir encore plus, mais l’on comprend instinctivement cette ascension, non pas vers la maturité mais vers la responsabilité dans un premier temps. Aussi bien chez les formateurs que les apprentis, on retrouve cette complicité de camaraderie. Carey Mahoney (Steve Guttenberg) étant sans nul doute le plus « normal » de tous, poursuit un parcours initiatique vers une identité qu’il acquérir dans les valeurs de la police. On passe par toutes les émotions et l’esprit de compétition entre parfois en collision avec la solidarité. Toutes les grandes ethnies sont représentées, mais certains se laissent dominer au second plan par leur seule aptitude spéciale. Quelques clichés rugissent sur la scène des défauts et faiblesses du film, que l’on pardonne au second degré de l’humour. Le volontariat bénéficie néanmoins d’une bonne morale que l’on adopte rapidement chez la personne lambda, qui demande encore à grandir et trouver sa place dans la vie, en dehors de l’académie et de ses exigences. Au final, on se contente de peu. Le rire est au garde à vous et « Police Academy » dégage un charme qui comblera à point le spectateur. Il convient de le déguster entre amis ou famille, là où les années 80 continueront à nous bercer en œuvres populaires !
A mi-chemin entre Benny Hill et « Les sous-doués », le premier long-métrage du réalisateur américain Hugh Wilson constitue une vaste bouffonnerie. Sortie en 1984, cette parodie de la police new-yorkaise ne franchit jamais la ligne de la finesse. Finalement, c’est l’avalanche de gags plus ou moins réussis qui donne un caractère délirant à cette comédie. Les personnages exagérément caricaturaux finissent également par devenir attachants. Bref, un divertissement populaire, proche du navet, mais qui procure une certaine rigolade.
De l'humour qui faisait peut-être rire dans les années 80. Aujourd'hui, c'est de l'entrée de gamme auquel, franchement, il est difficile de sourire ! Ce n'est pas assez tordu, les dialogues ne sont pas assez drôles et la musique ne colle pas bien aux scènes. Il faut sans doute l'avoir vu dans son enfance pour en apprécier toutes les saveurs. Personnellement, j'ai de très loin préféré l'humour des "Police Squad", bien plus déjanté et mieux joué !
Un avis mitigé pour ce film (pourtant il est culte) la plupart des gags sont lourdingues et gras mais étre assez drole (mention séciale a "la téte dans le cul du cheval"). Certains acteurs ne sont pas trés bon (Kim Catrall,et d'autes).a mon gout seul Geoges Gaynes et G. W. Bailey interprétes bien leurs roles
Un nanar qui se laisse regarder pour ses gags parfois hilarants, mais c'est tout. Le scénario est débile, les acteurs très mauvais et les situations parfois d'un goût douteux. Et pourtant, cette série connaitra de nombreux épisodes tout aussi dispensables que celui-ci.