Laisse tes mains sur mes hanches : Critique presse
Laisse tes mains sur mes hanches
Note moyenne
3,6
16 titres de presse
Studio Magazine
Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
Ciné Live
L'Express
Libération
MCinéma.com
TéléCinéObs
Zurban
Aden
Cinopsis.com
L'Humanité
Le Monde
Les Inrockuptibles
Première
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Cahiers du Cinéma
par Charles Tesson
Dès la première séquence, le premier film de Chantal Lauby donne le ton et emporte le morceau.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
(...) la comédie tient la route, avec des réminiscences de Nuls, un propos assez juste sur le personnage principal, quelques belles idées de comique de langage, un équilibre, de brefs instants de grâce : c'est très bien, on n'en demandait pas plus.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Libération
par Didier Péron
Photographié avec une grande sophistication par Tetsuo Nagata (la Chambre des officiers) qui magnifie par d'audacieuses contre-plongées les scènes les plus banales, Laisse tes mains... offre un refuge fleur bleue bienvenu en ces temps de surtension kaki.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Olivier-Pierre Salvano
Soignée, jolie, légère, inoffensive bien qu'un peu naïve (c'est aussi la caractéristique principale de son personnage), la première "petite oeuvre" de Chantal Lauby dépasse le stade de la sympathique comédie française moyenne pour effleurer disons celui... d'un "nouveau cinéma relaxant et attendrissant"!
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Les répliques fusent et Chantal Lauby réussit à faire battre notre coeur au diapason d'une histoire simple (...).
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Stéphane Brisset
Pour avoir su se livrer sans efforts ni effets, Chantal Lauby a réussi son pari : Laisse tes mains sur mes hanches est une réussite qui fait figure d'exception dans le registre parfois trop peu vigoureux de la comédie française.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Aden
par Philippe Piazzo
Ça suffit pour l'ambiance, pour faire une petite comédie décontractée et rêveuse où l'on assume d'être à la fois vulgaire et sentimental. Où l'on se fout de son concierge, pour ensuite passer la nuit à discuter sur son perron. Laisse tes mains... est un de ces petits films, comme ça, où il suffit de cinq minutes pour se faire du bien.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cinopsis.com
par Eric Van Cutsem
Enfin, avec une critique ironique sur le monde du show biz en général et les comédiens en particulier, des dialogues bien sentis qui font souvent mouches, avec une volonté d'éclairer les dilemmes de la quarantaine, Chantal Lauby nous livre un film sans conteste sensible et drôle mais qui parfois manque sa cible et se perd un peu (...).
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Malgré quelques bonnes idées (comme le duel de baisers entre Lauby et son amoureux), cette comédie moins putassière que le film de Jeunet en porte les stigmates acidulés et rétro. En plus, l'humour disparaît assez vite au profit d'une love story de carte postale entre l'héroïne et un forain bourru au look fifties. On est loin de la provoc' des Nuls.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Isabelle Regnier
Devant cette comédie "féminine", on rit parfois, on se complaît surtout dans des souvenirs un peu rances de l'époque dorée de Canal+ et des Nuls, distillés à force d'autocitations. On est content pour Chantal de s'apercevoir qu'elle a quelques idées, un sens du rythme, voire du cadre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Comédie plaisante, pas putassière pour un sou, ce qui change. Mais l'ensemble reste décoratif.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbnne
Bref, les éléments comiques du film, au demeurant fort bien réalisé, sont plutôt efficaces. Mais, dès qu'il s'agit d'entrer dans le vif du sujet, ça se gâte (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Cécile Mury
Sur les accords d'un vieux tube fleur bleue, cette mélodie d'Adamo que reprend le titre du film (le chanteur lui même fait une apparition clin d'oeil), on est touché par cette sincérité, qui finit, hélas, pas se diluer dans les clichés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
Dès la première séquence, le premier film de Chantal Lauby donne le ton et emporte le morceau.
Chronic'art.com
(...) la comédie tient la route, avec des réminiscences de Nuls, un propos assez juste sur le personnage principal, quelques belles idées de comique de langage, un équilibre, de brefs instants de grâce : c'est très bien, on n'en demandait pas plus.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
Photographié avec une grande sophistication par Tetsuo Nagata (la Chambre des officiers) qui magnifie par d'audacieuses contre-plongées les scènes les plus banales, Laisse tes mains... offre un refuge fleur bleue bienvenu en ces temps de surtension kaki.
MCinéma.com
Soignée, jolie, légère, inoffensive bien qu'un peu naïve (c'est aussi la caractéristique principale de son personnage), la première "petite oeuvre" de Chantal Lauby dépasse le stade de la sympathique comédie française moyenne pour effleurer disons celui... d'un "nouveau cinéma relaxant et attendrissant"!
TéléCinéObs
Les répliques fusent et Chantal Lauby réussit à faire battre notre coeur au diapason d'une histoire simple (...).
Zurban
Pour avoir su se livrer sans efforts ni effets, Chantal Lauby a réussi son pari : Laisse tes mains sur mes hanches est une réussite qui fait figure d'exception dans le registre parfois trop peu vigoureux de la comédie française.
Aden
Ça suffit pour l'ambiance, pour faire une petite comédie décontractée et rêveuse où l'on assume d'être à la fois vulgaire et sentimental. Où l'on se fout de son concierge, pour ensuite passer la nuit à discuter sur son perron. Laisse tes mains... est un de ces petits films, comme ça, où il suffit de cinq minutes pour se faire du bien.
Cinopsis.com
Enfin, avec une critique ironique sur le monde du show biz en général et les comédiens en particulier, des dialogues bien sentis qui font souvent mouches, avec une volonté d'éclairer les dilemmes de la quarantaine, Chantal Lauby nous livre un film sans conteste sensible et drôle mais qui parfois manque sa cible et se perd un peu (...).
L'Humanité
Malgré quelques bonnes idées (comme le duel de baisers entre Lauby et son amoureux), cette comédie moins putassière que le film de Jeunet en porte les stigmates acidulés et rétro. En plus, l'humour disparaît assez vite au profit d'une love story de carte postale entre l'héroïne et un forain bourru au look fifties. On est loin de la provoc' des Nuls.
Le Monde
Devant cette comédie "féminine", on rit parfois, on se complaît surtout dans des souvenirs un peu rances de l'époque dorée de Canal+ et des Nuls, distillés à force d'autocitations. On est content pour Chantal de s'apercevoir qu'elle a quelques idées, un sens du rythme, voire du cadre.
Les Inrockuptibles
Comédie plaisante, pas putassière pour un sou, ce qui change. Mais l'ensemble reste décoratif.
Première
Bref, les éléments comiques du film, au demeurant fort bien réalisé, sont plutôt efficaces. Mais, dès qu'il s'agit d'entrer dans le vif du sujet, ça se gâte (...).
Télérama
Sur les accords d'un vieux tube fleur bleue, cette mélodie d'Adamo que reprend le titre du film (le chanteur lui même fait une apparition clin d'oeil), on est touché par cette sincérité, qui finit, hélas, pas se diluer dans les clichés.