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    Les Centurions
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    Rof700
    Rof700

    1 critique Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 août 2024
    " Synopsis
    Après quatre mois de captivité chez les "Viets", le lieutenant Raspeguy..."

    Il n'était pas lieutenant mais au moins lieutenant-colonel ! Dans l'armée, c'est une différence énorme, un peu comme entre un instituteur et un professeur d'université (sans garantie de précision à 0,000004 près). Faites gaffe à ce que vous écrivez et relisez car tout le monde (moi aussi) commet quelques erreurs et des fautes de frappe.

    Oui, Anthony Quinn était parfait pour ce rôle.

    Critique : tous ces capitaines se battent comme de simples soldats, armés du fameux pistolet-mitrailleur MAT 49, ET LE COLONEL AUSSI ! C'est parfaitement irréaliste : les officiers sont là pour encadrer et diriger leurs hommes, pas pour se battre comme eux sans savoir ce qui se passe. Film assez réaliste par ailleurs : les bons subissent des pertes sensibles au combat, eux aussi, contrairement à ce qu'on voit dans la plupart des films de guerre.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 141 abonnés 5 118 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 octobre 2022
    Je ne suis pas client des films de guerre mais celui-ci a un élan terrible qui nous possède.
    Les acteurs sont superbes sans tomber dans l’héroïsme. Quinn entre autres qui emmène tout le monde dans sa lancée pour l’honneur du métier presque.
    L’action est au rendez-vous et les reconstitutions assez fortes.
    Bon film.
    stans007
    stans007

    23 abonnés 1 311 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 septembre 2022
    D’après le roman de Jean Lartéguy, avec un personnage fort de colonel basque - inspiré de Marcel Bigeard - joué par un Anthony Quinn qui s’en donne à cœur joie. Le film commence en Indochine où malgré la défaite de Dien Bien Phu, les parachutistes français se montrent d’une arrogance ricanante face à des Viets stupides. Avec ses officiers béats manifestant une virilité militaire de pacotille, ils repartent pacifier l’Algérie et se retrouvent – sans surprise - face à un de leurs anciens devenu chef de la rébellion. La seconde partie est une chasse à l’homme menée par ces parachutistes courageux dont le comportement souvent irresponsable (amourettes, scène des mouchards…) justifie la célèbre chanson de Maxime Le Forestier…Un film enlevé où paradoxalement triomphent des militaires vaincus deux fois.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 517 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 juin 2021
    J'ai regardé Les Centurions par intérêt pour voir comment l'expérience française de Dien Bien Phu pourrait être dépeinte mais ce n'était qu'une petite partie de l'histoire et cette déception s'est prolongée pendant tout le film. Il s'agit d'un autre de ces films de guerre génériques où les tactiques sont irréalistes au point d'être idiotes le matériel et l'équipement sont ceux que l'on trouve sous la main plutôt que de tenter quoi que ce soit mais de la manière la plus vague et l'histoire est également assez stupide. Il ne vaut la peine d'être regardé que pour la nouveauté de son sujet et encore je n'en suis même pas certain...
    mourad ramdani
    mourad ramdani

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 juin 2021
    Le personnage du lieutenant-colonel Raspéguy est inspiré de Marcel Bigeard. Anthony Quinn d'ailleurs a dédicacé une photo du film à Bigeard en ces termes : « Vous l'avez vécu, je l'ai simplement joué ».
    Yaes
    Yaes

    5 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 mai 2020
    Il est important que je sois honnête dès le début de cette critique : il ne s’agit pas là d’un grand film. Mais il présente toutefois certaines qualités qui ne sont pas négligeables.
    Commençons, si vous le voulez bien, par ses défauts. Si vous voulez voir un grand film de guerre, épique, haletant, passez votre chemin ! Les scènes de combat sont filmées très platement, sans envergure, malgré la beauté des décors naturels. Si vous souhaitez voir un cours sur la guerre d’Algérie, là aussi, je crains que vous ne soyez déçus… En effet, sans être un spécialiste, il y a de nombreuses inexactitudes. Alors, me direz-vous, vous pensez que j’ai l’intention de « descendre » le film comme je l’ai fait récemment pour le remake du Roi lion.
    Eh bien, non, car ce film possède de réelles qualités ! Tout d’abord, il s’agit là du premier film, américain, et pas français, sur la guerre d’Algérie. La guerre d’Indochine est évoquée, mais de façon très fugace et quelque peu caricaturale. Souvenons-nous que le gouvernement français avait interdit toute production sur le sujet à cette époque et il faudra attendre 1 973 et R.A.S d’Yves BOISSET pour voir un film s’y rapportant.
    Le film est centré sur le personnage joué par Anthony QUINN, le lieutenant-colonel Raspeguy, un officier en délicatesse avec l’autorité qui, au sortir du conflit indochinois se retrouve sans commandement (le fameux Lost command du titre original), à deux doigts d’être viré de la grande muette. Mais la relation qu’il entame avec la veuve de l’un de ses subordonnés décédé en Asie, d’une grande famille de tradition militaire, lui permet de recouvrer un poste. Je vois bien que la vraisemblance de la situation vous chagrine, mais ne nous arrêtons pas à ça.
    Avant de partir rejoindre son régiment, constitué aux dires de son supérieur de rescapés et blessés de tout poil, il rassemble ses hommes et leur propose un baroud d’honneur pour solidifier sa structure armée. Evidemment, ils acceptent tous et rempilent pour régler la situation de guerre civile dans la colonie française.
    Une fois sur place, les hommes sont formés à la dure par ces combattants confirmés et deviendront des guerriers honorables, comme la plupart des hommes. Ils seront envoyés dans les Aurès et combattront les rebelles. Ils feront de même à Alger, où ils seront rappelés un peu plus tard pour ramener l’ordre et la paix.
    Le récit et les péripéties sont classiques, mais ce qui est particulièrement intéressant, c’est l’opposition des caractères de cette troupe, notamment les 3 personnages centraux : Raspeguy, le capitaine Philippe ESCLAVIER (Alain DELON) et le capitaine Boisfeuras (Maurice RONET). Boisfeuras est un sanguinaire : il se bat parce qu’il aime ça et n’hésite pas à se venger sauvagement lorsque ses hommes sont tués, ou à torturer pour obtenir des renseignements. Esclavier est un humaniste en kaki. Il est prompt à aller au combat et défend ses camarades, mais souhaite une guerre « propre », dans le respect de l’ennemi et de l’esprit de la guerre. Au milieu, Raspéguy est beaucoup plus ambigu, puisqu’il joue sur les deux tableaux et se sert de ses deux bras droits pour maintenir l’équilibre précaire qui règne au sein de son régiment en ces temps troublés. Il n’obtient l’obéissance de ses hommes que dans les situations extrêmes où il n’hésite pas à combattre avec eux. Le reste du temps, il est opportuniste. Il feint de ne pas savoir la torture au sein de son unité, mais se gargarise et se sert de ses résultats. Après l’expédition punitive sur un village du désert, il s’en prend à Escalvier pour n’avoir pas us tenir les hommes, puis abandonne tout esprit de sanction lorsqu’il est félicité par le général pour ses résultats. Ce personnage est au final assez velléitaire. Il ne donne pas une image très reluisante du supérieur militaire.
    Tous ces conflits internes ne mèneront qu’à deux choses, comme c’est souvent le cas dans ces cas-là : la décoration des opportunistes et des sanguinaires et le départ de l’humaniste écœuré par tant de lâcheté morale. A ce titre, la toute dernière séquence est particulièrement réussie. Elle voit Alain DELON revenir à la vie civile. En sortant de la caserne, il voit des algériens laver le mur du bâtiment pour effacer le mot « indépendance » et, au coin de la rue, de jeunes arabes s’enfuir à son approche alors qu’ils sont en train d’inscrire le même terme sur un nouveau mur. Esclavier s’en va alors, souriant à l’ironie de la situation. Cette séquence symbolise parfaitement l’opposition et le combat entre la force colonisatrice et la volonté de liberté du peuple opprimé, qui se relève sans cesse pour se battre, avec ses propres armes, même si elles sont parfois bien dérisoires. En l’occurrence, elles aboutiront au gain de la fameuse indépendance, comme cela avait été le cas en Indochine.
    En définitive, il ne faut pas s’arrêter qu’aux scènes de batailles mal filmées… Il y d’autres intérêts à voir ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 27 juillet 2019
    Ce film est bien de son époque. Les acteurs sont de qualité mais ils ne sont pas responsables du scénario. Ce film n'a aucun intérêt autre que d'être une distraction des années 60... c'est-à-dire désuet.
    Mais que l'on ne colle pas le nom de Jean Lartéguy à cette comédie car iI a été trahi dans son œuvre du début à la fin...
    Le film ne vaut donc que dans la présence de bons comédiens, c'est tout.
    vivaBFG
    vivaBFG

    13 abonnés 1 284 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 mars 2019
    Voilà un bon film qui nous replonge dans la guerre d'Algérie et son ballet d'horreur (comme toutes les guerres d'ailleurs).
    Ne cherchez pas la fidélité avec les faits historiques, vous seriez déçu. Par contre, l'ambiance fin année 50, début années 60 est bien rendue ainsi que les décors. Par contre, les scènes de combat ont très mal vieillies, et ont un caractère tellement désuet qu'elles peuvent faire sourires.
    Un divertissement léger, qui évoque bien l'ambiance guerre d'Algérie. A voir à la rigueur par les amateurs du genre ou pour les amateurs d'Alain Delon
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 août 2018
    La seule interprétation suffit à disqualifier ce film. Anthony Quinn n'est pas plus crédible qu'Alain Delon. Aucun des deux ne donne la moindre idée des vraies relations entre militaires : tout sonne faux. C'est un naufrage.
    Arnaud D.
    Arnaud D.

    3 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 janvier 2018
    un bon film , pas de politique , très neutre finalement
    Pour une fois la vérité est dite sur l’Algérie ....le Terrorisme a Alger et la violence de la lutte contre .
    La violence est des deux coté
    Famille de colon massacré , soldat tué avec brutalité , représailles et torture
    Le film s’arrête relativement tôt dans la guerre et ne fait pas mention du général de Gaulle ce qui veut dire que nous somme avant 1958
    Coté casting , rien a redire
    Eselce
    Eselce

    1 385 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mars 2016
    J'ai beaucoup aimé le début, surtout le coup de la jeep. J'ai moins apprécié l'heure suivante mais une fois entrer chez les hommes du colonel, avec la pratique de la torture, les enquêtes, les dupes, les attentats... Le film devient intéressant et apporte un œil intéressant quant aux difficultés, pour les militaires français, de mener la guerre d'Algérie. Peu de combats, beaucoup d'enquêtes et de traques à l'ennemi. Bon film, pour moi, avec d'excellents acteurs.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 662 abonnés 12 398 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 septembre 2014
    En exergue du film de Mark Robson, une citation de la bataille de Diên Biên Phu en 1954 : « Après huit annèes de combats entre la fière armèe française et les guerillas rebelles vietnamiennes en Indochine, la fin est proche »...Suivons les ordres bien français du lieutenant-colonel Anthony Quinn dans un rèquisitoire contre la guerre conventionnel malgrè tout sauvè par son excellente distribution (Alain Delon, Claudia Cardinale, Jean Servais...). On s'en doute, "Lost Command", d'après le roman de Jean Lartèguy, n'avait pas grand intèrêt à sa sortie et ètait plus un produit typique du cinèma commercial! La coproduction italo-espagnole "Marcia o crepa" du rèalisateur allemand Frank Wisbar ètait tout à fait à l'opposè (interprètèe par Stewart Granger). Le film exprimait une vision ingènue et manichèiste, transformant les parachutistes en superhèros et les rebelles en imbèciles! On se demande quand même ce que vient fiche Maurice Ronet dans ce film de guerre violent et dur ? Tout comme Michèle Morgan en Contesse de Clairefons qui esquisse quelques pas de danse matinaux! Heureusement Quinn et Delon limitent la casse en campant deux hèroïques combattants français en Algèrie! Vous savez que les arabes disent que le courage de tes amis est ta famille! Mais les chinois disent ègalement que le courage de votre ennemi vous fait honneur! Mèditez la-dessus...
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    202 abonnés 1 909 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 avril 2014
    Les guerres d'Indochine et d'Algérie filmées à la manière des plus mauvais westerns des années cinquante. Les Vietnamiens et les Algériens remplacent les Indiens. A la gloire des paras, ce film de propagande militariste est d'autant plus malhonnête qu'il s'applique à se donner une apparence "objective". La torture n'est ainsi pas complètement occultée, mais elle est minimisée voire montrée comme pratiquée à l'insu du colonel Raspeguy - les tortionnaires s'efforcent de cacher leur forfait à son entrée dans la salle d'interrogatoire. Or le futur général Bigeard, dont est inspiré Raspéguy, se vantait de l'utilisation de la torture, laquelle était systématique. Les scènes de batailles sont elles aussi falsificatrices. On imagine pas qu'une unité française serait montée à l'assaut d'une position de l'ALN en escaladant un promontoire rocheux. Le lieu aurait été bouclé et l'état-major aurait envoyé l'aviation "traiter" le lieu au napalm. Il ne s'agissait pas d'un combat à armes égales. Le casting prestigieux qui réunit Deneuve, Delon, Ronet (abonné aux rôles de para...) et Claudia Cardinale dans un rôle grotesque ne parvient pas à sauver ce navet tellement la réalisation de Mark Robson est fade et le scénario ridicule. Le seul intérêt des Centurions est de nous rappeler comment, en 1966, on osait présenter une guerre coloniale. De même que les Indiens étaient joués par des Blancs dans les premiers westerns, pas un comédien n'est Maghrébin dans ce film, ce qui est déjà lourd de signification raciste...
    djeff17
    djeff17

    4 abonnés 164 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 avril 2014
    Le moins que l’on puisse dire de cette adaptation du célèbre roman de Jean LARTEGUY est qu’elle est totalement ratée. La faute à un réalisateur de second ordre, dénué du moindre talent, et à un casting hasardeux, avec en vedette Anthony QUINN dans le rôle du colonel RASPEGUY ( librement inspiré par le futur général BIGEARD ) qui, afin d’être aisément reconnu ( ?) ne quitte jamais son béret rouge – sauf peut-être au lit avec Michèle MORGAN, et encore…On ne retrouve à aucun moment l’énergie et l’engagement, excessif pour certains, de ces soldats abandonnés en Indochine par des politiciens irresponsables et vaincus durement à Dien-Bien-Phu. La guerre d’Algérie était leur combat, celui qu’ils ne voulaient surtout pas perdre, et tant pis si leurs moyens n’étaient pas plus honorables que ceux de leur adversaires. Cette thématique est passée totalement aux oubliettes, et il ne reste que des vues de quelques jeeps et camions cahotant dans une sierra espagnole, censés transporter tout un régiment ( !), quelques scènes ridicules de combat qui auraient mieux convenu à un western de série B – les figurants se jetant à terre avec allégresse - et les saluts militaires hilarants de la vedette Anthony QUINN. A propos de comique, la palme revient sans discussion à la scène de l’interrogatoire musclé de Claudia CARDINALE par Alain DELON, le couple inoubliable campé trois ans seulement auparavant par Luchino VISCONTI dans Le Guépard. On tombe de très haut, mais il est vrai que Mark ROBSON n’est pas vraiment de la pointure de VISCONTI. Enfin, puisque la note comique semble indissociable de ce film, ne manquez surtout pas le résumé qu’en donne Allo Ciné et qui ne peut avoir été rédigée que par quelqu’un qui n’a pas visionné le film ( ou qui s’est profondément endormi ). On y confond colonel et capitaine –retombé même lieutenant, RASPEGUY et ESCLAVIER et on vous avertit qu’il va y avoir divers problèmes…Au fond, pourquoi ne pas en rester là ?
    Diszi
    Diszi

    1 abonné 70 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 février 2014
    Je crois que les films sur la guerre d’Algérie se comptent sur les doigts d'une main. Un roman historique qui rappelle les mauvais souvenirs des années 60 à l'intérieur de ce que fut les "30 glorieuses". Contrairement à la guerre de 40 les français qui combattirent en Algérie eurent l'impression de se battrent pour rien en plus des morts.
    On peut sourire à voir un hélicoptère Alouette et pourtant c'était la vérité , les moyens militaires en 1954 date du début de la révolution étaient limités.
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