Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Humanité
par Magali Jauffret
Une vraie liberté de la parole et du corps est à l'oeuvre dans ce film (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
L'amour et le sexe sont des matières moins digestes que d'autres, mais le terrible mérite de Et si on parlait d'amour... est de les avoir inscrits au menu.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) cette série de reportages filmées avec la plus grande sobriété possible ne manque pas d'intérêt et ne transforme pas le spectateur en voyeur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Caroline Collard
Forcément choquant au départ, le procédé consistant à filmer les " relations sexuelles explicites " de tous les participants se justifie pleinement pour le réalisateur. On peut discuter de l'opportunité de montrer ces scènes, mais l'ensemble du film et de son propos est étonnamment percutant, captivant, instructif et émouvant.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
L'ensemble du film souffre un peu d'une déficience d'implicite, de complexité, d'ambiguïté. On se doit de rassurer : rien d'anormal puisque tout est explicable.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Les Echos
par Annie Coppermann
Oui, curieuse démarche. Devant laquelle, sans la condamner, puisqu'en aucune manière elle n'est celle d'un voyeur complaisant, on reste, tout de même, largement perplexe... et vraiment mal à l'aise. Si le coeur vous en dit...
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Gérard Delorme
(...) le film a tendance à les faire passer pour la norme alors qu'ils sont encore des exceptions. Les questions de Karlin tendent toujours à la conclusion que, quels que soient les comportements, ils sont déterminés par le besoin d'amour. Ce qui rélève plus de la croyance que de la vérité scientifique.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Pas inintéressant car Daniel Karlin a un vrai savoir-faire pour recueillir les confidences sans tomber dans le voyeurisme graveleux.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
Et si on parlait d'amour... n'est peut-être pas du cinéma, mais c'est de la télé "différente" avec un peu de cinéma dedans.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
C'est très louable voire intéressant, même si le principe de la démonstration par l'exemple a ses limites. Quelque chose gêne ici, au niveau du modus operandi, notamment dans les deux premiers volets du film. A chaque fois, le même schéma "narratif" simpliste (...). Le tout bercé par la voix rassurante et paternelle de Daniel Karlin, dans la position de l'accoucheur des âmes troublées.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Zurban
par Véronique Le Bris
Avec les portraits d'un couple échangiste, d'un autre ouvertement infidèle et d'une jeune femme partouzeuse, il parvient mal à démontrer l'intérêt de ces histoires de sexe décalées mais revendiquées. Mais le sujet sur le plaisir partagé par deux paralysés est, lui, réellement passionnant.
Chronic'art.com
par Elysabeth François
On se demande aussi quelle est la justification des scènes de cul filmées par Karlin : nous montrer en pratique ce que les gens nous ont décrit en paroles ? Outre leur aspect provoc un peu facile, ces scènes sont dans l'ensemble si glauques qu'on en viendrait presque à réfuter les propos libertaires de Karlin.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Iris Mazzacurati
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
par Isabelle Potel
A part confirmer que le sexe se cache de moins en moins, on ne sait pas de quoi parle au juste ce dernier opus du documentariste (...), réputé pour établir des dialogues de qualité avec ses filmés, mais qui, cette fois, tombe dans le piège d'un pittoresque problématique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Humanité
Une vraie liberté de la parole et du corps est à l'oeuvre dans ce film (...).
Le Monde
L'amour et le sexe sont des matières moins digestes que d'autres, mais le terrible mérite de Et si on parlait d'amour... est de les avoir inscrits au menu.
Le Parisien
(...) cette série de reportages filmées avec la plus grande sobriété possible ne manque pas d'intérêt et ne transforme pas le spectateur en voyeur.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Forcément choquant au départ, le procédé consistant à filmer les " relations sexuelles explicites " de tous les participants se justifie pleinement pour le réalisateur. On peut discuter de l'opportunité de montrer ces scènes, mais l'ensemble du film et de son propos est étonnamment percutant, captivant, instructif et émouvant.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
L'ensemble du film souffre un peu d'une déficience d'implicite, de complexité, d'ambiguïté. On se doit de rassurer : rien d'anormal puisque tout est explicable.
Les Echos
Oui, curieuse démarche. Devant laquelle, sans la condamner, puisqu'en aucune manière elle n'est celle d'un voyeur complaisant, on reste, tout de même, largement perplexe... et vraiment mal à l'aise. Si le coeur vous en dit...
Première
(...) le film a tendance à les faire passer pour la norme alors qu'ils sont encore des exceptions. Les questions de Karlin tendent toujours à la conclusion que, quels que soient les comportements, ils sont déterminés par le besoin d'amour. Ce qui rélève plus de la croyance que de la vérité scientifique.
TéléCinéObs
Pas inintéressant car Daniel Karlin a un vrai savoir-faire pour recueillir les confidences sans tomber dans le voyeurisme graveleux.
Télérama
Et si on parlait d'amour... n'est peut-être pas du cinéma, mais c'est de la télé "différente" avec un peu de cinéma dedans.
Urbuz
C'est très louable voire intéressant, même si le principe de la démonstration par l'exemple a ses limites. Quelque chose gêne ici, au niveau du modus operandi, notamment dans les deux premiers volets du film. A chaque fois, le même schéma "narratif" simpliste (...). Le tout bercé par la voix rassurante et paternelle de Daniel Karlin, dans la position de l'accoucheur des âmes troublées.
Zurban
Avec les portraits d'un couple échangiste, d'un autre ouvertement infidèle et d'une jeune femme partouzeuse, il parvient mal à démontrer l'intérêt de ces histoires de sexe décalées mais revendiquées. Mais le sujet sur le plaisir partagé par deux paralysés est, lui, réellement passionnant.
Chronic'art.com
On se demande aussi quelle est la justification des scènes de cul filmées par Karlin : nous montrer en pratique ce que les gens nous ont décrit en paroles ? Outre leur aspect provoc un peu facile, ces scènes sont dans l'ensemble si glauques qu'on en viendrait presque à réfuter les propos libertaires de Karlin.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
A part confirmer que le sexe se cache de moins en moins, on ne sait pas de quoi parle au juste ce dernier opus du documentariste (...), réputé pour établir des dialogues de qualité avec ses filmés, mais qui, cette fois, tombe dans le piège d'un pittoresque problématique.