Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
DOA plaque sur un régime de cinéma d'action une multitude de genres que réunit un excès commun (...) Mais Miike n'abdique jamais devant la pauvreté de ses moyens. Preuve indéniable de son talent plastique, mais plus encore, garantie que son projet dépasse largement le nihilisme dont il est crédité.
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Ecran Fantastique
par Nathalie Bougon
DOA est aussi la démonstration que le délire le plus excessif peut porter en lui une certaine idée du cinéma. Il y a une intelligence et une inventivité dans ce cinéma-là comme on en voit peu.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ça serait du tout-venant sans les libertés insensées que s'octroie ce cinéaste, tant sur le plan moral que formel.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Dead or alive 1 est relativement le plus classique de la trilogie. Très relativement évidemment, car si dans les grandes lignes c'est un polar classique, où un flic poursuit sans trêve un gangster (...), c'est littéralement une oeuvre sans queue ni tête.
MCinéma.com
par Camille Brun
DOA 1, c'est une sorte d'éloge aux digressions, au n'importe quoi, où Miike quitte soudain son récit principal pour s'arrêter sur une scène qui l'amuse où le fascine. Si bien que son film est parfaitement inattendu et surprenant, et que grâce à lui le désordre (...) est élevé au rang d'art.
Télérama
par François Gorin
(...) il y a dans les trois films de la série plus d'énergie et de fantaisie que dans tout Kitano depuis Hana-bi.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par La rédaction
Le numéro 1 est un polar ultraviolent. Le numéro 2 un film intimiste et onirique, et le 3 un film de science-fiction politisé qui se réfère à l'univers de Philip K. Dick et de Blade Runner. A chaque fois, de terribles affrontements débouchent sur la question du titre : est-on mort... ou vivant ?
La critique complète est disponible sur le site Aden
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Jean-François Rauger
Un tel projet n'aurait en soi rien de passionnant s'il ne révélait pas rétrospectivement l'essence d'un univers très personnel et une excitante transmutation des principes du thriller.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Philippe AZOURY
Son seul credo, s'il lui en reste un, c'est de surprendre, toujours. Ainsi, aujourd'hui, il propose une trilogie, mais ses trois films n'ont rien en commun, ni personnage, ni rythme ; rien qu'une paire d'acteurs (...) et un semblable désespoir sans appel (ouf !)
Positif
par Hubert Niogret
La seule logique est celle de l'audace (inégale) du réalisateur : il offre au spectateur un récit surprenant, en permanence déstabilisant, même s'il n'évite pas toujours la démagogie. (...) Reste un désir de faire du cinéma, celui qu'on trouvait dans la série B ou Z quand elle se moquait d'elle-même.
Première
par Estelle Ruet
Il (Miike) se veut une sorte de Jackass du style, un garnement provocateur qui abuse des effets gore, des digressions improbables, des coups de théâtre illogiques et des scènes d'action bricolées avec trois yens et deux plans numériques, comme si rien d'autre n'avait de sens que l'ivresse du moment.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Entre violence gore, sadisme scato et délire cartoonesque, Takashi Miike flirte plus d'une fois avec le n'importe quoi, mais il est aujourd'hui un des seuls à affirmer aussi fort sa liberté de cinéaste.
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
D'emblée condamnés à la désinvolture chic et toc, ces trois crispants robinets d'images décharnés et pompeux (...) ne déversent qu'esbrouffe visuelle et désinvolture narrative.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cahiers du Cinéma
DOA plaque sur un régime de cinéma d'action une multitude de genres que réunit un excès commun (...) Mais Miike n'abdique jamais devant la pauvreté de ses moyens. Preuve indéniable de son talent plastique, mais plus encore, garantie que son projet dépasse largement le nihilisme dont il est crédité.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Ecran Fantastique
DOA est aussi la démonstration que le délire le plus excessif peut porter en lui une certaine idée du cinéma. Il y a une intelligence et une inventivité dans ce cinéma-là comme on en voit peu.
L'Humanité
Ça serait du tout-venant sans les libertés insensées que s'octroie ce cinéaste, tant sur le plan moral que formel.
Les Inrockuptibles
Dead or alive 1 est relativement le plus classique de la trilogie. Très relativement évidemment, car si dans les grandes lignes c'est un polar classique, où un flic poursuit sans trêve un gangster (...), c'est littéralement une oeuvre sans queue ni tête.
MCinéma.com
DOA 1, c'est une sorte d'éloge aux digressions, au n'importe quoi, où Miike quitte soudain son récit principal pour s'arrêter sur une scène qui l'amuse où le fascine. Si bien que son film est parfaitement inattendu et surprenant, et que grâce à lui le désordre (...) est élevé au rang d'art.
Télérama
(...) il y a dans les trois films de la série plus d'énergie et de fantaisie que dans tout Kitano depuis Hana-bi.
Aden
Le numéro 1 est un polar ultraviolent. Le numéro 2 un film intimiste et onirique, et le 3 un film de science-fiction politisé qui se réfère à l'univers de Philip K. Dick et de Blade Runner. A chaque fois, de terribles affrontements débouchent sur la question du titre : est-on mort... ou vivant ?
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Un tel projet n'aurait en soi rien de passionnant s'il ne révélait pas rétrospectivement l'essence d'un univers très personnel et une excitante transmutation des principes du thriller.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Son seul credo, s'il lui en reste un, c'est de surprendre, toujours. Ainsi, aujourd'hui, il propose une trilogie, mais ses trois films n'ont rien en commun, ni personnage, ni rythme ; rien qu'une paire d'acteurs (...) et un semblable désespoir sans appel (ouf !)
Positif
La seule logique est celle de l'audace (inégale) du réalisateur : il offre au spectateur un récit surprenant, en permanence déstabilisant, même s'il n'évite pas toujours la démagogie. (...) Reste un désir de faire du cinéma, celui qu'on trouvait dans la série B ou Z quand elle se moquait d'elle-même.
Première
Il (Miike) se veut une sorte de Jackass du style, un garnement provocateur qui abuse des effets gore, des digressions improbables, des coups de théâtre illogiques et des scènes d'action bricolées avec trois yens et deux plans numériques, comme si rien d'autre n'avait de sens que l'ivresse du moment.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Entre violence gore, sadisme scato et délire cartoonesque, Takashi Miike flirte plus d'une fois avec le n'importe quoi, mais il est aujourd'hui un des seuls à affirmer aussi fort sa liberté de cinéaste.
Chronic'art.com
D'emblée condamnés à la désinvolture chic et toc, ces trois crispants robinets d'images décharnés et pompeux (...) ne déversent qu'esbrouffe visuelle et désinvolture narrative.