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Votre avis sur Le Justicier de New York ?
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Non, là je dis "c'est pas possib'" c'est de la parodie. Charles Bronson abat deux mecs parce qu'ils lui fracturent sa voiture (d'ailleurs sa voiture doit être auto-régénérante parce-que tous les dommages ont disparus dans la scène d'après). Papy Charlie, 65 ans au compteur, court, saute, escalade, vole majestueusement au secours des habitants du quartier le plus mal famé de New York (paraît qu'ils ont tournés ça à Londres, moi j'aurais dit Bagdad parce-que les gens peuvent s'étriper entres eux, tout le monde s'en branle appart Charlie). Les flics font que parler et s'en prendre aux innocents (c'est vrai un flic ça sert à rien, faut faire justice nous même, les méchants font que des méchancetés (avec une préférence pour le viol et les vols de sac à main) et Charlie le nettoyage au bazooka. On est là dans une caricature de caricature de film d'autodéfense tant les personnages sont grotesques (mention spéciale au Big Boss, qui a la coupe de cheveux et les fringues les plus hilarantes de l'histoire du cinéma) et le scénario qui accume tous, mes alors tous les clichés du genre, à les ramasser avec une pelle (le quartier dans lequel Papy Charlie fait le ménage est constitué à 90% de vieux parce-que c'est bien connut, les racailles sont des lâches qui s'en prennent au plus de 70 ans). Le final est d'anthologie, du niveau d'un Chuck Norris : Charlie dégomme 250000 types à coup de flingues en évitant les balles et les cocktails molotovs puis (ATTENTION SPOILER) dégommme le grand méchant au bazooka à 2 mètres. Enfin, un nanar haut de gamme, qui provoque le rire bien plus que l'indignation.
Un spectacle purement jouissif ou les amateurs des 80's trouveront leur bonheur.Hélas,Le justicier de new York s'adresse à une petite minorité,si tu penses que tu en fais partie,prépares toi à du lourd.Des bad guys qui se font buter à coup de lance missile à bout pourtant,Bronson qui donne des petits noms à ses flingues et des dialogues hautement philophisiques sont quelques ingrédients de ce film radical.
Paul Kersey est de retour à New York (en réalité à Londres, d'après ce que j'ai compris). Bref, ça déménage. De l'action mais un peu poussif notamment quand il sort le bazooka. On a plus l'impression de regarder un western ou un quelconque film de guerre lors des émeutes. Bronson est cependant toujours efficace dans son rôle de justicier expeditif.
Troisième volet de la saga Death Wish, Le Justicier De New York est une tuerie au sens propre comme au figuré. Particulièrement violent et jouissif (et ce malgré son côté réactionnaire et extrémiste), les aventures du justicier Charles Bronson sont toujours aussi funs grâce à un rythme effréné, des personnages attachants (excepté le méchant que l'on a envie de voir crever du début à la fin), des séquences violentes à la pelle et à un scénario simple mais très efficace.
Le plus amusant est de rire de ce film signé Michael Winner à cause de son côté paroxystique alors qu’il a des connotations purement visionnaires et que ce que l’on voit à l’écran pourrait être une réalité dans les années à venir.
Quel plaisir nostalgique... Vive le cinéma hard boiled des années 80 !!!
Le plus amusant est de rire de ce film signé Michael Winner à cause de son côté paroxystique alors qu’il a des connotations purement visionnaires et que ce que l’on voit à l’écran pourrait être une réalité dans les années à venir.
Quel plaisir nostalgique... Vive le cinéma hard boiled des années 80 !!!
Pathétique eu premier degré mais absolument génial au second! Cette fois-ci Bronson reviens à new York et il découvre que son vieux copains s'est fait tué par des voyous. Déjà, mis à part les plans du générique de début, on a pas du tout l'impression d'être à New York et pour cause, le film a été tourné à Londres. Là Bronson est obligé d'aider la police à nettoyer un quartier chaud pour ne pas être accuser du meurtre de son copain. Au début ça a l'air de l'embêter mais il va rapidement y prendre goût. Certaines scènes sont hilarantes(Bronson qui flinque un voleur de sac à mains et tous les passants qui applaudissent). La fin, complètement barge est inoubliable. Ona jamais été aussi loin dans l'auto défense. Bronson y tut au moins 50 voyous avec une mitrailleuse de la guerre de Corée, un flingue énorme et un lance grenade(qu'il hésite à prendre au début parce que ça marche que si les voyous sont en groupe!). Génial un des meilleurs nanar de tous les temps à déguster de toute urgence.
je suis un super fan de charles bronson mais je prefere me souvenir de ses superbes prestations dans mitraillette kelly,la grande evasion ou adieu l ami.quant au film il est assez decevant mais il fait quant meme figure de chef d oeuvre par rapport aux films americains actuels( ne parlons pas des series )et des monstres sacres comme bronson on en fait plus helas.le moule est casse.
Même à New York le justicier en question est toujours aussi nayséabond... Et ce n'est pas le dernier !
J'ai un vague souvenir que c'est dans cet opus que Bronson pulvérise à coup de bazooka un dealer doté d'une coupe de cheveux plus qu'improbable. Et ce à vingt centimétres de distance sans que sa vénérable et vigilante moustache ne subisse le moindre dégat. Pour tout homme étant un tant soit peu empreint d'humanisme, atomiser des dealers de façon expéditive, qui plus est au bazooka, ne saurait se justifier. Par contre, la coupe de cheveux étant vraiment intolérable, l'humanisme le plus primaire justifie la sanction. Bronson acquité!
Noter ce film est un acte courageux...Je me sens obligé d'y mettre la note maximale afin de souligner le côté "culte" de la bête. Comme c'est dit dans la bande-annonce, "Charles Bronson is back in New-York"...et ça va chier. Et quand Charlie sort dans la rue, c'est plus New-York mais Beyrouth. Le film monte en puissance en fonction des armes trouvées par le héros, et les crises de rires aussi. Vous assisterez à la mort de méchant la plus incroyable jamais filmées. La musique est signée Jimmy Page...j'espère que ce n'est pas LE Jimmy Page ! Plus fort que l'inspecteur Harry, Chuck Norris et Steven Seagal réunis, voici Paul Kersey. Il a vraiment la damnshit attitude et quand il sort son calibre, un immeuble explose et un train déraille. Franchement, à voir de toute urgence : c'est plus drôle que la pluspart des parodies de genre...
Paul Kersey (Charles Bronson)n'a decidement pas de chance, après sa femme et sa fille, c'est son meilleur ami qu'on assassine. Il fait pas bon être une de ces relations.
Ce troisième volet est sans doute le plus violent des 5. L'histoire est toujours la meme mais le film se laisse regardé (au second degré)
Ce troisième volet est sans doute le plus violent des 5. L'histoire est toujours la meme mais le film se laisse regardé (au second degré)
AMCHI
Ce 3ème opus des règlements de compte expéditifs de Paul Kersey est un réel nanar, ridicule mais néanmoins amusant à voir. Michael Winner à la mise en scène fait le strict minimum, pourtant force est de constater que c'est efficace, et Charles Bronson semble par moment se foutre royalement du film.
L'histoire est censée se dérouler dans une banlieue new-yorkaise mais le film a été tourné dans les environs de Londres (et ça se voit parfois au niveau de l'architecture), les voyous sont des caricatures, des voyous tels que l'on pouvait en voir dans les films d'une certaine catégorie dans les années 80.
Il y a énormément d'invraisemblances que cela en devient presque fascinant, c'est loin de l'ambiance délétère du premier film. On est dans un pur produit de la Cannon, maison de production des années 80 qui se spécialisa dans les séries B fauchées et violentes.
Le final (plutôt bien filmé soit dit en passant) est complètement délirant car notre justicier va dessouder une bonne trentaine de vilains voyous, et il va entraîner tout un quartier dans la chasse à la racaille. Il est secondé par des acteurs tels que Martin Balsam en voisin compatissant ou Ed Lauter en flic compréhensif.
Absurde mais amusant à voir, il faut voir ce film au second degré et ça passe crème.
L'histoire est censée se dérouler dans une banlieue new-yorkaise mais le film a été tourné dans les environs de Londres (et ça se voit parfois au niveau de l'architecture), les voyous sont des caricatures, des voyous tels que l'on pouvait en voir dans les films d'une certaine catégorie dans les années 80.
Il y a énormément d'invraisemblances que cela en devient presque fascinant, c'est loin de l'ambiance délétère du premier film. On est dans un pur produit de la Cannon, maison de production des années 80 qui se spécialisa dans les séries B fauchées et violentes.
Le final (plutôt bien filmé soit dit en passant) est complètement délirant car notre justicier va dessouder une bonne trentaine de vilains voyous, et il va entraîner tout un quartier dans la chasse à la racaille. Il est secondé par des acteurs tels que Martin Balsam en voisin compatissant ou Ed Lauter en flic compréhensif.
Absurde mais amusant à voir, il faut voir ce film au second degré et ça passe crème.
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