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    Un Flic
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    chrischambers86
    chrischambers86

    14 034 abonnés 12 481 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 mars 2021
    Une histoire d'homme et d'amitiè entre un commissaire de police aux mèthodes expèditives (Alain Delon) et un malfaiteur (Richard Crenna) avec toujours cet amour pour le cinèma amèricain (voiture, chapeau, gabardine...). Une ambiance lourde et une camèra très lente nous font rentrer dans le vif du sujet avec ses images hivernales d'une station balnèaire! Delon y rencontre une Catherine Deneuve diaphane, mystèrieuse et quasi muette dans un monde de clair-obscur peuplè de hors-la-loi à problèmes de conscience et de flics à la limite de la lègalitè! La suite est malheureusement plus conventionnelle : un hold-up dans un train dont les maquettes de wagons et d'hèlicoptère reconstituès en studio manquent cruellement d'authenticitè! On regrette aussi que les personnages de "Un flic" n'aient plus l'humanitè des hèros prècèdents de Jean-Pierre Melville! Dernier film de ce prècurseur de la Nouvelle Vague mais le tout premier de Florence Moncorgè (fille de Jean Gabin) en tant que script! Efficace mais mineur...
    AMCHI
    AMCHI

    5 942 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    J'adore Alain Delon comme acteur et je suis un passionné des polars mais les 3 polars de Delon tournés avec Melville ne m'ont guère emballé à mon grand étonnement. Après avoir vu Le Samouraï et Le Cercle Rouge, je vois enfin Un Flic, sans être mauvais je constate qu'il y a une mollesse (ou plutôt une lenteur) dans la réalisation qui m'empêche d'apprécier Un Flic. L'interprétation est bonne et elle-seule sauve le film à mon humble avis. A signaler une Catherine Deneuve particulièrement belle et lumineuse.
    Estonius
    Estonius

    3 516 abonnés 5 453 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 mars 2022
    Il y a des fautes de scénario qui sont impardonnables, la plus flagrante est celle spoiler: où l'un des quatre gangsters étant arrêté, c'est un dur qui refuse de donner le nom de ses complices. Delon lui répond qu'il est prêt à parier qu'il les donnera. Plan suivant, Delon se rend chez un des complices, on ne saura jamais comment l'autre a parlé !
    Faut peut-être pas confondre ellipses et trou de gruyère !. En revanche dans la scène de l'hélico, on nous montre un type en train de se changer pendant 10 minutes ! Un film trop lent, confus, peu intéressant, mal dialogué, avec un Delon très moyen. Sinon Catherine Deneuve est magnifiquement photographiée (mais on ne la voit que 5 minutes dans un non-rôle) le travesti également, (qui d'ailleurs est joué par une femme : Valérie Wilson
    Hotinhere
    Hotinhere

    576 abonnés 5 020 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 décembre 2022
    Un polar froid et désenchanté dans le plus pur style Melville (pour son dernier film), porté par un Delon en mode samouraï, mais malheureusement au service d'une intrigue assez terne. 2,75
    Plume231
    Plume231

    3 943 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 janvier 2012
    Dernier film de Jean-Pierre Melville dont ce serait un euphémisme de dire que c'est loin d'être sa meilleure oeuvre. "Un Flic" est en effet décevant. Il ne vaut que pour deux scènes : l'attaque de banque au début et le vol de la valise dans le train. Cette dernière est d'ailleurs très bien imaginée et assez bien mise en scène malgré son fort côté maquettes. Ben autrement le problème niveau scénario c'est que le film pendant toute sa durée donne l'impression qu'il ne raconte absolument rien. Bref quand on en sort, on serait incapable d'en donner un résumé qui soit un minimum consistant. Mais le gros du gâchis vient surtout de l'interprétation : Alain Delon incarne un personnage beaucoup trop monolithique et celui de Catherine Deneuve ne sert strictement à rien. Ce qui permet à Richard Crenna de se tailler la part du lion très facilement vu qu'il n'a absolument aucune concurrence. Comment dire pour qualifier "Un Flic" ??? Du sous-Melville tout simplement.
    Akamaru
    Akamaru

    3 144 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juillet 2010
    Un Melville mineur effectivement et son dernier film.Mais comme Jean-Pierre Melville restera toujours le maître du polar noir made in France,"Un Flic" parvient tout de même à captiver.Il suffit d'une mise en scène brillantissime, hypnotique,attentive à chaque détail.Il suffit aussi de 2 scènes clés vécus en temps réel:le hold-up de la banque de St Jean de Monts,et le vol des mallettes dans le train.La lumière bleutée reflète les motivations obscures des personnages,un peu traités à l'emporte pièce.Un chassé-croisé entre un policier froid et implacable,face à un truand minutieux et rusé.Les 2 dont le lien est cette patronne de bar,jouée par une Catherine Deneuve sous-employée.Alain Delon,du bon côté de la barrière cette fois,parvient à faire exister son inspecteur par sa seule présence.Mais la vraie star du film est Richard Crenna,à l'étiquette et au jeu fin.Tous les attributs melvilliens sont là:imperméables à ceinture,borsalinos,boîtes enfumées,bagnoles de gangsters.Beaucoup d'échanges de regards fuyants,dialogues comptés,mise en avant des rapports flics/indics,lenteur volontairement prenante.Si l'on n'atteint pas les sommets du "Samouraï" et du "Cercle rouge",c'est par la faute d'un manque de sophistification apparente et d'un scénario un peu court.Cependant,les puristes d'un tel art ne pourront qu'apprécier.
    Roub E.
    Roub E.

    993 abonnés 5 024 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 novembre 2017
    J’ai bien aimé ce qui est le dernier film de Jean Pierre Melville. Avec son style très froid un flic m’a vraiment fait penser à des personnages robotisés, mus par des actes réflexes, de l’instinct plus que par des réactions vraiment humaines. À ce titre il utilise bien le côté froid et monolithique de Delon qui de mon point de vue n’est pas un grand acteur mais dont le charisme fonctionne parfaitement dans ce film. Comme je le disais j’ai aimé le côté mécanique du film, qui comme souvent chez Melville renforce la fatalité commune à tous les personnages. Ce n’est pas son meilleur à coup sûr, mais c’est un excellent film.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 197 abonnés 5 218 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 septembre 2017
    Le "métier" de gangster est ici peu glorifié. De même d'ailleurs que le métier de "flic".....On pourrait inventer le terme d'action immobile pour ce film à l'allure sévère et froide où Delon excelle par sa présence austère et presque muette. Les lieux sont en vérité plus importants que l'action elle-même. C'est l'antithèse d'un policier à la Belmondo.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 207 abonnés 4 192 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 juin 2015
    Des six films policiers que Jean-Pierre Melville a réalisé, « Un flic » devenu son œuvre testamentaire, le réalisateur mourant peu de temps après la sortie du film, est sans doute aujourd’hui le plus mal aimé, jugé comme le témoin de l’épuisement d’une démarche artistique à bout de souffle dont au final il révélerait une certaine vacuité que l’on sentait peut-être déjà poindre selon certains dès « Le cercle rouge » (1970). Ereinté par la critique, le bravache mais aussi très angoissé réalisateur au stetson et aux lunettes noires finira par rendre les armes, le nez dans son assiette un après-midi d’août 1973 terrassé par une attaque cérébrale alors qu’il dînait avec son ami Philippe Labro au restaurant de l’Hôtel PLM Saint-Jacques (Paris XIVème). Jean-Pierre Melville nourri par le travail de ses glorieux aînés américains comme Siodmak, Wilder, Ford ou Huston (il était obsédé par « La lettre du Kremlin ») affirmait vouloir « faire des films américains en France ». Pas sûr que sa démarche ait été réellement comprise dans son propre pays encore sous l’influence gaullienne et toujours enclin à dénigrer ce qui vient d’Outre-Atlantique. Pourtant cette lente digestion de tout un univers cinématographique avait donné au réalisateur un style propre visant à l’épure narrative et visuelle qui est aujourd’hui vénéré et copié par des cinéastes de tous pays se revendiquant de l’héritage melvillien (Alain Corneau, Jim Jarmush, Quentin Tarentino, John Woo, Johnny To). Melville réinvente le film policier français dont des cinéastes comme Jacques Becker, Gilles Grangier, Henri Decoin ou Jean Delannoy avaient dressé les codes à compter du mitan des années 1950. Avec le recours à des dialoguistes au langage fleuri comme Michel Audiard, Albert Simonin ou Alphonse Boudard c’est une vision pittoresque, nostalgique et très fantasmée du milieu qui s’imprime du durablement dans l’esprit du spectateur à travers l’imposante figure tutélaire de Jean Gabin tour à tour flic ou voyou. La psychologie des personnages de ce cinéma très codifié donne presque toujours une justification à leurs actes les plus répréhensibles comme la trahison du fameux code d’honneur des voyous le plus souvent provoquée par le cœur d’artichaut d’un caïd sur le retour d’âge. Rien de tout cela chez Melville dont les ressorts psychologiques des intrigues sont certes présents mais peu mis en avant. Ce qui fascine le réalisateur du « Doulos » et du «Samouraï » c’est la présence constante de la mort auprès de ces hommes qui de quelque côté de la barrière qu’ils se trouvent savent qu’elle les attend à chaque tournant. Cette obsession de la mort provient-elle du fait que Melville se pressentait une fin assez précoce ? Dès lors les intrigues deviennent secondaires et tout le folklore qui enjolive les mœurs du milieu encombrant. C’est pourquoi Melville qui écrit la majeure partie de ses scénarios, nous délivre des films quasi mutiques où l’allure féline et marmoréenne d’Alain Delon fait merveille. Les hommes qui ne sont en réalité que des morts en sursis n’existent qu’à travers leur fonction au sein de cet univers inconnu du commun des mortels où l’on est soit flic soit voyou. Toute l’esthétique choisie par Melville est la déclinaison de ce tropisme, poussé à son paroxysme dans « Un flic » . Par une entame splendide où à la veille de Noël quatre malfrats cambriolent une agence bancaire dans une station estivale désertée et battue par les vents (Saint-Jean-de-Monts), Melville donne le ton. spoiler: La belle américaine qui les ramène sur Paris comporte déjà un mourant. Le compte à rebours est donc commencé
    . Le commissaire Edouard Coleman (Alain Delon) flic désincarné, sorte de copie à front renversé de Jef Costello le tueur à gages solitaire du « Samouraï » par une phrase lourde de sens prononcée dès son apparition nous résume la duplicité de sa fonction : "Ma tâche quotidienne commençait juste avant la nuit. Mais c'était beaucoup plus tard quand la ville s'endormait qu'il m'était donné de pouvoir l'accomplir". Une autre obsession de Melville que l’interchangeabilité des rôles dans ce théâtre nô où les masques sont représentés par la fixité des expressions et des regards que le réalisateur demande à ses comédiens. Du « Doulos » à « Un flic » en passant par « Le deuxième souffle » ou « Le cercle rouge » est disséqué ce rapport trouble, quasi incestueux entre pègre et gendarmes par lequel tout finit immanquablement par se dénouer. C’est bien en misant sur ses fréquentations nocturnes au contact d'un travesti que le commissaire Coleman chez qui Melville laisse entrevoir furtivement une ambivalence sexuelle, pourra finir d’accomplir sa tâche quotidienne comme il l’a dit en décrivant sa fonction dans l'incipit (cf. plus haut). Ce ballet mortuaire somptueusement chorégraphié où la femme (Catherine Deneuve) souvent accessoire chez Melville se mue bizarrement en meurtrière se trouve malheureusement un peu ralenti et altéré par une scène d’action assez maladroite et surtout trop longue où Melville entend montrer qu’il peut rivaliser avec Henri Verneuil le seul adversaire de taille qu’il se reconnaissait dans le cinéma français. « Le Casse » ayant fait un triomphe, spoiler: l’homme de studio qu’était Melville entreprend de filmer un hold-up spectaculaire à bord du Paris-Lisbonne survolé par un hélicoptère. Les maquettes de train trop visibles font piètre figure
    , montrant la vanité qui pouvait parfois emporter le réalisateur sur des sentiers pentus qu’il n’était pas apte à gravir. Cette petite faute de goût mise à part, « Un flic » s’avère la conclusion réussie d’un cycle qui aurait sans doute conduit Melville sur d’autres voies s’il n’avait pas eu la mauvaise idée de déserter si tôt les plateaux. Grand enfant sous le stetson et derrière les lunettes noires, il est amusant de se rappeler que Melville distribuait sur le plateau d’ « Un flic » des bons et des mauvais points selon un code couleur au grand dam des acteurs américains qu’il avait conviés sur le plateau (Richard Crenna et Michael Conrad).
    Redzing
    Redzing

    1 155 abonnés 4 499 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 février 2014
    Dernier film de Melville, "Un flic" fut à l'époque un échec public et critique. On peut comprendre pourquoi en le revoyant aujourd'hui. En effet, on ne peut qu'être déçu quand on sait que la précédente œuvre du réalisateur était "Le Cercle Rouge". "Un flic" est loin d'être aussi fort. Le film tourne autour d'un couple de criminel dont le mari exécute des braquages, tandis qu'un commissaire entretient une liaison avec la femme. On retrouve les ingrédients classiques de Melville (intrigue fataliste, ambiance sombre, braquages méticuleux, etc.), des acteurs charismatiques, et une ambiance crépusculaire esthétique. Mais la sauce a du mal à prendre. Le scénario est somme toute très léger, et semble avoir été tiré en longueur. Quant à Alain Delon, le "flic" qu'il campe parait assez peu perspicace, et est surtout bon à cogner les suspects. Richard Crenna (!), qui interprète le vrai personnage principal de manière flegmatique, n'a aucun mal à lui voler la vedette (bien qu'il soit doublé, ce qui est désagréable). Un Melville mineur.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 454 abonnés 4 467 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 octobre 2021
    Un Flic n'est pas le meilleur Melville, ça c'est acté. Le film souffre d'une lenteur qui pourra paraître à beaucoup tout à fait insupportable. C'est un fait, il est lent, languissant même, au point de faire parfois passer un Morricone pour un film survolté, et je dois dire que l'absence régulière de bande son et l'avarice des dialogues ajoute encore à ce sentiment de mollesse.
    Ce défaut reste le principal d'Un Flic, qui pour le reste compense en partie grâce à d'indéniables qualités visuelles. On retrouve le travail sur l'ambiance caractéristique de Melville qui livre ici un film aux images vraiment belles. Froides, oniriques, on baigne dans une sorte de poésie souvent mélancolique, parfois funèbre. Le début en la matière pose très bien la suite du métrage. C'est vraiment envoûtant et ça fait plaisir de voir de si belles images dans ce qui aurait pu être un simple polar. On notera aussi la rigueur ordinaire de la mise en scène du réalisateur et le soin apporté au moindre détail.
    Ce méticuleux travail visuel a clairement bénéficié de toute l'attention de Melville qui pour le scénario livre quand même une partition étique. Simplifié au maximum, il n'est qu'une trame prétexte à la finesse de la forme. Vraiment c'est sans surprise, et heureusement le casting vient donner un peu de consistance au fond en nourrissant les personnages et en leur donnant même un relief inattendu, en particulier du côté des "méchants". Delon ne surprend pas mais est à la hauteur, froid comme le film et charismatique. On regrettera une présence un peu timide de Catherine Deneuve, à mon sens sous exploitée.
    Au bout du compte, Un Flic est à l'image de son titre, scénaristiquement simplifié au maximum, mais ça reste sur la forme un métrage excellent et côté interprétation un film solidement porté. Il n'en reste pas moins qu'en poussant ses obsessions formelles très loin Melville en oublie quand même l'histoire et le rythme qui sont à la peine. 3
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 29 décembre 2013
    Hélas Melville manque sa dernière station avant le terminus, l'histoire est rarement crédible, en tout cas il existe peut de liant entre les divers protagonistes et plus grave les individualités nous laissent sur notre faim. La technique est toujours là mais filmer un téléphone qui sonne pendant de longues secondes ne peut être efficace que si on a créé une véritable tension derrière.
    Xyrons
    Xyrons

    690 abonnés 3 360 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 juin 2009
    Ce film policier de Jean-Pierre Melville ne m’a pas vraiment convaincu. Malgré une belle distribution, Alain Delon, Catherine Deneuve, Richard Crenna… je trouve que le scénario n’est pas terrible et le réalisateur n’ a pas été capable de rattraper le film. Un flic n’est pas un film que je conseille. 08 / 20.
    ferdinand75
    ferdinand75

    566 abonnés 3 928 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 octobre 2021
    Un bon film, bien maîtrisé, à l’esthétique impeccable. Les acteurs sont tous au Top. tout particulièrement Richard Crenna ( le colonel de Rambo) qui donne une magnifique réplique à Alain Delon.
    Une incroyable scène à trois : Delon, Deneuve , Crenna sans aucun dialogue , mais avec un jeu de regards diaboliques, où l'amour , la trahison , la suspicion se lient dans les regards. Une scène culte en plan fixe , Pour qui Deneuve roulera -t-elle , la dernière scène nous le dévoilera. Les extérieurs dans les rues et paysages parisiens sont magnifiquement filmés, quelle nostalgie de voir le Paris des années 70.! Une intrigue bien ficelée , même si il y a quelques longueurs dans l'attaque du train. Mais quelle belle précision mécanique. Un très grand cinéaste, même si ce n'est pas son meilleur film.
    Ti Nou
    Ti Nou

    511 abonnés 3 509 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 mai 2021
    Pour son dernier film, Jean-Pierre Melville s’auto-caricature jusqu’à friser le ridicule. Le non-jeu de Delon est à l’image du reste du métrage : glacial et sans nuance. N’ayant pas grand chose à raconter, les séquences s’étirent et se dilatent sans être capables de créer le suspense.
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