Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Libération
par Gérard Lefort
On va dire que ça suffit comme ça, que le film en jette trop dans notre marmite, indigeste voire ridicule à force de noirceurs empilées. Mais non, Salvajes nous tient, et maintient droit sa ligne pendant 98 minutes en forme de paires de claques. (...) Servi par une distribution subtile (Marisa Paredes, Imanol Arias, Roger Casamajor, Alberto Ferreiro), ce film n'est pas aimable : sauvage en effet. C'est une raison de plus pour l'aimer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Zurban
par Véronique Le Bris
Une chronique sociale coup de poing qui prouve une fois encore l'extrême vitalité culottée d'un cinéma espagnol en pleine régénérescence.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
MCinéma.com
par Camille Brun
Comme AMOURS CHIENNES, grand moment cinématographique de ces dernières années, SALVAJES nous montre un monde violent dont certaines règles nous échappent.
Télérama
par Frédéric Strauss
Entre un cinéma d'émotion et un cinéma d'intervention, Carlos Molinero a eu raison de ne pâs choisir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cine Libre
par Romain Le Vern
Cependant, en dépit d'une mise en scène souvent inspirée, le film pêche parfois par manque de maîtrise. Carlos veut causer de tout. Pas de doute : il n'y a pas de démagogie. L'ambition est louable et le propos est indéniablement sincère, mais le film est, lui, parfois un tantinet maladroit, inégal et n'élude pas toujours les lourdeurs (comme ce dénouement qui laisse extrêmement perplexe).
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
Cette manière de dire, didactique, parfois empesée, enlève beaucoup à la force originelle du film, d'autant qu'elle se heurte de front à la manière chaotique de filmer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...) cette oeuvre policière ne manque pas d'épaisseur, mais le cinéaste bredouille, hésitant un peu entre la chronique sociale et la frime branchée (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
Carlos Molinero adapte maladroitement sa mise en scène au propos, qui reste lucide et acéré de bout en bout.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Reste quelques scènes fortes et, surtout, la splendeur ironique, sensuelle et blessée d'une Marisa Paredes au-delà d'elle même.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Aden
par Philippe Piazzo
La caméra vidéo secouée de spasmes enregistre le malaise et oblige le spectateur malmené à s'accrocher au bastingage. La bande-son, saturée, hurle à l'infini. Ce parti pris a ses limites et risque de décourager les plus convaincus.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
L'intrigue est assez filandreuse et confuse. Quant au générique de fin, il tombe comme des cheveux sur la soupe.
Positif
par Pascal Sennequier
Dès lors, la dénonciation a tôt fait de prendre des allures de mascarade. Et contre cela, même la présence de la talentueuse Marisa Paredes, actrice-égérie d'Almodovar, ne peux rien...
La critique complète est disponible sur le site Positif
Libération
On va dire que ça suffit comme ça, que le film en jette trop dans notre marmite, indigeste voire ridicule à force de noirceurs empilées. Mais non, Salvajes nous tient, et maintient droit sa ligne pendant 98 minutes en forme de paires de claques. (...) Servi par une distribution subtile (Marisa Paredes, Imanol Arias, Roger Casamajor, Alberto Ferreiro), ce film n'est pas aimable : sauvage en effet. C'est une raison de plus pour l'aimer.
Zurban
Une chronique sociale coup de poing qui prouve une fois encore l'extrême vitalité culottée d'un cinéma espagnol en pleine régénérescence.
MCinéma.com
Comme AMOURS CHIENNES, grand moment cinématographique de ces dernières années, SALVAJES nous montre un monde violent dont certaines règles nous échappent.
Télérama
Entre un cinéma d'émotion et un cinéma d'intervention, Carlos Molinero a eu raison de ne pâs choisir.
Cine Libre
Cependant, en dépit d'une mise en scène souvent inspirée, le film pêche parfois par manque de maîtrise. Carlos veut causer de tout. Pas de doute : il n'y a pas de démagogie. L'ambition est louable et le propos est indéniablement sincère, mais le film est, lui, parfois un tantinet maladroit, inégal et n'élude pas toujours les lourdeurs (comme ce dénouement qui laisse extrêmement perplexe).
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Cette manière de dire, didactique, parfois empesée, enlève beaucoup à la force originelle du film, d'autant qu'elle se heurte de front à la manière chaotique de filmer.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
(...) cette oeuvre policière ne manque pas d'épaisseur, mais le cinéaste bredouille, hésitant un peu entre la chronique sociale et la frime branchée (...).
Première
Carlos Molinero adapte maladroitement sa mise en scène au propos, qui reste lucide et acéré de bout en bout.
TéléCinéObs
Reste quelques scènes fortes et, surtout, la splendeur ironique, sensuelle et blessée d'une Marisa Paredes au-delà d'elle même.
Aden
La caméra vidéo secouée de spasmes enregistre le malaise et oblige le spectateur malmené à s'accrocher au bastingage. La bande-son, saturée, hurle à l'infini. Ce parti pris a ses limites et risque de décourager les plus convaincus.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
L'intrigue est assez filandreuse et confuse. Quant au générique de fin, il tombe comme des cheveux sur la soupe.
Positif
Dès lors, la dénonciation a tôt fait de prendre des allures de mascarade. Et contre cela, même la présence de la talentueuse Marisa Paredes, actrice-égérie d'Almodovar, ne peux rien...
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com