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Fabios Om
52 abonnés
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3,5
Publiée le 14 juillet 2020
Le professionnel raconte histoire d'un agent secret qui tente de tuer un président africain mais arriver la bas il sera dénoncer par ses supérieurs et emprisonner mais il compte bien s'évader rentrer à Paris pour terminer sa mission vue que le président africain et de passage à Paris. Des Embuscade , des renversement de situation , des bagarre , des mort , des complot seront à l'honneur dans ce film , avec une music magique est somptueuse interprété par le Maestro Ennio Morricone qui a fait une excellente musique culte, la prestation de Belmondo et sobre et bonne même si quand sont personnage se bats on vois les coup passer largement à coter ainsi que quand des personnage sont pousser ou voit que les acteur en rajoute des tonnes souvent même si a l'époque les scène de combat était pas spécialement chorégraphiée elle aurait quand même pu éviter que ça soit aussi flagrants car c'est fidèle dans des bagarre réelle dans la vie mais avec des coup qui passe loins de la personne concerner . Aventure , suspense, action un peu humour au rendez vous de ce film .
J'aime bien Lautner, j'aime bien Bebel, j'aime bien Audiard, j'aime bien Morricone. Et pourtant, je n'aime pas trop Le professionnel. En cause, les dialogues très inégaux d'Audiard et le thème de Morricone, formidable à la base, mais qu'on nous balance toutes les 2 minutes dans la partie africaine du film : juste insupportable ! Au programme également une curieuse scène de torture saphique, quelque seins, quelques fesses qui en disent long sur le rôle de la "femme" dans ce cinéma d'action des années 80… et quelques termes pour désigner le président noir qui font un peu mal aux oreilles aujourd'hui et qui, à l'époque, ne semblaient déranger personne. Toujours intéressant de constater qu'il faut plusieurs décennies (!) pour faire évoluer les mentalités et notre langage.
Un classique tout simplement génial et qui mêle à la fois suspens dans une histoire très bien menée. Et pour accompagner le tout, une superbe BO d'Ennio Morricone
Le très grand Bebel incarne un tueur d'état tout ce qu'il a de plus classique dans un film conventionnel poursuivant une mission tout à fait banale. Il ne ressort en bien de ce film que le charisme habituel de Belmondo et la sublime musique du regretté E. Morricone.
Un polar efficace avec un scénario plein de rebondissements, des dialogues co-signés par Audiard, porté par un Belmondo traqué par la police, au sommet de sa forme, et accompagné par la BO mythique de Morricone.
Un film policier bien solide, réalisé par Georges Lautner (« Les tontons flingueurs », « Le septième juré », etc.). Le scénario allie parfaitement scènes d’action et profondeur psychologique des personnages. Jean-Paul Belmondo reste sobre et remarquable jusqu’à la scène finale d’une grande intensité. Ce film s’accompagne également d’une excellente bande originale signée par Ennio Morricone. Bref, on comprend son énorme succès public à sa sortie en salle, en le positionnant comme le deuxième meilleur film français au Box-office de 1981.
Il eut été un temps où le cinéma français arrivait à produire des films d’action populaires et de qualité. Le Professionnel fait partie de ces réussites. Sans posséder la force du Peur sur la ville d’Henri Verneuil, cette œuvre issue de la vague de films d’action avec Jean-Paul Belmondo bénéficie de l’abattage de son acteur principal, de la réalisation très maîtrisée de Georges Lautner (qui en profite pour intégrer une séquence où Joss Beaumont donne un coup de poing à un certain Volfoni qui ouvre une porte à la manière d’un Fernand frappant un autre Volfoni, très mémorable celui-là, dans ses Tontons flingueurs), de la qualité des cascades signées Rémy Julienne (et exécutées par Belmondo comme à son habitude) et du brio habituel des dialogues de Michel Audiardspoiler: (même si quelques répliques peuvent sembler légèrement racistes aujourd’hui : plusieurs utilisent le mot "nègre" et "négro" et Belmondo dit "Un couscous poulet" après avoir balancé un ennemi dans une salle où se trouvent des émirs). On peut aussi apprécier le petit hommage que Lautner fait à Sergio Leone dans la scène du duel entre Beaumont et Rosen exécuté de manière intelligente en introduisant le personnage du livreur de fleur qui permet d’éviter le plagiat pur et simple . Mais ce qui fait que Le Professionnel reste dans les mémoires sont sa finspoiler: (il fallait oser tuer Belmondo à l’époque) et surtout la sublime musique d’Ennio Morricone qui fait partie des ses compositions les plus marquantes. Ainsi, sans être le meilleur film de son réalisateur où de la "Bébelsploitation", Le Professionnel est un exemple des très bons films d’action de série dont était capable le cinéma français à cette époque.
Même si ce n’est peut-être pas le meilleur Belmondo, « Le Professionnel » figure dans le top 3 des plus gros succès au box-office de l’acteur alors au sommet de son incontestable popularité en 1981. Sur un scénario de Michel Audiard, pas au mieux de sa forme, ce rôle de fugitif, seul contre tous, lui va comme un gant, avec cascades, châtaignes, bons mots et même un duel façon western. Indissociable de l’inoubliable partition d’Ennio Morricone - statut qu’il doit toutefois partager avec une célèbre pub canine -, ce plaisant polar de Georges Lautner est un classique qui en a marqué plus d’un avec son surprenant final.
Je le découvre que aujourd'hui, pourtant je connaissais cette musique culte mais l'ensemble du film se laisser regarder mais rien d'extraordinaire, je le trouve un peu surclassé aux yeux du public . Jean Paul est en forme joue bien mais le film est finalement assez mou, heureusement il y a la B.O et la fin .
Grand classique de ma cinéphilie personnelle, j’ai une énorme tendresse pour ce film qui m’a fait découvrir plus jeune Jean-Paul Belmondo au point que c’est même le tout premier DVD que je me suis acheté. Si le scénario déborde en clichés et autres facilités dont beaucoup sont à remettre dans son époque, « Le professionnel » n’en demeure pas moins efficace. Si je comprends parfaitement les reproches qu’on peut lui faire, j’apprécie en tout cas la critique acide qui est faite de la société française. Drame parfaitement rythmé avec une bonne touche d’humour et d’action, le film est porté par un Jean-Paul Belmondo qui excelle dans un registre qu’il connaît. La mise en scène classique est très bonne aussi tout comme son final percutant et la musique d’Ennio Morricone qui accompagne l’ensemble. Un film que j’adore revoir.
Un bon film qui a quand même quelque peu vieilli (comme bon nombre de films des années 80). Pour autant, on retrouve Jean Paul Belmondo en très grande forme avec un très bon Robert Hossein dans la peau d'un flic sans états d'âme. Quelques répliques de Bebel bien placées, quelques scènes de baston et de course-poursuite savamment dosées et le tour est joué. Dommage que la musique d'Ennio Morricone de ce film soit à jamais associée dans l'esprit de certains (dont je fais partie) à la fameuse pub de Royal Canin.
Le meilleur de tous, une musique emblématique, avec Jean-Paul Belmondo aussi bon et charismatique que par habitude. Mon film préféré, coup de coeur personnel que je vous recommande impérativement ! Bon film à tous
Un des meilleurs Belmondo qui n en fait pas trop et un des films policiers le plus marquant des années 80. Le professionnel, bien qu'identifié comme film d'action policière, est une aventure au milieu des services secrets des années 80 avec ses coups bas et ses complots d'état. Polar à l ancienne sans technologie , tout à la dure , à la castagne. Et c'est là où Belmondo excelle. La musique d Ennio Morriconne est exceptionnelle, elle a marqué le cinéma et tout le monde se souvient de cet air. Le scénario signé Audiard est bon même si c est pas son meilleur scénario. Anecdocte : il n a pas voulu être crédité et à préféré mettre son fils. A noter que l'on retrouve toute la bande à bébel , d acteur qui ont l habitude de jouer avec lui. Belle mise en scène de george lautner (mr tonton flingueur ) avec des moments de forte qualité : dans les face à face entre acteurs où on sent là tension , la course poursuite en voiture au Trocadéro , le duel Rosen Beaumont comme dans un western jusqu’a la dernière scène d anthologie du cinéma français où Belmondo est descendu