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JamesDomb
102 abonnés
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4,0
Publiée le 29 septembre 2006
Un des plus gros succès de Bebel, mais ce n'est pas mon préféré. La musique joue un rôle à part entière, la fin est originale, mais il existe comme une sorte de racisme tout le long du film qui peut parfois laisser perplexe. Cependant c'est un film noir assez bien monté ! 5.2 millions d'entrées !
Joss Beaumont, un agent secret, avait lordre de tuer le président du Malawi, Njala mais trahi, par ses supérieurs, ils se retrouve enfermé puis évadé. De retour en France, il compte bien respecter ses ordres et accueillir comme il se doit Njala de passage dans la capitale. Le personnage joué par notre majestueux Bebel national est un héros de tragédie prêt à tout pour sauver son honneur. Il a risqué sa vie à cause de ses chefs et se retrouve maintenant dans une quête contre le déshonneur se ses officiers. Cest un polar dans la forme mais une vraie tragédie dans le fond. Servie par un formidable Belmondo ( je lai déjà dis mais ce nest pas grave de le répéter), une B.O, bien que trop utilisée, signée Mr Ennio Morricone et un réalisateur qui neffectue aucune bavure, Le Professionnel est un classique dans le fond est un polar dans la forme. Finalement tout cela ce nest quune histoire de fond et de forme (répétée 3 fois dans cette critique,NDLR) très subjectif et interprétatif. Bref, un film mythique sans être mythique.
Afrique Adieu, avec ton dictateur pourri et ton soutien français qui change sans arrêt de veste, tu ne peux éviter la représaille d'un homme en colère, prêt à tout sauf à tirer dans le tas, il est malin et agit efficacement, il ne ment pas comme son co-détenu maintenant au paradis a pu l'entendre, il aime sa femme, il aime son boulot mais il n'aime pas les cons. Rosen est vraiment un fumié, mais bon, Bébel lui fout une branlée dans un duel genre Western, normal quoi, Ennio Moricone n'apparait pas dans n'importe quel film, de plus il laisse sa marque musicale, trop bon mais mis à n'importe quelle sauce à en voir les dérives royale-canin. Une belle emprunte française.
Le genre typique de rôle qu'affectionnait Belmondo qui s'en sortait parfaitement bien dans ce registre. Le scénario est bien écrit et la musique est devenue légendaire. Rien de personnel dans la mise en scène. Robert Hossein est excellent en méchant.
Je suis un fan absolu de ce film que j’ai vu et revu en boucle à l’époque de sa sortie en K7 vidéo, comme j’ai écouté en boucle la bande originale du film, composée par Ennio Morricone, sur mon radio-K7, appareils d’un autre temps... C’est aussi et surtout les dialogues extraordinaires de Michel Audiard et toute une galerie de personnages bien croqués autour d’un « Bebel » qui bouffe la pellicule. Il y a enfin un fond de contexte politique sur les relations de notre pays avec le continent africain et notre interventionnisme pour faire et défaire les dictateurs. En revanche, la couleur du faux-sang et les cascades font rire de nos jours où l’on est habitué à davantage de réalisme et de précision dans les coups de poing portés ou les cascades automobiles qui semblent très minimalistes si on les compare aux progrès faits ces 35 dernières années dans ce domaine. Mais tout ça n’a que peu d’importance quand on a Audiard pour les dialogues et Belmondo pour les bourre-pifs.
Opposition de grandes gueules Belmondo et Hossein, un fond de critique politique assez convenue, castagne, cascade, le divertissement typique de cette période autour de l'année 1980. Plébiscité et moulu dans un rythme et une musique huilés, assortis de moults bruitages. Du divertissement destiné à un large public avec oeillières une sorte de bcbg voyou assez facile et suffisamment complexe pour plaire. Sans intérêt aucun pour la réflexion sinon pour des naïfs, finira par mal vieillir malgré des prestations correctes de ces fameux acteurs.
Un film efficace réhaussé au rang de film culte par un Belmondo au sommet de son art dans son personnage de superflic-cow boy. L'histoire a une mécanique très simple mais explore des thématiques plutôt profondes et complexes ( critique de l'amoralité du jeu géopolitique, réflexion sur l'honneur et la valeur du patriotisme). L'ensemble est rythmé avec des séquences cultes et non dénuées d'humour pour le plus grand bonheur des fans de Bébel. La mise en scène de Lautner est plus audacieuse que de coutume et les dialogues sont de qualité. La musique d'Ennio Morricone restera pour sa part dans les annales. La fin est surprenante. Un classique du genre.
L’agent secret Joss devait assassiner sur ordre un président africain. La politique ayant changé, ses supérieurs le dénoncent et il est condamné aux travaux forcés. S’étant évadé, il revient à Paris, décidé à tuer ce président malgré tout pendant qu’il visitera la capitale. Dès le générique, il y a la musique de Morricone, une de ses meilleures, créant un climat mélancolique qui perdure sous-jacent pendant toute l’œuvre. Puis les scènes africaines, dures, somptueuses mais sonnant juste. Et la traque, complexe, réaliste, haletante, drôle et tragique à la fois. Lautner sait admirablement mettre en scène Belmondo, un Joss solitaire, au combat perdu d’avance, mais inflexible, car ce combat est devenu sa raison de vivre. Ses partenaires sont aussi mis en valeur, spécialement Rosen (Robert Hossein), policier sans scrupules aux nerfs d’acier, qui fait frémir. Audiard a su s’adapter, concoctant les dialogues adéquats. S’ajoute par petites touches une analyse du pouvoir décapante, le tout formant un ensemble cohérent. On peut regretter le trop beau rôle donné à un Belmondo par ailleurs trop maquillé, constater que quelques plans du duel doivent beaucoup à Sergio Leone, mais il y a dans cette réalisation un souffle qui la met au niveau des meilleurs films de Verneuil : une réussite.
A sa sortie ce fût un immense succès mais à notre époque c'est une toute autre histoire... Belmondo est au moment de la sortie de ce film à son zénith, et logiquement l'histoire tourne autour de son personnage d'homme trahi et qui se vengera . Evidemment , il n'y a rien d'extraordinaire d'un point de vu scénaristique , et de toute les façons là n'était pas le but. Le but est d'utiliser au mieux la grande star qu'était belmondo et le mettre en valeur en usant et même abusant de toutes les ficelles possibles. Pourtant , l'élément qui permet encore à ce film de conserver un minimun d'attrait n'est pas belmondo , mais bel et bien le formidable musique d'ennio morricone qui est restée dans toutes les mémoires. Rendons cependant les armes sur un point : Le final du flm , pourtant célèbre et archi connu , n'en reste pas moins d'un ridicule rarement atteint et ce "grace" à l'interprétation grotesque de sa vedette principale.
S'il souffre de nombreux problemes communs au cinema français, Le Professionnel outrepasse largement les standards d'émotion et de précision, notamment grace à la merveilleuse musique d'Ennio Morricone.
Un film policier bien solide, réalisé par Georges Lautner (« Les tontons flingueurs », « Le septième juré », etc.). Le scénario allie parfaitement scènes d’action et profondeur psychologique des personnages. Jean-Paul Belmondo reste sobre et remarquable jusqu’à la scène finale d’une grande intensité. Ce film s’accompagne également d’une excellente bande originale signée par Ennio Morricone. Bref, on comprend son énorme succès public à sa sortie en salle, en le positionnant comme le deuxième meilleur film français au Box-office de 1981.
Un film assez astucieux dans lequel Belmondo joue une bonne partition. L'ensemble est tourné parfois de façon marrante ce qui donne un plus à l'histoire pas très originale.
Le film a un peu vieilli mais l'œuvre de Georges Lautner est tout de même de bonne qualité. Il faut dire qu'avec un scénario et des dialogues signés Audiard, la musique de Morricone et le talent de Belmondo, tout cela donne un résultat plutôt réussi.
Un excellent film, avec notre belmondo nationnal (BEBEL POWA !!!). Un très très bon scenario, une scene finale magique, le tout sur une Soundtrack signée par le Grand Ennio Morricone ! A voir absolument !!!