AlloCiné
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ferdinand75
Une comédie très réussie , un scénario qui oscillent entre le film d'espion, et la comédie délirante. Ventura , et Jean Léfevre sont excellents et dans la 2em parte l'arrivée de Mireille Darc amène de la dynamique . Beaucoup d'action , avec des explosions tout azimut .Des dialogues de Michel Audiard, de bonne qualité,
Spécialistes des pastiches de séries noires, Lautner et Audiard n'ont pas fait ici dans la demi-mesure, et leur verve parodique entraine souvent la comédie dans le franchement farfelu et burlesque.
Si le sujet en lui-même n'est pas particulièrement étoffé, la force et la valeur comiques des personnages, directement liées aux dialogues, n'est plus à démontrer. Michel Audiard est inspiré, et Lino Ventura et Michel Constantin rivalisent de métaphores, d'aphorismes et de litotes en tout genre. Rien de très surprenant en fait et je n'en attendais pas moins de la part des auteurs.
Ce qui est plus inattendu, en revanche, c'est la nature des gangsters ennemis: un très aristocratique anglais entouré de ses hommes de main aux moeurs équivoques, et dont les allures uniformes colorés et psychédéliques sont aussi grotesques que drôles. Lautner semble régler leur compte aux tenants d'une pop-music british ronronnante à travers une caricature très caustique. L'affrontement entre ces bad boys et la petite bande à Ventura prend dès lors une tournure plutôt surréaliste.
Si le sujet en lui-même n'est pas particulièrement étoffé, la force et la valeur comiques des personnages, directement liées aux dialogues, n'est plus à démontrer. Michel Audiard est inspiré, et Lino Ventura et Michel Constantin rivalisent de métaphores, d'aphorismes et de litotes en tout genre. Rien de très surprenant en fait et je n'en attendais pas moins de la part des auteurs.
Ce qui est plus inattendu, en revanche, c'est la nature des gangsters ennemis: un très aristocratique anglais entouré de ses hommes de main aux moeurs équivoques, et dont les allures uniformes colorés et psychédéliques sont aussi grotesques que drôles. Lautner semble régler leur compte aux tenants d'une pop-music british ronronnante à travers une caricature très caustique. L'affrontement entre ces bad boys et la petite bande à Ventura prend dès lors une tournure plutôt surréaliste.
A part le fait que pour les scénaristes Collioure doit se situer sur la cote d'azur , ce film sent bon l'époque "St Trop" , yéyé , gentils gangsters et baffes à tour de bras.... Des dialogues d'Audiard à la limite du surdosage, des cascades qui paraissent aujourd'hui approximatives.... C'était léger et on rigolait un peu....
Redzing
Ancien gangster, Tonio est contacté par de vieilles connaissances, et doit récupérer une dette auprès d'un escroc minable. Sauf que ce dernier va l'embarquer dans une rivalité avec un redoutable gang anglais...
Je ne vais pas mentir, Georges Lautner n'a pour moi jamais été un grand metteur en scène, et c'est assez net ici. La mise en scène demeure plate, tandis que le scénario ne va pas chercher loin, se bornant à une rixes entre voyous. La raison de l'attachement de nos héros au loser malchanceux s'avèrera pour le moins ténue. Et le plan de braquage des méchants n'aura pas vraiment de rôle dans l'intrigue.
Ceci dit, "Ne nous fâchons pas" demeure sympathique à regarder. En premier lieu, grâce à sa distribution très agréable. Même si Jean Lefèbvre en fait un peu des caisses en escroc minable, globalement il est amusant de regarder ces loulous interagir.
En second lieu, évidemment, les dialogues recherchés de Michel Audiard, assez drôles ici. On pourrait presque dire que le film a été écrit uniquement pour eux !
Enfin, l'humour ostensiblement cartoonesque. On est davantage chez Tex Avery que dans une parodie de fil de gangster. Avec engins explosifs en tous genres, et un gang d'anglais habillés comme des chanteurs pops, qui ne peuvent s'empêcher de jouer de la guitare dans leur repère ! Le film pourrait être accusé de racisme anti-anglais, mais cela serait étrange, nos héros ayant un calme et un flegmatisme typical british !
Je ne vais pas mentir, Georges Lautner n'a pour moi jamais été un grand metteur en scène, et c'est assez net ici. La mise en scène demeure plate, tandis que le scénario ne va pas chercher loin, se bornant à une rixes entre voyous. La raison de l'attachement de nos héros au loser malchanceux s'avèrera pour le moins ténue. Et le plan de braquage des méchants n'aura pas vraiment de rôle dans l'intrigue.
Ceci dit, "Ne nous fâchons pas" demeure sympathique à regarder. En premier lieu, grâce à sa distribution très agréable. Même si Jean Lefèbvre en fait un peu des caisses en escroc minable, globalement il est amusant de regarder ces loulous interagir.
En second lieu, évidemment, les dialogues recherchés de Michel Audiard, assez drôles ici. On pourrait presque dire que le film a été écrit uniquement pour eux !
Enfin, l'humour ostensiblement cartoonesque. On est davantage chez Tex Avery que dans une parodie de fil de gangster. Avec engins explosifs en tous genres, et un gang d'anglais habillés comme des chanteurs pops, qui ne peuvent s'empêcher de jouer de la guitare dans leur repère ! Le film pourrait être accusé de racisme anti-anglais, mais cela serait étrange, nos héros ayant un calme et un flegmatisme typical british !
Si les 3 protagonistes que sont les excellents Lino Ventura, Michel Constantin et Jean Lefebvre rehaussent haut la main ce long métrage de Lautner, le tout saupoudré des succulents dialogues d'Audiard, il n'empêche que le reste est très décevant : les parties de cache-cache et de bagarres avec les Anglais sont des plus pathétiques, dans une sorte d'indigence cinématographique où se mêle guitares et danses façon yéyé des années 60 qui s'apparente à du comblage de bobine avec des scènes nullissimes.
Jouant plus dans le registre de la comédie humoristique que du policier pur et dur, ce film de 1966 n'est pas le meilleur Lautner, en dépit de tous les acteurs en vogue de second plan des années 60.
Jouant plus dans le registre de la comédie humoristique que du policier pur et dur, ce film de 1966 n'est pas le meilleur Lautner, en dépit de tous les acteurs en vogue de second plan des années 60.
Film qui a légèrement vieillit ça fait très années 60..couleur vive..belles scènes sur la Côte d'Azur..L'équipe Michel Constantin / Lino Ventura et Jean Lefevre est super.. Jean Lefevre s'en prend plein la gueule c'est le cas de le dire..Il est parfait en niais..
Dialogues de Michel Audiard toujours très efficace mais plus sage au niveau de la répartie..Direction du jeune George Lautner sans bavure..un plaisir de voir et revoir ce film..plaisant !
Dialogues de Michel Audiard toujours très efficace mais plus sage au niveau de la répartie..Direction du jeune George Lautner sans bavure..un plaisir de voir et revoir ce film..plaisant !
soniadidierkmurgia
Quand il réalise "Ne nous fâchons pas" en 1965, Georges Lautner est solidement installé dans le cinéma français depuis "Le monocle noir" (1961) qui a fait éclore sa capacité à diriger des comédies décapantes le plus souvent dialoguées par Michel Audiard depuis le cultissime "Les tontons flingueurs" (1963) qui a donné naissance à une troupe d'acteurs (Lino Ventura, Jean Lefèvre, Bernard Blier, Mireille Darc, Michel Constantin,...) qui suivra Lautner sur une petite dizaine d'années. Marquant une perte d'inventivité scénaristique, "Ne nous fâchons" vaut surtout pour le jeu de ses acteurs dont le registre est désormais bien connu des spectateurs fidèles du duo Lautner/Audiard qui n'entend surtout pas déroger à la règle désormais solidement instituée. Jean Lefèvre dans le rôle du tête à claques, Lino Ventura dans celui du bougon à la main leste, Michel Constantin dans celui du fidèle copain et Mireille Darc au charme mutin incendiaire. L'idée de se moquer gentiment de la Beatlemania de manière un peu facile en laissant entendre que tous ces jeunes à cheveux longs seraient des invertis servant de friandises à un vieux truand anglais aux allures de lord, si elle n'étonne pas venant d'Audiard un peu consevateur bien que très brillant, n'est peut-être la meilleure idée du film. Quoiqu'il en soit, cette petite comédie de Georges Lautner tient encore parfaitement la route plus de cinquante ans après sa sortie.
Un grand classique du cinéma français parfaitement maîtrisé par un Georges Lautner au mieux de sa forme. Cette intrigue policière déjantée qui tourne à la farce nous embarque dans un univers quasi -psychédélique où la fine équipe d’acteurs (Lino Ventura, Jean Lefebvre, Mireille Darc , Jean Constantin) exultent du début à la fin, dans un environnement magnifique soutenue par une musique pop anglaise seventies enivrante. C‘est drôle, kitch, désuet mais très efficace. Une bonne soirée en perspective pour ceux qui retrouveront ce film.
Roub E.
Lautner qui filme Lino Ventura qui récite des dialogues d'Audiard c'est déjà la promesse de passer un bon moment. Si en plus Ventura distribue baffe sur baffe à Jean Lefebvre c'est un très bon moment. Avec ses vrais gueules de cinéma de truands (Michel Constantin, André Pousse) , cette volonté de faire du bon cinéma populaire, ce look très rock anglais, "ne nous fâchons pas" est une bonne comédie qui certes n'égale pas les Tontons ni les Barbouses mais qui reste un excellent moment.
Alain D.
Réalisée par Georges Lautner en 1966, cette comédie, bien que démodée, reste néanmoins efficace. Cette parodie de film policier nous délivre un spectacle peuplé de majorettes et de loulous british se déplaçant en mobylette… Une production qui possède tout de même de sérieux atouts : une histoire mouvementée, les dialogues de Michel Audiard et une affiche grandiose : la belle Mireille Darc et un duo de choc avec Lino Ventura - Michel Constantin qui excelle dans les baffes et le dynamitage à tout va. A noter également au casting la belle présence de Jean Lefebvre, excellent dans le rôle du benêt de service.
Comédie loufoque sur fond de musique yéyé (assez pénible à ré-entendre de nos jours) et qui enchaîne les gags dignes d'un Tom et Jerry ou d'un Bug Bunny avec un aplomb stupéfiant et une cascade en Gorde !
On a naturellement en point d'orgue les lignes qui font mouche d'un Michel Audiard comme souvent, très inspiré. Michel signe également le scénario et cela s'en ressent (dans le mauvais sens) : il ne casse certainement pas 3 pattes à un canard avec un truc pareil.
On a également Jean Lefebvre dans l'un de ses meilleurs rôles, c'est-à-dire la tronche à baffes, Lino Ventura dans son numéro éprouvé (la brute et son air de faux calme) puis le gorille à gros sourcils, au bagout inimitable, Michel Constantin : la bonne humeur est générale et Ne nous fâchons pas irradie de toute sa sympathie, sans compter Mireille Darc pour la présence féminine dans ce monde de pithécanthropes.
Les "British" en prennent pour leur grade avec leur parades en mobylettes rouges, leurs costards croisés et leurs casquettes : de là à les traiter irrévérencieusement de grosses tarlouzes, il n'y a qu'un pas que l'humour franchouillard ne franchit pas. Sans doute a-t-on mal interprété...
Comme un enfant turbulent, le film multiplie ses facéties et nous incline à l'indulgence pour ce qui n'est fondamentalement qu'une comédie bêbête mais toujours aussi efficace malgré le temps qui passe. Un témoignage de son époque insouciante en quelque sorte, drolatique à souhait.
On a naturellement en point d'orgue les lignes qui font mouche d'un Michel Audiard comme souvent, très inspiré. Michel signe également le scénario et cela s'en ressent (dans le mauvais sens) : il ne casse certainement pas 3 pattes à un canard avec un truc pareil.
On a également Jean Lefebvre dans l'un de ses meilleurs rôles, c'est-à-dire la tronche à baffes, Lino Ventura dans son numéro éprouvé (la brute et son air de faux calme) puis le gorille à gros sourcils, au bagout inimitable, Michel Constantin : la bonne humeur est générale et Ne nous fâchons pas irradie de toute sa sympathie, sans compter Mireille Darc pour la présence féminine dans ce monde de pithécanthropes.
Les "British" en prennent pour leur grade avec leur parades en mobylettes rouges, leurs costards croisés et leurs casquettes : de là à les traiter irrévérencieusement de grosses tarlouzes, il n'y a qu'un pas que l'humour franchouillard ne franchit pas. Sans doute a-t-on mal interprété...
Comme un enfant turbulent, le film multiplie ses facéties et nous incline à l'indulgence pour ce qui n'est fondamentalement qu'une comédie bêbête mais toujours aussi efficace malgré le temps qui passe. Un témoignage de son époque insouciante en quelque sorte, drolatique à souhait.
classic de la comédie policier,avec son trio d' acteurs magnifique,le duo ventura /lefevre casse des briques!! bon certaines scènes on prit un petit coup de vieux et de ringard,mais on passe tout de même un sacrée moment,avec notre trio d'acteurs!! saluée par les dialogue d audiard et la belle réalisation de lautner
Ne Nous Fâchons Pas est un bon film. Toujours dans le registre de la comédie policière loufoque et déjantée. Même s’il manque à l’appel certains acteurs des Tontons et des Barbouzes, on reste dans la même veine et le tout fonctionne encore bien même si niveau préférence les Tontons reste grand premier et ensuite viens les Barbouzes quasiment ex-aequo avec ce dernier, je dis quasiment car j’ai une petite préférence pour les Barbouzes notamment pour les dialogues d’Audiard qui y sont un peu plus riches. Antoine Beretto (Lino Ventura) et son ami Jeff (Michel Constantin), deux anciens truands rangés des voitures, doivent reprendre du service à cause d’un escroc minable nommé Michalon (Jean Lefebvre), déclencheur malgré lui d’une véritable guerre contre des Anglais teigneux, mais bien sapés.
Un polar pour rire avec un regard sur les sixties où les « tueurs » sont de jeunes dandys anglais à la coupe des Beatles, assez surprenant et réjouissant, où les répliques d'Audiard font mouche même si moins que dans les précédents et où l'humour noir règne en maître. Je relève tout de même deux répliques une citée par Michel Constantin : « Il en doit à tout le monde. C'est le Belphégor des hippodromes, le Léonard ! Voilà des années qu'il prend du 40 contre 1 et qu'il étouffe la mise ! », une citée par Jean Lefebvre qui nous offre un festival : « On va tous y passer, ça va être le tiercé de la semaine ».
Hélas par contre dans l’ensemble certes on rit enfin du moins moi j’ai quand même bien rit mais faut quand même admettre que c’est plutôt (une boisson d’homme^^), euh, le sourire qui l’emporte.
La bande son pop et rock de Bernard Gérard par contre fonctionne à merveille et lui confère un inimitable côté surréaliste. Les ritournelles en agaceront peut-être certains moi je les ai adorés.
Le réalisateur Georges Lautner signe ici son 14ème long métrage et son tout premier en couleur et rien que pour ça il est à saluer. Le casting est extra mais où le festival de Jean Lefebvre sort vraiment du lot en nous offrant une très belle prestation, il assure le show et nous fait souvent rire. Les scènes de baffes sont tordantes administrées par un impérial Lino Ventura, un excellent Michel Constantin ainsi qu’une épatante Mireille Darc. Relevons quelques seconds couteaux tels que Robert Dalban, André Pousse, Tommy Duggan ou encore Serge Sauvion tous très bons.
Pas extra mais ne nous fâchons pas car le film est bon.
Ma note : 7/10 !
Un polar pour rire avec un regard sur les sixties où les « tueurs » sont de jeunes dandys anglais à la coupe des Beatles, assez surprenant et réjouissant, où les répliques d'Audiard font mouche même si moins que dans les précédents et où l'humour noir règne en maître. Je relève tout de même deux répliques une citée par Michel Constantin : « Il en doit à tout le monde. C'est le Belphégor des hippodromes, le Léonard ! Voilà des années qu'il prend du 40 contre 1 et qu'il étouffe la mise ! », une citée par Jean Lefebvre qui nous offre un festival : « On va tous y passer, ça va être le tiercé de la semaine ».
Hélas par contre dans l’ensemble certes on rit enfin du moins moi j’ai quand même bien rit mais faut quand même admettre que c’est plutôt (une boisson d’homme^^), euh, le sourire qui l’emporte.
La bande son pop et rock de Bernard Gérard par contre fonctionne à merveille et lui confère un inimitable côté surréaliste. Les ritournelles en agaceront peut-être certains moi je les ai adorés.
Le réalisateur Georges Lautner signe ici son 14ème long métrage et son tout premier en couleur et rien que pour ça il est à saluer. Le casting est extra mais où le festival de Jean Lefebvre sort vraiment du lot en nous offrant une très belle prestation, il assure le show et nous fait souvent rire. Les scènes de baffes sont tordantes administrées par un impérial Lino Ventura, un excellent Michel Constantin ainsi qu’une épatante Mireille Darc. Relevons quelques seconds couteaux tels que Robert Dalban, André Pousse, Tommy Duggan ou encore Serge Sauvion tous très bons.
Pas extra mais ne nous fâchons pas car le film est bon.
Ma note : 7/10 !
Bon petit film français des années 60, ce classique de Georges Lautner marie film de gangster et comédie avec délice.
Les acteurs sont tous impeccables et les dialogues de Michel Audiard valent le détour.
L'histoire est assez intéressante, suffisamment en tout cas pour capter notre attention. On pourra tout de même reprocher à ce métrage certains gags vraiment peu drôles comme le gros missile sur la voiture ou la scène sur le pont, un brin ridicule (bien qu'à remettre dans son contexte) mais bon ça passe tout de même sans difficultés.
La seule chose qui m'a vraiment dérangé est la représentation des anglais, avec leurs casquettes, leur musique et surtout leurs mobylettes rouges. Un ensemble vraiment ridicule, le film insistant bien, en plus, sur cette vision franchouillarde de nos voisins d'Outre Manche.
Un classique du cinéma français agréable à regarder, donc, et qui n'est pas sans rappeler (et pour cause) le célèbre Les Tontons Flingueurs !
Les acteurs sont tous impeccables et les dialogues de Michel Audiard valent le détour.
L'histoire est assez intéressante, suffisamment en tout cas pour capter notre attention. On pourra tout de même reprocher à ce métrage certains gags vraiment peu drôles comme le gros missile sur la voiture ou la scène sur le pont, un brin ridicule (bien qu'à remettre dans son contexte) mais bon ça passe tout de même sans difficultés.
La seule chose qui m'a vraiment dérangé est la représentation des anglais, avec leurs casquettes, leur musique et surtout leurs mobylettes rouges. Un ensemble vraiment ridicule, le film insistant bien, en plus, sur cette vision franchouillarde de nos voisins d'Outre Manche.
Un classique du cinéma français agréable à regarder, donc, et qui n'est pas sans rappeler (et pour cause) le célèbre Les Tontons Flingueurs !
Grand classique de Georges Lautner, "Ne nous fâchons pas" est une bonne comédie typique des années 60 sur fond de rock anglais où la R8 Gordini et les explosifs avaient un bonne allure. Aujourd'hui, le film est légèrement passé, mais le plaisir demeure à revoir ces grandes figures de gorilles du cinéma.
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