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cine94200
52 abonnés
444 critiques
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5,0
Publiée le 25 juillet 2009
schwarzy dans un rôle taille sur mesure pour lui crève l'écran dans ce grand film de science fiction aux effets spéciaux impressionnants et aux scènes d'actions vraiment génial . de plus la présence d'une bonne bande son font de ce film un classique!!
Que dire, à part un des films cultes de la génération Schwarzy!!!! Une mise en place d'un personnage culte dans un univers filmé admirablement par Mc Tiernan: une jungle étouffante à la limite de la claustrophobie!!!!! Un film qui débute par une guérilla et une mission périlleuse pour un commando pour finir en film de monstres!!! et une scéne culte: Arnold plein de boue poussant un cri de défi complétement animal à la face d'un alien chasseur!!!! Un vrai trip pour les geeks d'action en tous genres
LA base du film d'action! Un scénario certes un peu basique , mais des décors superbes , de très bon acteur ( surtout Scharwzy et Richard Chaves), une scène culte du cinéma ( la fusillade "aveugle"). NB: pour l'apprécier a sa juste valeur, le voir absolument en VO ( comme tout les films )
Un chef d'oeuvre tout simplement! McTiernan est un Dieu, sans doute l'un des meilleurs réalisateurs qu'Hollywood est connue, la mise en scène est remarquable.Les acteurs sont eux parfaits, Schwarzy (son meilleur rôle) et Bill Duke surtout. Le film comporte des scènes mémorables. La musique de Silvestri est très bien également. A voir absolument!!!
incontournable film dans le domaine du fantastique!! le predator est un personnage culte du cinéma, le best of de la 20th century fox avec aliens! vivment le retour à nos écrans de la bete!
Revoir un film d'action très typé des années 80 est intéressant. Mais ici, le film est un véhicule pour Arnold Schwarzenneger, ici au summum: ce film est son meilleur rôle, il y est très bon. Son chef d’œuvre, supérieur à sa franchise Terminator Ce film d'action des années 80 n'est pas un film de série. Car le film débute ici comme la plupart des autres se terminent: par la séquence d'actions remplie d'explosions, de fusillades et morts. Film d'action inversé: ici la séquence climax que l'on trouve en général à la fin se trouve au début du film.Tournée par la seconde équipe. Extrêmement spectaculaire. Énorme et violente. Pas très finaude. Mais le film n'est pas là. C’est la fin de l'exposition et le film peut débuter. Un chasseur invisible traque ces soldats dans une jungle très dense. Et cherche à les décimer un par un. Ils ne comprennent pas de suite ce qui se passe, bien que l'un d'eux se doute qu'il y a quelque chose. Mais ils finissent par comprendre. L'enjeu du scénario est de faire affronter Dutch (Arnold Schwarzennegger) et ce chasseur. Pour cela le scénario doit tuer un à un tous les autres, tout en dévoilant petit à petit le chasseur. Le film et le scénario dosent: le chasseur n'est pas visible, mais nous avons sa vision subjective, ou alors uniquement par bribes (des bouts de son corps). Et finalement, alors qu'il ne reste plus que lui, Arnold Schwarzenegger finira par devoir affronter ce chasseur, ce prédateur de haut vol. Oui le film commence là où les autres se terminent, pour devenir ensuite un film de survie, où le Predator les chasse un à un: un chauve, un moustachu, un binoclard et un avec les cheveux longs. Bien sûr le type casting aidant, nous devinons qu'ils vont mourir. Sauf Dutch, qui affrontera d'homme à bête le Predator. À noter que le film contient des lignes de dialogues de référence dans le genre; pas subtiles, mais mémorables. Les mouvements de caméra dans la jungle, combinés à la musique d'Alan Silvetri, mise en avant par un montage au service du mouvement; tout contribue à faire de cette série B le chef-d'oeuvre d'action triviale, film de survie post Rambo (aucune dimension sociale ici).
LE survival mythique des années 80. Envoyé dans la jungle amazonienne afin de libérer des otages, un commando va être pris au piège par une menace inattendue. Plus bronzé et plus joyeux que dans Terminator, Schwarzie va devoir mettre les mains dans le cambouis pour sauver son groupe et sa peau. Sans concession, âpre et spectaculaire, la réalisation est au rendez vous incontestablement. La musique guerrière et tribale d'Allan Silvestri est un modèle de BO.
Probablement le meilleur film d'horreur SF avec Alien. A première vue ç'à ressemble à un film de gros bourrins avec Arnold "california" Schwarzenegger et Carl "Appolo Creed" Weather, sauf qu'à la réalisation, il y a John Mc Tiernan l'un des plus grands real de films d'actions de tout les temps (on ne peut pas aimer ce genre et ne pas avoir vu die hard 1 et 3 ! c'est une hérésie !). Ainsi, le cliché actionner ricain avec commandos surarmés ne ressort que lors d'une scène d'attaque trés éfficace et jouissive. Rapidement, Mc T tire parti de son décor pour instaurer une ambiance oppressante: la jungle est un personnage à part entière qui contribue à la sensation de peur viscérale du film. Passée la première demi-heure, le film se transforme en survival violent ou personne n'est épargné. Le prédator est d'autant plus menaçant qu'on ne le voit jamais sauf par le biais de sa vision thermique: avec cette géniale trouvaille de mise en scène (archi-repompée depuis...), Mc t nous place du point de vue du chasseur ce qui permet de transcender le statut de spectateur et de nous impliquer encore plus dans l'histoire, cela permet également d'accentuer la sensation de peur.
En outre, le film aborde des thématiques comme le retour à l'état sauvage, la désuétude de l'impérialisme américain et la paranoïa (une bande de troufions arrogants se fait massacrée par un ennemi invisible...). En clair, malgré le côté film de mec stéroïdé (c'est vrai que le public féminin risque de pas s'y retrouver), la vision de prédator s'impose à tout les cinéphiles et est carrément indispensable pour tout amateur de SF !
Predator est un petit bijou, qui peut avoir vieillit à cause de la mode des affrontements virils entre militaires, du rythme et de la mise en scène des affrontements, et du sujet lui-même. Il faut un peu entrer dedans comme on entre dans une forêt, ici une jungle de l’équateur. Il y a un aspect philosophique découvrir l’autre et en même temps vouloir le détruire, comme une sorte d’Amour terrifiant. Hélas, comme avec les Godzilla et le traumatisme des deux bombes atomiques lancés par les Américains, puis quelques décennies après les même Américains s’enfonçant encore plus avec le 11 septembre 2001, c’est toujours le délit de sale gueule qui est illustré, même si la cause de la venue du Predator sur notre planète est de « faire son marché ». Le Lézard Godzilla fait aussi son marché ! Mais c’est un beau gâchis, l’humain et l’alien auraient pu au moins essayé de s’apprivoiser ; d’autant que le « monstre » est un symbole renfermant des trésors : voir dans le film la technologie très avancée du Predator. Le Predator sous couvert de faire son marché, ou son safari, peut être aussi un nettoyeur de la Terre, pour permettre un meilleur équilibre entre les espèces !... comme la symbolique du monstre révèle aussi le rite du passage, du gardien des trésors. Le Predator à l’écran semble des plus sombre, toujours dans un esprit de régénération, pour donner une nouvelle naissance, comme Jonas dans le ventre de la baleine... Mais dans le film à la fin c’est plutôt un avortement...
Film d'envergure authentiquement mythologique, réalisé par un maître du genre : gros bras et pas de sentimentalisme. Cette oeuvre est la quintessence de l'idéologie néo-urbaine qui renversa et balaya au coeur des années 80 les restes héritées du romantisme Allemand dans l'art occidental. Désormais la nature n'est plus synonyme de retour au bonheur simple d'une vie débarrassée de la contrainte technique, mais celle d'un lieu où l'homme a perdu sa place, voir d'un monde dont il est exclu, où se trame derrière un simple craquement de branche quelque chose d'indicible dans l'horreur la plus absolue. Il n'est plus question de communier avec la nature mais accepter d'être considéré par elle comme un intrus, un étranger de passage. Ce film amorce aussi une nouvelle conception d'un homme moderne conscient de ses limites, d'un individu qui de prédateur peut redevenir une proie. Délivrance par certains côtés avait ouvert la voie, mais Prédator va encore plus loin : l'homme moderne paré de tous les atouts de la modernité et de la technique n'est rien face à la nature et les êtres étranges qui l'habitent, ni écocentrique ni nihiliste ce film a tout simplement pour but de ramener à sa juste place l'être humain, aussi fort et courageux soit-il, celle d'une personne condamnée à n'être nulle part à sa place et devant toujours essayé de survivre.
McTiernan, le patron du film d'action, vous propose un accueil de gros bras, grandes gueules, au casting fabuleux, weathers apprend la comédie a schwarzi, et puis tu glisses dans actionner de calibre 3000, tu te fais surprendre par un survival bien viril, pis tu fais l'expérience d'un final ultime, l'Homme et la Bête. qu'à pas une gueule de porte bonheur ;))
Un film excellent ! Ce film a marqué les esprits et c’est celui qui à lancer l’un des monstres les plus emblématiques de l’histoire du cinéma ! Le PREDATOR ! Je trouve que la témathique assez interessante qu’une espèce peut au-dessus de l’homme dans la chaîne alimentaire et que celle ci nous chasse comme un chasseur peut chasser une biche. Bref, pour moi le film est culte ! La scène du finish avec Schwarzenegger VS Predator est ouf. Les acteurs sont tous très bons. Un des meilleurs films de science-fiction et d’aventure selon moi.
Extraordinaire, Magnifique, Génial, les adjectifs sont nombreux pour qualifier Predator, l'un des grands films des années 80 signé John Mc Tierman. On y retrouve Arnold Schwarzenegger dans un de ses meilleurs role entouré de GI à la recherche du Predator, ennemi invisible, et pourtant, l'un des plus terrifiant méchant du cinéma. Un film ou le décor (ici la jungle), joue un personnage à part entière, dégageant une atmosphère oppressante, angoissante. L'ambiance que nous offre ce film est vraiment unique. Certes le scénario est léger mais l'intéret du film est ailleurs. Un film original, à la gloire de l'immense Arnold Schwarzenegger, à voir et à revoir.