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    Predator
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    landofshit0
    landofshit0

    278 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juin 2013
    Un groupe de soldats va devenir la proie d'un alien. C'est un très bon survival que sert Mc Tiernan avec predator, que les suites n'arriveront pas à égaler. La jungle est très bien utilisée, ce terrain va vite devenir hostile et terrifiant. C'est haletant,terrifiant et réellement très bien mené d'un bout à l'autre. Le combat final opposant l'homme à la créature achève le film de façon bestial. Un must du genre.
    Alexarod
    Alexarod

    287 abonnés 1 869 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 janvier 2013
    Après avoir vu Predators, les 4 Aliens, et les Aliens versus Predator il me fallait l'original, LE Predator avec Schwarzy période Conan 2 (enfin 3 ans après). Voilà qui est fait, en attendant la suite (immuable).
    Bon ben faut avouer que ça se laisse regarder, on voit que c'est le début du genre survival mais ça reste de bonne facture.
    Déjà j'ai bien aimé que Tiernan assume le genre de son film, tant qu'à faire il nous a mit Appolo Creed comme pote aux gros bras d'Arnold, puis il a brodé des personnalités différentes autour, sympa, comme les dialogues ("t'as pas une gueule de porte bonheur" bien sur). Les flingues sont pas futuristes et le scénario pas trop tiré par les cheveux. Après la trame par contre est classique, puis par la suite on respecte les codes du survival mais ça passe. La musique est pas top, les FX plutôt bons pour l'époque (mention très bien pour le costume de Predator d'ailleurs), le décor de jungle un peu trop sauvage va encore et la fin est devinable aisément, même si elle se termine abruptement.
    Par contre le jeu d'acteur on n'en parle pas hein ? Disons que ça va pour ce que c'est, les bastons passons sur le fait qu'on les voit pas toutes, heureusement que le Predator est invisible car ça explique pourquoi on le voit si peu, la baston finale est bien, mais trop longue, de toutes façons le film comprend beaucoup de longueurs, il pourrait faire une heure sans que ça pose problème et le rythme y gagnerait en stabilité. Bon petit film d'action, cherchant surement à concurrencer un Rambo, se laisse voir mais sans "à revoir", de là à en faire un film culte faut pas pousser.
    PS : Schwarzy c'est mieux jeune quand même, limite pas moche parait-il.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 344 abonnés 7 542 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 novembre 2024
    Un commando des forces spéciales est engagé par la CIA pour sauver les survivants d’un crash d’hélicoptère en pleine jungle d’Amérique Centrale. Ce qui aurait dû être une opération de sauvetage de routine va en réalité virer au bain sang lorsqu’une fois sur place, le commando se retrouve seul face à une mystérieuse créature.

    Juste avant le cultissime Piège de cristal (1988), John McTiernan réalisait un “actioner” sévèrement burné, avec un commando armé comme s’il se rendait sur le front prêt à défoncer le premier autochtone qui se mettra en travers de leur chemin (l’un d’entre eux est même équipé d’une mitrailleuse à plusieurs canons rotatifs qui nous offrira, lors d’une séquence, une hallucinante scène de déforestation). Le réalisateur sait pertinemment ce qu’il fait et il en joue.

    A la vu du casting, on ne boude pas notre plaisir d’y retrouver Arnold Schwarzenegger (l’armoire n̷o̷r̷m̷a̷n̷d̷e̷ autrichienne) que le réalisateur dirigera à nouveau quelques années plus tard dans le mémorable Last Action Hero (1993). Avec à ses côtés, Carl Weathers (Rocky - 1976). D’ailleurs, la toute première scène où on les retrouve est le cliché ultime du film et clairement, on ne pouvait pas faire mieux.

    Predator (1987) est particulièrement réussi et ce, du début à la fin. Pas une seule ombre au tableau, pas de baisse de tension et mieux encore, il n’a rien perdu de sa superbe près de 40 ans après sa sortie. Pas une seule ride alors qu’à l’époque, le film prenait des risques et aurait pu mal vieillir avec le temps (notamment à travers la vision thermique), mais il n’en est rien. Côté mise en scène, là aussi, on reste constamment pris dans le feu de l’action et la tension y est palpable, entre ces commandos suintant la testostérone et cette créature extraterrestre qui parvient à se fondre dans le décor. Sans le savoir, John McTiernan réalisait là un intemporel de la Sci-Fi, mêlant survival et actionner en pleine jungle, c’est tout simplement brillant !

    (critique rédigée en 2007, actualisée en 2024)

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    L'homme le plus classe du monde
    L'homme le plus classe du monde

    330 abonnés 450 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 mai 2013
    YEAAAAH ! Des muscles saillants, des amitiés viriles et schwarzy qui tire sur des fougères à la sulfateuse ! A l'instar d'Alien, Predator met en scène une créature chasseuse d'humain et quasi-invisible, mais en ne s’encombrant pas de la peur psychologique que pouvait susciter le film de Ridley Scott. Ici le parti pris est de faire un film bourrin, badass et aux personnages stéréotypés à l’extrême (l'indien en communion avec la nature, le binoclard juste là pour se faire massacrer, et le héros surpuissant qui transperce des arbres avec un arc). Predator est un Alien filmé comme un Rambo II. C'est pas très intelligent, mais sa vide la tête.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    202 abonnés 2 519 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 novembre 2016
    Predator est un film de science-fiction / action pas mal du tout.
    Les scènes d'action sont très bien réalisées, très intenses, le climax final est nickel et nous en met plein la vue.
    Le reste du film est plutôt bien réalisé et la présence constante mais invisible du Predator est assez inquiétante.
    Le film a tout de même pris un sacré coup de vieux sur le plan des effets spéciaux, notamment pour le camouflage invisible du Predator et la vision thermique de son casque qui ont aujourd'hui un très mauvais rendu visuel.
    Arnold Schwarzenegger porte très bien le film. Il est parfaitement à son aise dans le registre action.
    J'ai trouvé ce film très divertissant.
    Theo
    Theo

    19 abonnés 898 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mai 2024
    Le film "Predator" de John McTiernan, sorti en 1987, est une œuvre singulière qui a su marquer son époque et devenir une référence incontournable dans le genre de la science-fiction et de l'action. Alors que le film a été accueilli avec un enthousiasme modéré lors de sa sortie initiale, il a su trouver sa place dans le panthéon des classiques de cinéma grâce à son approche unique et à son atmosphère oppressante.

    Synopsis et Intrigue

    Le film démarre avec l'arrivée d'un vaisseau spatial extraterrestre qui largue un module en Amérique centrale. Cette introduction mystérieuse place immédiatement le spectateur dans un contexte d'incertitude et de danger imminent. Rapidement, nous sommes introduits au major Alan "Dutch" Schaefer, interprété par Arnold Schwarzenegger, et son équipe de soldats d'élite, envoyés en mission de sauvetage dans une jungle hostile. Ce qui commence comme une mission militaire classique se transforme en une traque implacable lorsqu'ils réalisent qu'ils sont poursuivis par un chasseur extraterrestre redoutable et invisible.

    Réalisations Techniques et Artistiques

    Le film excelle dans la création d'une ambiance palpable de tension et de suspense. La jungle dense et inhospitalière devient un personnage à part entière, renforçant le sentiment de claustrophobie et de vulnérabilité. La réalisation de John McTiernan est fluide et efficace, utilisant habilement les angles de caméra et le montage pour maintenir une tension constante. La photographie de Donald McAlpine capture parfaitement l'oppression de la jungle et l'intensité des scènes d'action.

    La musique d'Alan Silvestri mérite également une mention spéciale. Son score ajoute une couche supplémentaire de tension et d'immersion, accentuant les moments de terreur et de suspense. Les effets sonores, quant à eux, sont utilisés de manière judicieuse pour amplifier la menace invisible du Predator.

    Interprétation et Personnages

    Arnold Schwarzenegger livre une performance solide et charismatique en tant que Dutch, incarnant à la perfection le rôle du leader stoïque et déterminé. Carl Weathers, Bill Duke, et les autres membres de l'équipe apportent également des performances convaincantes, chaque personnage ayant sa propre personnalité distincte et des moments mémorables. Cependant, le véritable tour de force du film est le Predator lui-même, une création terrifiante et inoubliable grâce aux compétences de Stan Winston et à l'interprétation de Kevin Peter Hall.

    Thèmes et Symbolisme

    "Predator" explore des thèmes de survie, de chasse, et de la nature primitive de l'homme. La transformation de Dutch, passant de soldat armé de haute technologie à guerrier primitif utilisant des armes rudimentaires et la boue comme camouflage, symbolise un retour aux instincts les plus fondamentaux de l'humanité. Le film pose également des questions sur la guerre, la violence, et ce qui définit véritablement un prédateur ou une proie.

    Critique et Conclusion

    Bien que "Predator" soit un film visuellement captivant et intense, il n'est pas sans défauts. Le scénario, bien que solide dans son concept, présente parfois des dialogues clichés et des moments de prévisibilité. De plus, certains aspects des personnages secondaires manquent de profondeur, laissant peu de place à une exploration plus nuancée de leurs motivations et de leurs histoires personnelles.

    En dépit de ces critiques, "Predator" reste un film marquant qui a réussi à dépasser les attentes de son époque et à influencer de nombreux films de science-fiction et d'action ultérieurs. Sa capacité à combiner habilement des éléments d'horreur, de science-fiction, et d'action en fait une expérience cinématographique mémorable.

    En somme, "Predator" est une œuvre qui mérite d'être vue et revisitée, appréciée autant pour ses contributions techniques que pour son impact culturel durable. Bien que perfectible, il demeure un exemple puissant de ce que le cinéma de genre peut accomplir lorsqu'il est exécuté avec vision et talent.
    jroux86
    jroux86

    7 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 septembre 2022
    Je passe sur les répliques balourdes, les prétextes à montrer muscles saillants, transpiration à grosses gouttes et autres démonstrations de virilité excessive – à prendre au douzième degré sous peine de trouver le film parfaitement ridicule.
    Mais sans vouloir trop pousser l’analyse, et si les ressorts de l’intrigue restent faciles et dénuées de finesse (typiques du genre « survival » : ils sont 10, puis 5, puis 3…), il y a dans Predator au moins deux éléments qui retiennent mon attention : le sens allégorique qu’il est possible de donner à la créature et le traitement au niveau visuel de la traque.

    Le Predator possède une force herculéenne. Il peut voir toute forme vivante de jour comme de nuit. Il combine usage de l’arme blanche et de l’arme à distance avec précision et efficacité (et aussi une grande cruauté !). Surtout, il maîtrise à la perfection l’art du camouflage.
    J’y vois personnellement une forme d’idéal militaire. Cela me paraît d’autant plus évident que le film se passe exclusivement sur un terrain militaire, une jungle pour être précis. Dense et hostile, les soldats s’y déplacent avec difficulté, équipés du traditionnel treillis et camouflés par des peintures aux couleurs de la végétation. Mais le camouflage du Predator est bien plus élaboré : une quasi-invisibilité, lui permettant de se fondre littéralement dans le décor, couplée à un déplacement sur terre ou dans les airs dans le plus parfait silence. On comprend vite que la troupe d’élite menée par le musculeux Schwarzy n’est pas de taille, le Predator se révélant être la parfaite machine de destruction, totalement adaptée à son environnement, jusqu’à en épouser les formes, les couleurs, les contours ; une sorte de « guerrier idéal ».
    Pour autant, le Predator a au moins deux talons d’Achille (et très humains qui plus est). Il est d’abord orgueilleux. Comme le dit le commandant Dutch, c’est « pour le sport » qu’il s’attaque à ses victimes : seulement celles qui sont armées. spoiler: Et c’est finalement par péché d’orgueil qu’il est vaincu, succombant à la tentation de se battre « à la loyale » avec le célèbre M. Muscle alors que celui-ci était à sa merci.
    C’est d’ailleurs au moment où il ôte son masque et son armure qu’on se rend compte de son autre faiblesse (et c’est plutôt rigolo) : le Predator est monstrueux mais il est surtout parfaitement bigleux ! Et j’en viens au deuxième point qui m’intéresse, le traitement visuel.

    Donc le Predator, grâce à son masque, repère les êtres vivants de jour comme de nuit. Ceux-ci sont représentés par des couleurs chaudes au milieu du bleu froid figurant la jungle. Le point de vue du Predator est donc tout axé sur les masses de chaleur (ce qui n’est pas sans rappeler, aujourd’hui, celui des drones), accompagné d’un bruit sourd et métallique au rendu angoissant. Associé à son art du camouflage, le regard du Predator est donc panoptique. C’est effrayant pour ses victimes, sans solutions, mais aussi pour nous, sans perspectives de salut pour les personnages. Sauf qu’à un moment, spoiler: Schwarzy, le dernier survivant bien entendu, se retrouve tout couvert de glaise. Le Predator s’approche de lui pour l’achever mais… ne le voit pas. Le soldat en comprend la raison.
    Il va maintenant tâcher de résister au monstre en utilisant ses propres armes : le camouflage.
    Cette « trouvaille » n’est pas qu’un bouleversement pour le personnage. Le regard du Predator était jusqu’à présent tout-puissant. Désormais, il ne l’est plus – ce qui sera encore amplifié par le retrait du masque au moment de l’affrontement. Un vrai renversement du regard, l’omniscience du point de vue n’appartenant plus à la bête mais au spectateur… enfin !
    Le Français Glacé
    Le Français Glacé

    30 abonnés 328 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 octobre 2017
    Predator réalisé par John McTiernan en 1987.
    *Les points que j'ai appréciés →
    • L'opposition de taille (le duel)
    • Arnold Schwarzenegger

    *Les points que je n'ai pas appréciés →
    • La simplicité de l'histoire (ou plutôt dire qu'il n'y a pas d'histoire

    *Conclusion →
    J'ai aimé, c'est à voir pour le combat final. 7/10.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    365 abonnés 1 814 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 novembre 2020
    J’ai trouvé que c’était un bon film d’action. On revient aux bases avec un style qui est tout de même différent des productions actuelles. Au-delà de retrouver Schwarzy avant qu’il ait son costume de gouverneur de Californie, on sent vraiment le décalage de période. La manière dont les protagonistes s’expriment est beaucoup plus crue. De plus, il n’y a pas cette volonté à la mode de faire la petite phrase qui fait rire. Il y a certes quelques moments plus « comique » mais ça reste avec de l’humour soit un peu noir, soit franchement déplacé. Des répliques qui passeraient beaucoup moins bien aujourd’hui. Dans la globalité, il faut dire que les dialogues sont bien clichés. Bizarrement, ça donne un côté nostalgique et ce n’est pas désagréable. Niveau scènes, c’est bien bourrin. Il y a des explosions dans tous les sens, et parfois sans grande justification. Le genre de film où une balle peut faire sauter un arbre. J’ai apprécié pendant 80% du temps, mais je dois avouer que sur la fin j’en avais un peu ma claque. Il y avait comme une overdose de cette volonté de trop en faire. Cela manquait un poil de finesse par moments afin d’équilibrer. Surtout qu’avec le Predator, on est dans une chasse humaine. Personnellement, j’adore ce personnage. Sa cruauté va engendrer des scènes bien gores. Quant à Arnold Schwarzenegger, il est parfait dans ce rôle de major. Il a ce truc guerrier et sauvage qui fait qu’on aime le voir affronter cet extraterrestre.
    Anonymous :)
    Anonymous :)

    62 abonnés 533 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 décembre 2013
    Pour son second long-métrage, le brillant John McTiernan réalisait "Predator", un film grandement réussi qui alliait action, science-fiction et slasher. Cette œuvre fantastique phare des années 1980 transfigure un récit basique : Au Guatemala, le major Dutch arrive avec son équipe d'élite pour une opération visant à retrouver un ministre du cabinet présidentiel perdu avec son second à cause des forces de guérilla en Val Verde. Un vieux copain militaire, qui travaille maintenant pour la CIA, transmet les étapes et rejoint l'équipe, qui est insérée dans la jungle par hélicoptère. Mais lors des recherches, le groupe de mercenaires sera traqué et massacrée par une force extra-terrestre inconnue. Le scénario, est à la fois original, efficace et novateur, non sans rappeler l'oeuvre de Ridley Scott, "Alien le huitième passager". Fortement influencé par "Conan le Barbare" de John Milius qui proposait un héros bodybuildé et invincible, et où la violence graphique était innovante, Mc Tiernan nous livre un film des plus maîtrisé, oppressant et violent. En utilisant toutes les possibilités de l’espace, du hors-champ et du mouvement, la réalisation épouse de façon symbiotique la jungle filmée, le danger semble provenir de chaque recoin d’un lieu hautement hostile et oppressant. La mise sous tension du spectateur dans ce film est liée au fait de montrer un ennemi rôdant, invisible ; ce pari est réussi grâce à des mouvements de caméra fluide. L'action est au rendez-vous, les explosions et les fusillades plus réalistes que jamais grâce à des effets spéciaux terriblement efficaces. Comme dans tous les films de Stallone ou de Schwarzy, l'humour est décapant, les vannes fusent, et les punchlines sont nombreuses, on retiendra surtout celle lors de l'ultime face à face, "T'as pas une gueule de porte-bonheur". Le casting est plus que convaincant, Arnold Schwarzenegger déborde de charisme et campe avec brio le héros indestructible avec des cojones grosse comme des noix de coco. Sur un rythme trépidant, "Predator" est un survival haletant, l'un des films culte des 80's bourré à la testostérone.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    284 abonnés 2 889 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 mai 2016
    Jouant à fond la carte du croisement des genres, entre action pure et horror movie, Predator fait date en laissant une bande de gros bras mercenaires aux prises avec un alien invisible. De ce rapport de forces inversé, McTiernan parvient à tirer le meilleur dans son style coutumier, avec une mise en scène nerveuse et quelques répliques bien calibrées. Certes, ça commence à vieillir sérieusement voire à faire un peu kitsch sur les bords (le cinéma des années 80 est souvent confronté à ce phénomène), mais ça demeure redoutable d'efficacité et très divertissant.
    FaRem
    FaRem

    8 784 abonnés 9 633 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 avril 2013
    Un bon film un classique du genre avec un excellent schwarzy.
    Truman.
    Truman.

    233 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 avril 2013
    Predator est un film d'action ( avec une légère touche de science fiction ) culte de la fin des années 80 , le film a globalement prit un coup de vieux surtout sur certains points comme les effets spéciaux .
    Les dialogues sont creux et il y en a tout simplement très peu , quelques réplique humoristiques viennent parsemer des actions comme dans quasiment tout les films d'action américain .
    L'histoire est original est bien réalisé , le predator est juste excellent, Schwarzenegger est bon car il colle parfaitement a son personnage , le coté survival est bien retranscrit . Le film devient quand même un peu ennuyeux après 1h20 sans non plus nous faire sombrer dans l'ennuie le plus total .
    Un film a voir au moins une fois mais qui a prit un petit coup de vieux dommage .
    Zarkalexia
    Zarkalexia

    47 abonnés 401 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 novembre 2023
    Pour l’époque ce film n’a vraiment pas vieilli et on le regarde auj comme si il venait de sortir . La tension est palpable et l’histoire même si on ne la sait pas encore n’est pas vraiment importante , ça passe
    jfharo
    jfharo

    57 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 décembre 2010
    Surprenant !, dommage que la bestiole soit un peu désuete .
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