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Arishem
1 abonné
457 critiques
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2,0
Publiée le 21 juin 2024
Predator ne rejoindra pas Alien dans le Panthéon du genre, la faute à une ambiance où on ne ressent pas un pec de stress. Vraiment mal vieilli à certain endroit dont la première fois où l'on voit le camouflage du Predator. Je n'ai jamais été concerné par les enjeux du film (contrairement à Alien), car il n'y en a pas. On a juste des soldats bad ass qui enquête sur la disparition de leurs collègues, point. Le Predator est une créature isolée, arrivée sur terre "par hasard" et dont le seul but est de chasser, c'est un peu comme le méchant de film de super-héros dont la seule motivation est la vengeance = c'est léger. Le caractère des personnages n'est pas développé ou est inintéressant, leur sort ne nous concerne pas, ils sont manichéens au possible. J'ai pas vraiment trouvé crédible le fait de pas se faire voir en étant recouvert de boue et la mort du Predator est vraiment ridicule.
Predator est un film réalisé par John McTiernan et sorti en 1987. Ce film est typique du cinéma des années 1980. Porté par une ambiance incroyable (la jungle étant un personnage à part entière), une musique très inspirée d'Alan Silvestri et l'ambition de prolonger le mouvement science-fiction (le climax est très efficace) avec un casting reconnu (Arnold Schwarzenegger, Carl Weathers etc.) ce film souffre quand même de grosses lacunes : des incohérences scénaristiques flagrantes (notamment dans le comportement de certains personnages), des tics propres aux films des années 1980 (le côté pro-américain face aux méchants russes en période de Guerre Froide), un mélange entre fantastique, SF, comédie pas toujours bien dosé (spoiler: les scènes de fusillade dans la forêt sont ridicules ). A l'arrivée, ce film culte est assez inégal, avec des moments fort plaisants et d'autres assez risibles. A voir tout de même par curiosité, pour la culture cinématographique.
l idée de base est excellente, malheureusement la réalisation ne suit pas et les personnages manquent de profondeur. On ne s'ennuie pas pour autant mais trop léger sur l'ensemble.
Schwarzy dans rôle de guerrier qui lui va comme un gant dans un film de type rencontre extra-terrestre sur fond de film de guerre. Assez étrange, mais pourquoi pas. Ça se tentait à l'époque. Un film avec quelques prouesses techniques pour la période durant laquelle il a été monté, mais surtout beaucoup de morts gores et violentes. Beaucoup de lenteurs aussi pour tenir à l'ancienne un spectateur en haleine ; mais vraiment il y a des scènes à rallonge. C'est parfois gonflant, car non nécessaire. Enfin… on voit bien l'idée du chasseur à trophée ; les bases sont bien posées avec ce film dont la fin spoiler: brutale n'explique quand même pas grand-chose .
Encore un de ces films cultes des années 80 qu’il faut sans doute avoir découvert à l’époque pour vraiment l’apprécier. J’aime le côté simple et sans fioritures du scénario, mais j’ai trouvé le film très répétitif et la menace peu menaçante pendant la majeure partie du film, avant un face-à-face final qui vaut le détour mais ne suffit pas à justifier cette longue attente. Déception.
Quand l'Alien rencontre commando, une impression de ce film combinaison d’un super scénario, le commando en question est envoyé en mission sauvetage des survivants d’un crash d’hélicoptère quelque part dans la jungle sauvage d’Amérique centrale. Le danger horrifique les attend de pied ferme, une créature anthropomorphique assoiffée de sang frais venu de l’espace à la technologique de pointe.
Le camouflage du caméléon et une redoutable vision thermique nocturne qui lui permet de s’incruster dans la faune à la recherche de proies à dépecer, le visuel graphique de la violence est figé sur ce point. Une intrigue basique militaire contre guérillero devenant de la science-fiction terrifiante, ça reste originale au contraire.
Il y a beaucoup de similitude avec les deux films phares et d’autres de guerre et d’horreur à ce banal film, la tension palpitante par coup se repose exclusivement que sur sa bande son pendant l’action combat bien bourrin et découvrant le visage de l’extraterrestre prédateur aux dreadlocks, surprise du chef.
1er volet d’une trilogie culte de la S.F., ce dernier manque néanmoins de violence visuelle. spoiler: Le début est pour autant très bon avec bien sûr l’apparition d’Arnold avec prise de vue bien centrée, le premier face à face ironique entre lui et Carl avec les gros muscles bien visibles. Niveau action, bah comme à l’époque, le personnage venu d’ailleurs n’est pas très fluide dans ses mouvement et à l’aire d’être lourd, normal, c'est le premier volet. Schwarzy est plutôt bon mais sans être exceptionnel non-plus. La première scène de fusillade en pleine forêt est impressionnante ainsi que l’attaque dans le camp. Mais la réaction de la jeune espagnole sur le predator est assez surprenante. Ensuite, l’ensemble dans la forêt entre notre héros et l’alien est sympa, mais sans plus. Par contre, le seul visuel naturel sur le predator est très bon. 1er volet un peu paresseux mais pour l’époque, pas étonnant.
Pour les amateurs de biscotos, d'action et d'effets spéciaux, "Predator" est un excellent divertissement, voire un chef-d'oeuvre. Malgré des dialogues souvent pathétiques et un scénario très basique, la réalisation 'old school' bien foutue et un Schwarzy charismatique comme jamais permettent de passer un bon moment. Le point faible du film, ce sont ses incohérences. Le camp de trafiquants parait vraiment petit mais les méchants sont aussi nombreux que dans un régiment de militaires. Lorsqu'on entend Dutch dire que Anna n'a pas été tuée par le predator parce qu'elle ne portait pas d'arme, alors pourquoi ne jettent-ils pas tous leurs armes ? Pourquoi le predator a-t-il été débarqué par ses congénères sur Terre et en pleine jungle ? quel est l'objectif de ce E.T ? Tuer des keums armés et en faire des oeuvres d'art sanguinolentes ? Alors pourquoi n'a-t-il pas tué tous les méchants trafiquants ? Pourquoi le predator laisse le temps à Dutch de lui préparer un piège 'à la Rambo' ? Etc. En dépit de ses imperfections, "Predator" reste un grand classique du cinéma fantastique typique des 80's.
Peu de choses marquantes dans ce film une course poursuite entre des humains et un animal ne suffit pas à faire un film. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 2/5
Un classique des années 80 qui a contribué à starifier Schwarzenneger mais force est de constater que le film a prix un gros coup de vieux et qu'il n'impressionne plus vraiment. Le scénario tient sur un coin de feuille, les dialogues sont insipides au possible, les FX sont moches (surtout les effets lumineux du Prédator), le rythme est mollasson et pour couronner le tout, le suspense est aux abonnés absents. Reste les décors de la jungle particulièrement agréables, le charisme de Schwarzy et le look très classe du Prédator (...sauf quand il enlève son casque!). A voir pour sa culture cinématographique.
Film à l'esthétique expérimentale, radicale et efficace. La moiteur de la jungle réussit à nous faire ressentir le surnaturel. Le montage tirant vers l'abstraction est très horizontal et condensé, sa vélocité est impotente dans les scènes de tirs. On reste malgré tout dans une propagande hard.
Malgré une intrigue, certes interéssante mais pas vraiment exploité, Predator est tout de même un film vraiment agréable à regarder, bourré de suspenses et d'actions. Un film simple et qui se laisse bien regarder. Une chose est sûr: vous vous ennuyerez jamais devant.
Alors peut-être que pour certains (surtout pour les fans), ma note va paraître très basse mais j'ai franchement été très déçu de ce film car au vu de la très bonne note qu'il a et de toutes ses excellentes critiques, je m'attendais à quelque chose de comparable à "Alien", mais loin de là malheureusement. Réalisé par John McTiernan et sorti en 1987, le film met en vedette Schwarzy et raconte l'histoire d'une équipe militaire partie dans la jungle retrouvée un ministre mais qui se retrouve confrontée à un extraterrestre tout fraîchement arrivé sur Terre. Le scénario est basique mais enfin il aurait pu être beaucoup mieux exploité. Nous avons donc affaire dans une première partie à une bande de militaires baraqués et clichés, racontant des blagues salaces mais on pouvait toujours se dire : "Ce n'est que la première partie du film, c'est normal qu'il y ai un peu de clichés, surtout pour ce genre de productions des années 80". Mais ça ne s’arrête pas là, dans la deuxième partie que je situe à peu près au milieu du film, spoiler: tous les militaires exceptés Schwarzy se font tués un par un sans réel intérêt ni originalité puis enfin dans la troisième partie, nous avons droit à un Schwarzy qui joue le gros musclor (pour changer) et qui se bat pendant vingt minutes/un quart d'heure avec la bête mais attention, il a avec lui des phrases chocs telles que par exemple "t'as pas une gueule de porte bonheur". Non, plus sérieusement, je me suis la plus part du temps ennuyer avec ce film, je n'y vois finalement pas d'intérêts et les scènes les plus intéressantes sont finalement celles avec le Predator. Du côté des effets spéciaux, ils ont très mal vieillis mais étaient sûrement bien faits pour l'époque. Pour ce qui est des acteurs, on ne va pas se le cacher, ils jouent quand même tous assez mal, mis à part peut-être Schwarzy qui fonctionne comme toujours sur son personnage "Mr. Muscles", mais en même temps, leur personnages clichés ne leur laissaient pas trop une grande palette de jeux. Bien que j'aime beaucoup les œuvres de Silvestri, pour ce qui est de la B.O, celle-ci n'est pas vraiment marquante et pour les oreilles musicales les plus affutées, on remarque même qu'elle a des airs de la B.O de "Retour vers le Futur", sorti deux ans auparavant et par le même compositeur. "Predator" n'est donc pas franchement le film du siècle et il m'a beaucoup déçu même s'il reste un bon divertissement devenu aujourd'hui culte.
Considéré comme culte, ce film a été loin de me faire le même effet que Piège de cristal,Terminator ou Alien par exemple. D'ailleurs le concept est bien plus proche d'Alien que des deux premiers cités, avec un ennemi invisible, qui se fait attendre pendant la moitié du film . Ici c'est d'ailleurs la seule bonne idée du film, l'attente du Predator. Sauf que cela ne suffit pas à cacher la misère du reste. Le fait est que je n'ai jamais été concerné par les enjeux du film (contrairement à Alien), car il n'y en a pas. On a juste des soldats bad ass qui enquête sur la disparition de leurs collègues, point ! Le predator est une créature isolée, arrivée sur terre "par hasard" et dont le seul but est de chasser, c'est un peu comme le méchant de film de super-héros dont la seule motivation est la vengeance = c'est léger. Le caractère des personnages n'est pas développé ou est inintéressant, leur sort ne nous concerne pas, ils sont manichéens au possible. Le tableau n'est pas déjà pas réjouissant mais cela se cumule avec une réalisation que j'ai trouvé hyper moche, rien ne retient l'attention, ça a mal vieilli, la jungle peine à nous faire ressentir de étouffement ou du danger, la photographie est juste passable. Reste quelques répliques cultes, les biceps de Schwarzi , la vision nocturne du predator, un film témoin de son époque, que l'on regarde quand même avec de la bienveillance, mais loin de ses grands frères cités au départ.
Arnold Schwarzenegger/John McTiernan : la dream team en matière d'action, pour un film indigeste. La mise en scène de ce-dernier est moche, et les dialogues sont creux, bien qu'on ai droit à quelques "punchlines" Bad-Ass : "T'a jamais rien su crâne de puce !", ou la plus connue "t'a pas une gueule de porte-bonheur !". Les acteurs quant à eux, sont nullissimes, à part peut-être Schwarzie qui nous livre son numéro habituel. La bande-son de Silvestri semble déjà-vue (ou plutôt déjà-entendue) et est répétitive. Tant de chose qui font de "Predator" un film passablement ennuyeux. Seul le face-à-face entre Schwarzie et la créature vaut à peu près le coup d'œil !