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Magellan
2 abonnés
8 critiques
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5,0
Publiée le 19 septembre 2021
Chef d'oeuvre absolu, de la testostérone à profusion,du muscle, des armes, des blagues sexistes, une jungle dézinguée, de la tension etc etc Il sortirait au ciné aujourd'hui, il serait interdit aux moins de 30 ans .
Malgré son année de naissance, 1987, ce Predator remasterisé est assez impressionnant visuellement avec des images digne des films d'aujourd'hui. Si l'image a été modernisé, il n'en ai pas de même pour l'histoire bien sur qui a bien été écrite à la fin des années 80, avec des personnages au gros bras, des américains invincibles et des punchlines venues d'ailleurs ! Oui mais au final, c'est plutôt pas mal, avec un John McTiernan aux manettes, que l'on retrouvera plus tard avec la saga Die Hard,, et un Schwarzenegger toujours aussi costaud mais aussi pour la première fois paniqué ! Oui, il existe plus fort que lui, un Predator, un monstre venu d'ailleurs qui avant de se frotter aux Aliens doit affronter Terminator. De l'action, un suspens finement amené, une tension et une peur grandissante avant un final magnifique et un duel exceptionnel ! Cela sentait le nanar, c'est au final plutôt un bon film !
Predator c'est le genre d'oeuvre que je me doit de voir car le statut culte que cette saga a maintenant la rend incontournable. Et bordel que je suis content d'avoir pris le temps de rattraper mon ignorance presque honteuse de ne pas connaitre réellement un long métrage sur Predator. Car très clairement presque chaque plan est cool et nombreux sont ceux qui deviennent immédiatement culte des le premier visionnage ! En tant que film d'action je trouve que Predator rempli à merveille le cahier des charges en mettant en scène une belle jungle peuplé de guerriers dans lequel le Predator atterrira très rapidement au début de l'oeuvre. Cette créature est une pure merveille puisque son usage de camouflage optique permet aux spectateurs de la découvrir petit à petit, laissant planer le mystère autour de son design. Et une fois qu'on l'a découvre entièrement bon dieu qu'elle est classe ! C'est une pure réussite tant au niveau de l'esthétisme qu'à tout ce qui la caractérise (arme, vision thermique, arrachage de colonne vertébrale). C'est ces deux points réuni qui la rendent si fascinante et donne un énorme point positif au film. Même si les soldats que l'on suit sont ultra basique et sont des gros bourrins ils restent satisfaisant et donne lieu à des scènes ultra badass notamment celle où tout le monde tire de partout. La dernière demi heure est vraiment parfaite grâce à un combat final super bien écrit avec de très bonnes idées et une mise en scène parfaite. Franchement je ne pensais pas autant apprécié ce Predator et je me dois de vous le recommander très franchement !
Pour les amateurs de biscotos, d'action et d'effets spéciaux, "Predator" est un excellent divertissement, voire un chef-d'oeuvre. Malgré des dialogues souvent pathétiques et un scénario très basique, la réalisation 'old school' bien foutue et un Schwarzy charismatique comme jamais permettent de passer un bon moment. Le point faible du film, ce sont ses incohérences. Le camp de trafiquants parait vraiment petit mais les méchants sont aussi nombreux que dans un régiment de militaires. Lorsqu'on entend Dutch dire que Anna n'a pas été tuée par le predator parce qu'elle ne portait pas d'arme, alors pourquoi ne jettent-ils pas tous leurs armes ? Pourquoi le predator a-t-il été débarqué par ses congénères sur Terre et en pleine jungle ? quel est l'objectif de ce E.T ? Tuer des keums armés et en faire des oeuvres d'art sanguinolentes ? Alors pourquoi n'a-t-il pas tué tous les méchants trafiquants ? Pourquoi le predator laisse le temps à Dutch de lui préparer un piège 'à la Rambo' ? Etc. En dépit de ses imperfections, "Predator" reste un grand classique du cinéma fantastique typique des 80's.
Un des meilleurs de sa génération et encore à l’heure d’aujourd’hui un film qui reste totalement culte et intemporel de part son ambiance, ses effets spéciaux (remis dans le contexte de l’époque) ainsi que les répliques des acteurs devenues cultes également.. Notemment le fameux « t’as pas une gueule de porte bonheur! «
Et surtout le personnage du Predator créé par le grand Stan Winston! Vraiment charismatique, il n’aurait rien a envié face à Alien, Bobba Fett ou au T-800 de Terminator!
Bref j’adore ce film et je pourrais le regarder plusieurs fois par an sans jamais me lasser..
Je le conseille à tous les fans de science fiction et surtout pour ceux qui ont le malheur de ne pas encore l’avoir vu, foncez tête baissée car il vaut clairement le coup!
Un superbe film d’action/science-fiction signé par le papa de Piège de cristal et une journée en enfer, John McTiernan!
Un chef d’oeuvre culte et impressionnant de John McTiernan avec une excellente réalisation, un scénario bien écrit, des scènes d’action époustouflantes, une remarquable BO d'Alan Silvestri, un Arnold Schwarzenegger remarquable et un combat final titanesque.
Classique du cinéma signé John McTiernan (réalisateur de Die Hard 1 & 3), pour moi un des meilleurs films de science-fiction (même si je ne suis pas un adepte de la SF).
Un chef d’oeuvre culte et impressionnant avec une excellente réalisation, un scénario bien écrit, des scènes d’action époustouflantes, une remarquable BO d'Alan Silvestri, un Arnold Schwarzenegger remarquable et un combat final titanesque.
Peu de choses marquantes dans ce film une course poursuite entre des humains et un animal ne suffit pas à faire un film. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 2/5
John McTiernan, ancien grand ténor de films d'action a réalisé avec *Predator* son premier grand film. Une chasse à l'homme où des soldats musclés et bien équipés sont chassés par une créature extraterrestre peu enclin à négocier. Le long-métrage est divisé en deux parties. Il commence tel un film de guerre puis se termine sur une chasse à l'homme dans la seconde. Alternant magnifiques cadrages et effets spéciaux bluffant pour l'époque, McTiernan parvient à créer une tension palpable à travers cette dense jungle que la superbe musique appuie. Le moment le plus anthologique reste la dernière partie : les muscles charismatiques de Schwarzy sont désormais seuls luttant pour leurs survies. L'humour n'est pas oublié et certaines répliques en VF sont devenues cultes.
McTiernan avec son *Predator* un grand classique du cinéma d'action et de science-fiction, il a créé l'un des monstres les plus célèbres de l'histoire du cinéma. Rien que pour cela, ce film doit être vu par tout passionné qui se respecte !
Un véritable coup de coeur me concernant. Un film superbement réalisé par John McTiernan avec un Arnold Schwarzenegger toujours aussi impressionnant. L'ambiance est fortement oppressante, le costume du Predator formidable et la tension insoutenable. Rarement le mélange horreur et action a si bien fonctionné. Il est impossible de détacher son regard de l'écran lors de la traque finale.
Un classique des années 80 qui a contribué à starifier Schwarzenneger mais force est de constater que le film a prix un gros coup de vieux et qu'il n'impressionne plus vraiment. Le scénario tient sur un coin de feuille, les dialogues sont insipides au possible, les FX sont moches (surtout les effets lumineux du Prédator), le rythme est mollasson et pour couronner le tout, le suspense est aux abonnés absents. Reste les décors de la jungle particulièrement agréables, le charisme de Schwarzy et le look très classe du Prédator (...sauf quand il enlève son casque!). A voir pour sa culture cinématographique.
Œuvre devenue culte, Predator est toujours aussi divertissant. Commençant comme un film d'action on ne peut plus classique – ça tire et explose dans tous les sens ; Arnold Schwarzenegger exhibe ses beaux muscles – le long-métrage évolue vers le fantastique, et c'est non sans joie que l'on retrouve la figure monstrueusement méchante qui donne son titre au film, avec ses fameux dreadlocks. Sympathique.
Film à l'esthétique expérimentale, radicale et efficace. La moiteur de la jungle réussit à nous faire ressentir le surnaturel. Le montage tirant vers l'abstraction est très horizontal et condensé, sa vélocité est impotente dans les scènes de tirs. On reste malgré tout dans une propagande hard.