AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,8
21519 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Predator ?
5
344 critiques
4
292 critiques
3
125 critiques
2
69 critiques
1
19 critiques
0
9 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Un suspens rarement égalé, on ce demande vraiment qu'elle est cette créature qui les poursuit. Les acteurs ont tous un charisme comme on en fait plus aujourd'hui.
J'en reviens tjs pas qu'il soit tourné en 1987 tant les effets spéciaux sont si bien réalisé .
La réalisation et le rythme sont si parfait qu'on ne voit pas le temp passer.
Autant toutes les suites du 1 er volet sont de vrai fiasco mais le Predator de 1987
restera à jamais dans ma mémoire de cinéphile.
J'en reviens tjs pas qu'il soit tourné en 1987 tant les effets spéciaux sont si bien réalisé .
La réalisation et le rythme sont si parfait qu'on ne voit pas le temp passer.
Autant toutes les suites du 1 er volet sont de vrai fiasco mais le Predator de 1987
restera à jamais dans ma mémoire de cinéphile.
Xavi_de_Paris
Culte certes, mais il ne faut pas oublier les écueils de cette série B, qui a pris un léger coup de vieux quand même. Alors certes les moments de tension sont bien là, et le duel final est franchement bien fait. Mais qu'il s'agisse du niveau des dialogues ou des situations, ça ne vole pas très très haut. On retiendra surtout ce final épique et tendu.
GyzmoCA
Predator fait partie sans aucun doute des meilleurs films d Arnold Schwarzenegger . Et John Mc Tierman (piège de cristal) n y est pas étranger . Stars des années 80, Adepte des films dopés à la testostérone, Swarzy participe en 1987 à un film de qualité présentant une expédition de sauvetage dans la jungle. Les dialogues sont pas très évolués et le jeu d acteurs un peu stéréotypés.
Le film se découpe en deux parties bien distinctes : une opération militaire dans la jungle et une chasse à l homme inverse avec une créature extraterrestre aux capacités supérieures à l humain . Le premier Predator est un film culte de science fiction dans la lignée des alien et dépasse largement ses suites :
La technique infra rouge pour la vision de l alien et celle de son camouflage reste des inventions qui ont fait date dans le cinéma donnant un statut de film culte à predator .
La traque finale quand le rapport s’inverse et que le traqueur devient le traqué est superbement réalisée et donne la vraie dimension du film.
Le film se découpe en deux parties bien distinctes : une opération militaire dans la jungle et une chasse à l homme inverse avec une créature extraterrestre aux capacités supérieures à l humain . Le premier Predator est un film culte de science fiction dans la lignée des alien et dépasse largement ses suites :
La technique infra rouge pour la vision de l alien et celle de son camouflage reste des inventions qui ont fait date dans le cinéma donnant un statut de film culte à predator .
La traque finale quand le rapport s’inverse et que le traqueur devient le traqué est superbement réalisée et donne la vraie dimension du film.
Les années passent et ce film reste mythique... Arnold Schwarzenegger et ses acolytes tiennent le film et maintiennent le suspens jusqu'au bout, sans temps mort. Tout y est ; humour, horreur, fantastique. En ce qui me concerne, ce film est et restera une référence du genre.
Deuxième long métrage de John McTiernan qui nous emmène au cœur de la jungle Équatorienne pour une mission à très haut risque et périlleuse mais dont le commando est loin d’imaginer ce qui leurs attends... Un grand film au côté du excellent Arnold Schwarzenegger. Riche en suspens, rebondissement ce film de près de deux heures nous tiens en haleine et auquel on ne s'ennuie pas une seconde avec son lot d'action. Cela se regarde avec plaisir et les effets spéciaux, décors et le personnage monstrueux pour l'époque sont remarquables. Un scénario certes simples et quelques petits passages rapidement ficelé à mon gout mais sinon l’œuvre se révèle efficace et particulièrement captivant. Très belle œuvres des années 80, à voir
Le chef d'œuvre absolu de film action revival un Schwarzenegger aux petits oignons le monstre extraterrestre pour sa première apparition le scénario le cotès badass tout y est parfait!!
Pour moi c'est mon film culte qui m'a marqué ado!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Pour moi c'est mon film culte qui m'a marqué ado!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Pas mal, quelques scènes d'action bien sympas (la destruction du camp de guerilleros au début, le mitraillage de la jungle en continu pendant 3min quand ils apperçoivent le prédator pour la 1ere fois... hilarant), mais globalement, on s'ennuie un peu. Peu de dialogues, on suit grosso modo pendant 1h47 la traque des soldats américains par leur proie, tout en silence, en mode "chasse". C'est intéressant, mais un peu lassant. Les décors et environnements sont très monotones : de la jungle la journée, de la jungle la nuit, de la jungle au soleil, sous la pluie... Une petite rivière à un moment, et on retourne dans la jungle. Visuellement, c'est monotone. A voir pour les inconditionnels de Schwarzy, qui est à son meilleur niveau.
Après avoir vu cet opus, je suis abasourdi, sonné. C'est bâclé, totalement raté, des années à attendre..encore pour ça.. on assiste à une histoire totalement décousue, ennuyeuse, avec des jeux d'acteurs loufoques, qui jouent très mal, c'est pour moi d'une nullité sans nom.Une comédie de série B pas digne de predator. C'est digne du nanar sos fantômes version féminine. Réellement affligeant. Ce film ne fait pas flipper, l'humour est pathétique, les mecs rigolent avant de clapser. Il n'y a pas d'histoire, pas de ligne directrice, pas de suspens rien. Le gamin autiste de 8 ans qui devient le petit génie et finit par travailler dans le labo du gouvernement..c'est absurde, ils ont voulu faire dans le même genre que "code mercury" mais qui lui était 100x mieux. Comment peut-on être tombé aussi bas ? le réalisateur ayant pourtant joué dans le premier predator, ce qui est d'autant plus incompréhensible. c'est sans aucun doute le pire volet de la longue série des predator, sans aucun problème. Où sont les predator 1 et 2 ? j'avais presque honte pour le film et envie de me cacher ! même si c'était prévisible rien qu'en regardant le trailer. Là, ça dépasse mes attentes et de loin Je comprends pas qu'on puisse apprécier une seule seconde ce film, même en mangeant du pop corn devant. Avec un tel film, quant on est fan de la première heure, c'est à se dégouter de la franchise predator pour de bon, vraiment, aussitôt vu, aussitôt poubelle, si ils voulaient massacrer la série, y'avait pas pire à faire, enfin pour moi.....
Predator , premier du nom est un film avec une histoire de base simple ; une forêt , un prédateur extraterrestre surpuissant et violent , une chasse a l'homme ... les effets spéciaux ont fait leur temps mais cela colle au charme du film . Un très bon rythme et beaucoup de tension dû au fait que l'on ne voit pratiquement pas la créature avant l'affrontement final ! Bien sur ce n'est pas un chef d'oeuvre mais c'est un classique à voir . 16/20
Après "Alien", je m'attaque à son concurrent, "Predator". Me concernant, j'ai toujours été plus fan d'"Alien", mais j'aime quand même beaucoup "Predator", surtout ce premier film qui est pour moi le meilleur de la saga. Même si "Predator" soulève quelques points communs avec son concurrent "Alien", comme un slasher extraterrestre, il peut s'avérer quand même différent dans sa manière de mettre en place les choses. L'histoire du film reste un peu simpliste et peut même être assez bancal, mais visuellement, ça tue, et ce, même si le film a un peu pris cher avec le temps qui a passé. Les scènes d'action au cœur de la forêt Amazonienne sont justes époustouflantes, y'a vraiment une ambiance de folie. Les personnages sont très bien cadrés dans l'histoire, aussi bien les principaux que les secondaires et la mise en scène est forte. Le principe de la créature, le fameux Predator, est très intéressant. On voir à quel point son apparence peut être autant impressionnante que repoussante, tout comme le Xenomorph, que c'est une créature extrêmement intelligente, redoutable, avide de sang et qu'il a plus d'un tour dans son sac. Le film montre en plus, en vue subjective, la vision du Predator, haute en couleur, ce qui nous donne de lui un détail encore une fois intéressant. Seulement, vers la deuxième partie du film, ça devient plus calme, les dialogues se font de plus en plus rares et ça prend plus son temps à développer les choses, avant le final, qui est pas extraordinaire mais qui conclut quand même bien le film (no spoil). Je dirais que contrairement à "Alien", "Predator" se prend un peu moins au sérieux, mais y garde quand même un ton pour ne pas perdre la cohérence de l'histoire. La musique d'Alan Silvestri apporte bien au film. Lui qui avait fait la BO de "Retour Vers le Futur" deux ans avant, elle est facilement reconnaissable et cette fois-ci rentre bien dans le contexte du slasher. Le film est assez violent et glauque également, autant que dans "Alien". Au niveau des acteurs, Arnold Schwarzenegger est très bon et encore une fois bien investi. Trois ans après avoir interprété son légendaire rôle de Terminator, il joue là de manière très correcte, sort toujours de belles punchlines et a toujours autant de force, de cool attitude et de rebondissements. Carl Weathers est bon aussi et sa relation avec le personnage de Schwarzy apporte bien au film, même si son personnage est secondaire. Elpidia Carrillo joue plutôt pas mal même si son personnage perd en intérêt dans la continuité du film. Les autres acteurs, Bill Duke, Shane Black, Jesse Ventura, Sonny Landham (RIP), R. G Armstrong et Richard Chaves, sont bons aussi, mention spéciale aussi à Kevin Peter Hall dans le rôle du Predator qui est bien badass et terrifiant. En conclusion, malgré son histoire assez simpliste, "Predator" est un film qui envoie bien des caisses et qui se laisse regarder avec grand plaisir, surtout pour la présence de Schwarzy. Si vous avez aimer la saga "Alien", ce film pourra éventuellement vous plaire même si c'est assez différent. La suite de la saga, par contre, risquera d'en déplaire quelques uns. Affaire à suivre !
En 1987, John McTiernan se fait un nom en tournant un scénario qui, dans une jungle hostile, donne en pâture quelques gros bras de l’espèce humaine à une créature invisible venue d’ailleurs. Construit de la même manière qu’ «Alien», un climat de peur et d’insécurité s’installe progressivement et modifie la structure du début du film en cours de route. La mise en scène se montre d’une réelle efficacité, notamment lors de l’affrontement quasi muet et primal du quart d’heure final. Dès lors, c’est en toute logique que le nombre des aficionados de ce premier « Predator » ne cesse d’augmenter avec le temps surtout par rapport à ce que nous avons eu droit par la suite...
Le film culte qui aura révélé John McTiernan comme un véritable prodige du cinéma d'action. Ce qui part pour n'être qu'un scénario de série B minable avec un poil de dérision (Schwarzy ayant botté les fesses de tellement de méchants humains que seul un extra-terrestre peut rivaliser avec lui maintenant) devient entre ses mains un film de survie anxiogène où le mal peut intervenir à n'importe quel moment. Le début vient trancher avec le pitch de base, tout commence comme un film d'action caricatural où McTiernan surexpose la virilité de ses gros bras comme des héros invincibles. La base parfaite pour totalement détruire cette façade dès qu'intervient la créature totalement hors de porté de leurs moyens et insensible à toute leurs contres-mesure, comme une force de la nature implacable, les réduisant à l'impuissance, les poussant au stade de proies désespérés incapables de se défendre avec leurs technologies. On espère les voir s'échapper de ses griffes jusqu'à ce que la situation se retourne complètement lorsque la créature se révélant aussi dépendante que ses proies aux outils avancée, la seule façon de la combattre étant logiquement d'être aussi primitive qu'elle ne le laissait entrevoir. Afin de créer une véritable tension, et le plaisir de voir le chassé être désespéré devant l'invisible.
Dans le genre, on n'a guère fait mieux depuis. Un monstre magnifique et instantanément culte, Arnold à son meilleur et dans un rôle pour une fois réaliste (soldat d'élite oui, mais pas super-héros), un casting brillant et 100% crédible en unité des forces spéciales, une tension permanente, une capacité à retranscrire l'angoisse des personnages rarement vue au cinéma, une musique mythique, une moiteur qui semble littéralement sortir de l'écran et en bonus, un titre qui claque et devient dès la sortie du film une marque à elle seule, n'en jetez plus, un chef d'oeuvre du film d'action.
Parmi les classiques que nous a pondu John McTiernan au cours de sa carrière, on trouve « Predator » même s’il n’est pas à mon sens le film le plus inspiré de son réalisateur. Le concept même du predator est intéressant et relativement bien exploité dans le film, le design du monstre étant réussi ainsi que les scènes où il apparait. La mise en scène de McTiernan est assez efficace bien qu’un peu charcuté et banal, le cinéaste américain étant capable de scènes d’action un peu plus emballantes que celles de ce « Predator ». Le principal problème que j’ai avec « Predator » c’est, qu’hormis son concept, il ne se différencie à mon sens pas vraiment de n’importe quelle production d’action de cette époque. Contrairement à « Alien » auquel il est beaucoup comparé, le film n’a pas d’atmosphère particulière, n’est jamais angoissant ni même inquiétant et l’on se soucie assez peu du sort des personnages. Ces derniers sont pourtant tous campés par des vrais gueules de cinéma qui parviennent par leur seule présence à rendre leur personnage marquant. Cela fait à mon sens de « Predator » un divertissement agréable et honnête qui ne se hisse tout de même pas à la hauteur des louanges qui lui sont adressées par les nostalgiques des 80’s.
Parti à la recherche d'une équipe de conseillers militaires dans la forêt équatorienne, un commando est attaqué par un ennemi invisible : Predator, un extraterrestre venu faire une petite partie de chasse sur Terre.
L’affiche du film ne triche pas : Schwarzenegger avec une énorme mitrailleuse dans les mains, treillis militaire, le visage avec des peintures de camouflage, ca va être bien bourrin. Effectivement, nous avons droit à ce qui fait que Schwarzenegger joue dans un film en 1987 : musculature, calibres de tous poils, explosions et répliques macho à gogo. Suite à la découverte du cadavre sanguinolent de la première victime, la quête est d’abattre le Predator. Mais pour cela, encore faudrait-il le voir ! Les soldats vident leurs chargeurs sur la jungle, vaine démonstration de force, face à un ennemi patient, intelligent et disposant de moyens technologiques nettement supérieurs aux humains. Méticuleux et méthodiques, les survivants vont apprendre à anticiper et à regarder. A mesure qu’il progresse, le film devient de plus en plus rigoureux dans sa construction, tout entier dévolu à son thème, le regard, pour aboutir à une chasse muette et d’une très grande maîtrise plastique.
Grande idée que celle d’une progression vers le dénouement par le dénuement : les deux ennemis restant se délestent peu à peu de leurs attributs : Schwarzenegger, ostentatoire dans l’exposition par ses biceps et son cigare phallique, apprend l’invisibilité en se couvrant de boue. Le Predator, lui, accepte de devenir visible pour le corps à corps final. Difficile de mettre plus de 3,5 étoiles à un film aussi bourrin et aussi pauvre d’un point de vue scénaristique. Mais il faut aussi intégrer le fait que ce type de film était très à la mode dans les années 80 et 90.
L’affiche du film ne triche pas : Schwarzenegger avec une énorme mitrailleuse dans les mains, treillis militaire, le visage avec des peintures de camouflage, ca va être bien bourrin. Effectivement, nous avons droit à ce qui fait que Schwarzenegger joue dans un film en 1987 : musculature, calibres de tous poils, explosions et répliques macho à gogo. Suite à la découverte du cadavre sanguinolent de la première victime, la quête est d’abattre le Predator. Mais pour cela, encore faudrait-il le voir ! Les soldats vident leurs chargeurs sur la jungle, vaine démonstration de force, face à un ennemi patient, intelligent et disposant de moyens technologiques nettement supérieurs aux humains. Méticuleux et méthodiques, les survivants vont apprendre à anticiper et à regarder. A mesure qu’il progresse, le film devient de plus en plus rigoureux dans sa construction, tout entier dévolu à son thème, le regard, pour aboutir à une chasse muette et d’une très grande maîtrise plastique.
Grande idée que celle d’une progression vers le dénouement par le dénuement : les deux ennemis restant se délestent peu à peu de leurs attributs : Schwarzenegger, ostentatoire dans l’exposition par ses biceps et son cigare phallique, apprend l’invisibilité en se couvrant de boue. Le Predator, lui, accepte de devenir visible pour le corps à corps final. Difficile de mettre plus de 3,5 étoiles à un film aussi bourrin et aussi pauvre d’un point de vue scénaristique. Mais il faut aussi intégrer le fait que ce type de film était très à la mode dans les années 80 et 90.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse