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tomPSGcinema
749 abonnés
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4,5
Publiée le 14 octobre 2018
Dotés d'impressionnantes scènes d'actions, d'un casting totalement impliquer, d'une musique devenu mondialement célèbre et d'effets speciaux de très grande qualités, ce film de John McTiernan s'impose clairement un classique du cinéma fantastique, Et que dire du look genial du "Predator" qui fait de lui l'une des créatures extraterrestres la plus célèbre de l'histoire du 7eme art ! Une oeuvre que je prend toujous autant de plaisir à revoir à chaque vision et qui mérite son statut de film culte.
Bof, pour avoir des explosions et du sang il y en a ! Mais les effets spéciaux ne sont pas très bien et il y a pas vraiment d'histoire ! Heureusement que il y a Schwarzenegger au moins avec lui les combats sont bien fait !
Lorsqu'on a entre les mains un scénario béton il est facile même pour le pire des tacherons de faire un film potable mais là avec Predator on à le droit a un script qui tient sur une feuille de PQ c'est sans compter que le réalisateur est Mr Mc T qui a reussi a en faire l'un des meilleur survival horror par une mise en scéne phénoménal un jeux d'acteur impeccable et d'un tirer un super paradoxe entre la technologie de pointe et le fait de retourner a l'état primitif pour survivre.
Quelle déception de la part de John McTiernan. D'après de nombreuses critiques Predator est un excellent film, il est logique de notre part s'attendre à un assez bon résultat. Malheureusement, que ce soit pour les effets spéciaux (passablement mauvais mais surement très bon pour l'époque) ou pour le scénario, "Predator" ne vole pas très haut. Ce film n'est qu'une simple réunion de gros bras partis en mission qui va mal tourner. On ne ressent pas le suspens qui est sensé émaner des différentes situations. Il faut tout de même admettre que le costume du prédateur est réussi mais à part ça...
Un putain de survival !! La réalisation de McTiernan est impeccable, les acteurs aussi (surtout Schwarzenegger), la musique d'Alan Silvestri aussi, les effets spéciaux de Stan Wiston aussi ... Le scénario est également bien foutu. Bref, un classique de McTiernan (récemment sorti de prison d'ailleurs) !
Sorti en salles en 1987, Predator va vite devenir un nouveau standard en matière de film d'action. Plus globalement, on peut le considérer aujourd'hui comme un monument de la science-fiction... Ce film retrace l'histoire d'un commando de choc mené par Alan « Dutch » Schaefer, qui est envoyé en « Val Verde » retrouver un ministre du cabinet présidentiel perdu avec son second à cause des forces de guérilla qui ont abattu leur avion.
Sur place, l'opération va vite tourner au bain de sang. Il faut dire que l'équipe dirigée par un Arnold Schwarzenneger au sommet de sa forme physique est constituée de durs à cuire dopés à la testostérone. Tous plus musclés les uns que les autres, et surarmés, ils vont rapidement montrer leur force de frappe. Après avoir fait la macabre découverte de corps dépecés de forces spéciales pendus aux arbres comme des guirlandes de noël, ils repèrent un village de rebelles à proximité. L'assaut du camp est un moment d'anthologie. Jamais on avait encore vu un tel déluge de feu à l'écran, et c'est un véritable massacre qui s'opère, entre explosions démesurées et soldats transformés en gruyère.
Mais la véritable menace n'est pas éradiquée pour autant, et c'est au cœur de la jungle que les choses vont se gâter... Observée depuis de longues heures par une créature mystérieuse, la troupe d'élite va se faire lentement décimer au cours d'une chasse à l'homme d'anthologie, jusqu'au duel final homérique entre Schwarzy et le Prédator... La mise en scène musclée de John Mc Tiernan apporte énormément de rythme au film et donne lieu à de nombreuses scènes devenues cultes, comme celle du commando qui rase la moitié de la jungle à coup de sulfateuse, de M16 et de grenades. De plus, malgré son suspens et la tension ambiante, Predator est ponctué de phrases cultes qui apportent cette petite touche d'humour qui va devenir la marque de fabrique de Mc Tiernan, comme « Aiguises moi ça », ou encore « T'as pas une gueule de Porte-bonheur ». Predator est l'un des films incontournables du cinéma d'action et de science-fiction, de par son ambiance, la qualité de sa réalisation, et son duel final absolument mémorable. Un classique à découvrir ou re-découvrir.
Le tout premier film de cette longue saga qui a connu de nombreux épisodes-nanars avec cette créature sanguinaire devenue un personnage de légende du cinéma. Inutile de dire que c'est sans aucun doute le meilleur de la série. Le 2 n'était pas mal mais le 3 avec Adrian Brody une vraie daube. Pour ce qui est du film, c'est action non-stop avec des acteurs bourré de testostérone (Schwarzy en tête) qui dézinguent des guérilleros à tout-va avant d'être pris en tenaille par le fameux Predator. Pour l'époque, les maquillages et effets spéciaux étaient vraiment très réussi et ont rien à envier à ceux d'aujourd'hui. Les soldats qui composent le régiment de Schwarzy sont très caricaturaux et l'archétype même des gros bourrins américains qui font le nettoyage avec leur machine-gun. Mais bien fait pour eux car après ils vont déguster avec un adversaire de la taille du Predator. Un film d'action culte des années 80 divertissant.
Un groupe de soldats va devenir la proie d'un alien. C'est un très bon survival que sert Mc Tiernan avec predator, que les suites n'arriveront pas à égaler. La jungle est très bien utilisée, ce terrain va vite devenir hostile et terrifiant. C'est haletant,terrifiant et réellement très bien mené d'un bout à l'autre. Le combat final opposant l'homme à la créature achève le film de façon bestial. Un must du genre.
Énorme classique body-buildé dans lequel Schwarzy trouve l'un de ses meilleurs rôles. Le suspense est omniprésent grâce à l'emploi de la vision thermique et à la BO tribale faite de roulements de tambours. A voir et à revoir, ne serait-ce que pour les répliques !
Un film qui en a et qui les pose sur la table, d'entrée de jeu, avec cette scène, de franche camaraderie masculine, où Schwarzy, "Macho Man" aux biceps/triceps bandés et cigare en bouche, tape énergiquement dans la main de son pote, du même gabarit, pour l'un des bras de fer improvisés les plus mythiques du cinéma. Après, c'est une débauche de testostérone comme même les films avec Vin Diesel ou Dwayne "The Rock" Johnson n'osent plus en afficher aujourd'hui, avec notamment la scène du mitraillage futile de "Mère Nature" à faire pâlir Eva Joly et ses collègues écologistes. Mais "Predator", premier du nom, c'est avant tout un huis-clos suffocant, étouffant, suintant, dans une jungle verdoyante inhospitalière où les "gros bras" vont se faire dessouder à petit feu par une créature "rasta" vicieuse et surarmée. Car oui, ils ont réussi à le faire ces cons, un huis-clos en plein air dans une immense forêt où l'Homme ne pourra plus compter sur sa "machine-gun" et ses grenades mais bel et bien sur son instinct pour survivre. Si vous êtes adeptes de ce genre de cinéma, n'hésitez pas et foncez tête baissée dans les fougères avec Schwarzy et ses potes, dans le cas contraire, restez bien tranquillement faire un tarot à l'orée en attendant l'hélico de secours, et souvenez vous "If it bleeds, we can kill it".
Predator, c'est un film que je vois depuis 1987, au moins une fois par an, sans lassitude, j'en connais toutes les répliques, je ne m'en lasse pas, c'est incroyable, aucun autre film me fait cet effet. Ce duel à mort entre Schwarzy et un alien ravageur est devenu un pur chef-d'oeuvre du film d'action, du grand McTiernan qui ne nous épargne aucun répit. Dès les premières séquences dans la jungle, on est pris, happé, capturé par ce tourbillon de suspense, de violence et d'efficacité redoutable. La musique d'Alan Silvestri par petites touches qui scande certaines scènes participe à l'angoisse et fait monter la tension. L'interaction entre les personnages du commando de Dutch, leur humour, les petites vannes de Schwarzy (T'as pas une gueule de porte-bonheur, ou Aiguise-moi ça !), le pessimisme réaliste de Billy (On va tous y rester ; j'sais pas c'que c'est major, mais j'ai la pétoche...), le mystère qui entoure le predator (il ne se découvre que vers le troisième tiers du film), et la confrontation entre Dutch et le predator qui enlève son casque... tout ça constitue un cocktail en béton armé qui fait de ce film un divertissement cultissime.
YEAAAAH ! Des muscles saillants, des amitiés viriles et schwarzy qui tire sur des fougères à la sulfateuse ! A l'instar d'Alien, Predator met en scène une créature chasseuse d'humain et quasi-invisible, mais en ne s’encombrant pas de la peur psychologique que pouvait susciter le film de Ridley Scott. Ici le parti pris est de faire un film bourrin, badass et aux personnages stéréotypés à l’extrême (l'indien en communion avec la nature, le binoclard juste là pour se faire massacrer, et le héros surpuissant qui transperce des arbres avec un arc). Predator est un Alien filmé comme un Rambo II. C'est pas très intelligent, mais sa vide la tête.
Après "Terminator", Schwarzy semble s'être abonné au genre action/SF. La première moitié du film est légèrement pénible à suivre. On nous ressert les poncifs des Rambo et consorts. Heureusement, la vision thermique de l'alien ainsi que sa technique de camouflage qui le rend presque invisible dans la jungle relèvent l'attention du spectateur. Le duel final entre le chasseur et le gibier vaut vraiment le coup d'œil. Et l'idée générale du film : la Terre comme terrain de chasse d'une race extraterrestre est excellente.