Derniers Avis : Predator - Page 15

Predator, le fameux Predator... Que les choses soit claires, si vous cherchez un film avec un bon scénario, passez votre chemin, ce n'est pas là que vous en trouverez un. N'est pas Alien qui veut. Pourtant, malgré sa faiblesse scénaristique, le film est correctement construit. La force de ce film, c'est son cadre, on se croirait avec eux dans la jungle. Et c'est aussi le prédator auxquels nos héros vont devoir se confronter, et SCHWARZY au top de sa forme ! Les répliques sont cultes, comment oublier le : "Toi t'as pas une gueule de porte bonheur" ou encore "Aiguise moi ca". Bref Mc Tiernan nous livre un film bourré à la testostérone , qui a hissé son film dans la catégorie des films culte. Un nouveau tour de force de ce réalisateur. A voir et à revoir sans modération, un pur régal, bref une pure bombe. CONTAAAAAAAAAAACT !!!!!! ^^

S'il y a bien un réalisateur passé maître dans l'art du film d'action (pré-21ème siècle), il s'agit sans conteste de John McTiernan, papa de la franchise Die Hard notamment. Mais c'est en 1987 que tout commence, avec une première pierre à l'édifice marquante en tous points : Predator ; en effet, outre un statut indéniable de film culte, celui-ci devait être une sacrée surprise à sa sortie, comme tant d'éléments tendent à le prouver encore aujourd'hui. Pourtant, tout laisse d'abord à penser que l'on tient là un film d'action classique au possible, quoique sympathique, mais gourmand en clichés : le ton est donné d'emblée avec l'introduction musclée de Dutch Shaefer, et la suite ne nous donne pas tort, son équipe de gros bras se livrant à une véritable promenade de santé (à grand coup de fusillades sans dommages, explosions et éliminations d'un bon paquet de guérilleros, le tout à 7 seulement). Jusqu'ici rien de bien innovant donc, et Predator n'était porté que par le charisme bodybuildé de ses personnages et leurs répliques on ne peut plus fameuses ; mais passé cette phase introductive pareille à un leurre, voilà que le film entre dans le vif du sujet avec l'entrée en scène de son sujet-même : le Predator. Et à l'instant où celui-ci lance la chasse, où les invincibles soldats surarmés et surentraînés se retrouvent dépassés, le génie de McTiernan se fait évident au gré de ce contraste saisissant ; le rythme ne manque d'ailleurs pas de s'emballer, à mesure que les hommes de Dutch trépassent un à un, le tout sous couvert d'une BO diablement entrainante et d'une mise en scène aussi efficace que viscérale. Au film d'action succède donc un survival certes toujours musclé, mais à forte connotation fantastique, le mystère du Predator s'amenuisant lentement mais sûrement, et qui entretient par la même occasion une intrigue basique mais captivante. Autres bons points, à savoir de bonnes interprétations donnant vie à des personnages secondaires globalement réussis, et surtout savamment utilisés, tandis que Arnold Schwarzenegger trouve là un rôle à sa pleine mesure ; par ailleurs, la force du long-métrage réside aussi en son dénouement, où ce dernier et le Predator vont se livrer à un cultissime affrontement. De plus, voir l'invincible Schwarzie/Dutch, alors au sommet de sa forme, se faire malmener de la sorte (la peur habite momentanément son regard, pour un résultat des plus saisissants) par un antagoniste lui étant largement supérieur, cela vaut foutrement le détour ; et, naturellement, on ne peut que féliciter Stan Winston pour le design on ne peut plus inoubliable du Predator, dont le faciès peu commun, l'équipement de pointe et son statut de prédateur ultime lui auront assuré une place de choix au panthéon des meilleures créatures extra-terrestres. Ceci étant dit, il reste à souligner la présence d'effets visuels réussis bien qu'ayant considérablement vieillis ; de même, on pourrait formuler quelques regrets concernant l'incohérence de détails visuels, faux-raccords etc., ou encore l'utilité nuancée du personnage d'Anna, le caractère convenue des seconds rôles et enfin le face à face Billy / Predator. En résumé Predator est culte à ne pas en douter, fort de trouvailles visuelles et d'une mise en scène excellentes pour l'époque... John McTiernan signait donc là un divertissement d'action surprenant au sein de son registre, et qui à bientôt 30 ans passés demeure toujours inégalé.

Arnold Schwarzenegger incarne dans ce film le chef d'un commando militaire d'élite : Dutch Shaefer.
Si le film commence comme une mission du sauvetage et d'infiltration, le scénario prend rapidement une autre tournure: les membres du commando se font tuer l'un après l'autre par une créature extraterrestre qui a fait de la jungle son terrain de chasse.
Les personnages semblent impuissants face à ce prédateur invisible, mais chacun se bat pour lui survivre.
J'aimerai saluer le casting, qui est absolument spectaculaire : en plus de l'excellent Arnold Schwarzenegger, on a droit à un Carl Weathers dans un rôle qu'il a très bien su interpréter, à Bill Duke (ce qui marque sa deuxième rencontre avec Schwarzy depuis 'Commando') à Sonny Landham et à une petite touche de féminité avec Elpidia Carrillo !
Pour conclure ce film est un pur chef d'oeuvre, qui vous tiendra en haleine par son intrigue virtuose.

A la fois film d action, survival, avec en prime un des monstres mythique du cinéma, Predator est un film bestial. Avec sa bande de mercenaires devenus les proies d un chasseur venu de l espace, on est devant un film d action brute, évocation de la loi de la jungle ou Schwarzy et sa bande sont impeccables en militaires bas du front confrontés à un adversaire qui les dépasse. Mctiernan ici à son apogée signe encore un des meilleurs film d action de son époque.

Tout simplement le meilleur Schwarzy après T2. Le Predator est fascinant et le film a bien vieilli.

J'ai profité de la sortie du Blu-Ray 3D pour finalement découvrir ce film. Alors déjà, du bon boulot pour la conversion 3D qui est pas mal du tout sur certaines scènes ! Ensuite le film en lui-même m'a plutôt agréablement surpris. J'avais peur que le petit groupe qui se retrouvera face au Prédator soient des militaires décérébrés et énervants à la Alien 2, mais en fin de compte ça reste tout à fait supportable (certes ils sont tous relativement clichés mais c'était pas poussé à l’extrême non plus, ouf !). Sinon la créature est plutôt bien foutue (une sale gueule comme je les aime sans son masque), le fait qu'elle puisse se rendre invisible est une bonne idée également, et niveau action on est très bien servi donc j'ai passé un bon moment malgré quelques petites longueurs entre l'attaque du camps et l'affrontement final entre Schwarzie et le vilain prédateur.

Le film de toute une génération! Certainement un des rôles les plus cultes de Arnold et qui a fait entrer le Predator dans la légende au même rang que le xénomorphe d'Alien. Un chef d'oeuvre!

Des répliques cultes,un extraterrestre charismatique,une BO de légende,ce sont les seuls points forts du graphismes sont limite nanaristique,mais bon pour l'époque c'était l'action,de l'action et encore plus d'action c'est délicat ça ne plaira pas à tout le monde.

Culte, Culte, Culte (combien de fois faut-il le dire ?) ! Je ne vais pas faire mon hypocrite en n'osant pas le comparer à Alien (après tout, ce n'est pas de ma faute si les deux films sont comparables) : je préfère largement le parfait univers crée par Ridley Scott mais Predator reste un chef-d'œuvre et la créature éponyme est tellement approfondie que tout le monde la connait ( spoiler: au même titre le Xénomorphe, ce n'est pas juste un monstre : c'est aussi un redoutable prédateur capable de se rendre invisible, doté d'une intelligence possiblement supérieure à celle de l'homme et possédant une technologie hyper avancée
) ! Donc rien que pour le célèbre extra-terrestre, Predator est un des films de science-fiction de son époque ; cette affirmation peut être contredite mais il est incontestable que le long-métrage s'inscrit dans l'histoire du genre. Le scénario est réfléchi bien que prévisible ( spoiler: par exemple, j'avais des doutes dés le départ sur la sincérité de George Dillon, l'ami de Dutch Schaefer
) et un peu cliché ( spoiler: les soldats parlent de cul, sont impulsifs et imprévisibles, gâchent leurs minutions en tirant dans tout les sens, un d'eux est faux... le stéréotype du militaire bourrin américain
) mais étant donné que Predator date de 1987, donc l'époque de Grands films d'action tel que Rambo en 1982, je ne sais pas si on peu réellement dire qu'il y a des stéréotypes si on se place 26 ans en arrière. L'histoire de cette célèbre chasse à l'homme est hyper originale ; de plus, il y a un peu de suspens à certains moments. La bande originale est vraiment pas mal, spoiler: c'est un mélange de musiques d'action et de thèmes exotiques, l'exotisme étant logique puisque l'action se déroule dans la jungle au Guatemala
. Les acteurs sont supers ! Comme toujours, il n'y a rien a dire sur la prestation de l'excellent Arnold Schwarzenegger, celui qui incarné pour la première fois Terminator durant la même époque (années 1980) ! Carl Weathers, Elpidia Carrillo, Bill Duke, Jesse Ventura, Sonny Landham, Richard Chaves, Shane Black, Robert G. Armstrong et sans oublier Kevin Peter Hall... tous géniaux ! Malgré quelques longueurs, il y a pas mal d'action et pour la petite touche horrifique, spoiler: les pratiques du Predator font assez froid dans le dos
. La qualité photographique a par contre méchamment mal vieillie, en effet des films plus vieux avec un budget plus faible sont plus beaux visuellement que ce long-métrage mais Predator se rattrape sur ses décors qui je dirais sont à 95% (voire plus) naturel. Il y a aussi l'inoubliable design de la créature avec sa face repoussante, sont casque de métal et sont étrange costume. Une scène culte ? spoiler: La confrontation entre le personnage principal et l'extra-terrestre
! Personnellement, je trouve que c'est le meilleur de la saga ! En bilan, Predator mérite bien sa réputation de classique bien que le film ait pris un coup de vieux et que deux ou trois scènes sont assez ennuyantes car lentes ! IN-CON-TOUR-NABLE !

Film de mon enfance avec shwarzi !! et la sulfateuse. comme c'est bon !!

Film mythique des années 80. Survival en pleine jungle avec un redoutable prédateur extra terrestre, qui ose s'attaquer à une bande de soldats sur-musclés.
Tout y est dans ce film, de l'action, de l'horreur, du suspens, de la sicence fiction.J'ai regardé la dernière édition en blu-ray, le film a très bien vieilli, la restauration est magnifique.
"L'alien" est d'une grande réussite esthétique comme dirait Arnold " j'ai jamais vu un truc aussi laid"

Un film spectaculaire, bien filmé, au rythme parfait qui sait mettre son intrigue et ses personnages en place avant de les conduire dans l'enfer suffocant de la jungle
Un pur survival/chasse à l'homme qui a l'intelligence de faire la part belle à la tension et la "traque" (le Predator n'apparaissant que très peu à l'écran avant la scène finale), avec ce qu'il faut d'horreur/gore, sans trop en faire. Belles scènes de bravoure et fraternité, également

Un film "couillu" comme les années 80 savaient les faire, qui sent la testostérone entre deux répliques cultes. Culte, comme le film !

Bon fiiiiiiiilm ! C'est ce film qui a inventé le Predator ! C'est LE film de Schwarzy avec Terminator et Conan le Barbare ! C'est LE film d'extra-terrestres des années 80, avec The Thing !!!
Le film est une sorte de blockbuster, avec des gros flingues, une équipe de mercenaires sur-burnés et des grosses explosions dans tous les coins ! Le film ne demarre réélement qu'apres l'apparition du Predator, un alien chasseur super-equipé à la recherche de nouveaux defis arrivé sur Terre, un super-prédateur pour l'espece humaine, puissant, intelligent, sournois, implacable !
Le seul vrai reproche que l'on puisse faire au film est que les effets spéciaux de l'alien soient un petits peu kitsch pour notre époque (la vision infrarouge du Predator, les effets "mode invisible", les tirs laser,...), mais bon, c'etait les années 80, les sfx etaient moins bons qu'aujourd'hui, on va pas chipoter...
Bref, film culte à voir et à revoir !!!

Pour son second long-métrage, le brillant John McTiernan réalisait "Predator", un film grandement réussi qui alliait action, science-fiction et slasher. Cette œuvre fantastique phare des années 1980 transfigure un récit basique : Au Guatemala, le major Dutch arrive avec son équipe d'élite pour une opération visant à retrouver un ministre du cabinet présidentiel perdu avec son second à cause des forces de guérilla en Val Verde. Un vieux copain militaire, qui travaille maintenant pour la CIA, transmet les étapes et rejoint l'équipe, qui est insérée dans la jungle par hélicoptère. Mais lors des recherches, le groupe de mercenaires sera traqué et massacrée par une force extra-terrestre inconnue. Le scénario, est à la fois original, efficace et novateur, non sans rappeler l'oeuvre de Ridley Scott, "Alien le huitième passager". Fortement influencé par "Conan le Barbare" de John Milius qui proposait un héros bodybuildé et invincible, et où la violence graphique était innovante, Mc Tiernan nous livre un film des plus maîtrisé, oppressant et violent. En utilisant toutes les possibilités de l’espace, du hors-champ et du mouvement, la réalisation épouse de façon symbiotique la jungle filmée, le danger semble provenir de chaque recoin d’un lieu hautement hostile et oppressant. La mise sous tension du spectateur dans ce film est liée au fait de montrer un ennemi rôdant, invisible ; ce pari est réussi grâce à des mouvements de caméra fluide. L'action est au rendez-vous, les explosions et les fusillades plus réalistes que jamais grâce à des effets spéciaux terriblement efficaces. Comme dans tous les films de Stallone ou de Schwarzy, l'humour est décapant, les vannes fusent, et les punchlines sont nombreuses, on retiendra surtout celle lors de l'ultime face à face, "T'as pas une gueule de porte-bonheur". Le casting est plus que convaincant, Arnold Schwarzenegger déborde de charisme et campe avec brio le héros indestructible avec des cojones grosse comme des noix de coco. Sur un rythme trépidant, "Predator" est un survival haletant, l'un des films culte des 80's bourré à la testostérone.

Je m'attendais à de la testostérone, des explosions, une jungle, et j'ai eu ... De la testostérone, des explosions, de la jungle. Le début du film est plus sympa à regarder que la fin, particulièrement la scène de Schwarzenegger contre le Predator que j'ai trouvé moyenne. Je suis heureux d'avoir vu ce film culte pour beaucoup, mais pas sur que j'ai envie de le revoir de sitôt.