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Loskof
388 abonnés
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2,0
Publiée le 27 juillet 2015
Considéré comme culte, ce film a été loin de me faire le même effet que Piège de cristal,Terminator ou Alien par exemple. D'ailleurs le concept est bien plus proche d'Alien que des deux premiers cités, avec un ennemi invisible, qui se fait attendre pendant la moitié du film . Ici c'est d'ailleurs la seule bonne idée du film, l'attente du Predator. Sauf que cela ne suffit pas à cacher la misère du reste. Le fait est que je n'ai jamais été concerné par les enjeux du film (contrairement à Alien), car il n'y en a pas. On a juste des soldats bad ass qui enquête sur la disparition de leurs collègues, point ! Le predator est une créature isolée, arrivée sur terre "par hasard" et dont le seul but est de chasser, c'est un peu comme le méchant de film de super-héros dont la seule motivation est la vengeance = c'est léger. Le caractère des personnages n'est pas développé ou est inintéressant, leur sort ne nous concerne pas, ils sont manichéens au possible. Le tableau n'est pas déjà pas réjouissant mais cela se cumule avec une réalisation que j'ai trouvé hyper moche, rien ne retient l'attention, ça a mal vieilli, la jungle peine à nous faire ressentir de étouffement ou du danger, la photographie est juste passable. Reste quelques répliques cultes, les biceps de Schwarzi , la vision nocturne du predator, un film témoin de son époque, que l'on regarde quand même avec de la bienveillance, mais loin de ses grands frères cités au départ.
Un film culte qui vaut surtout pour son ambiance, et son duel final. Ce dernier a pour particularité de ne pas être une simple fusillade comme cela ce faisait beaucoup, mais d'être une partie de chasse stratégique contre un adversaire physiquement et technologiquement plus performant. Un très bon divertissement.
super film avec un shwarzeneger excellent a son habitude, seul petit reproche le predator est un peu trop ressemblant a un humain et les attaque pas aussi clair que dans le 2
L'un des meilleurs film de science-fiction du cinéma qui en fait d'ailleurs un film culte. La mise en scène est efficace et les scènes d'actions spectaculaires. Schwarzenegger colle parfaitement dans la peau de ce mercenaire guerrier invincible et les effets spéciaux sont remarquables. L'affrontement final est d'anthologie. Un gros film d'action.
Une chasse à l’homme à la fois intrigante et surprenante. John McTiernan a su rendre l’atmosphère de la traque mutuelle de prédateurs, tous aussi meurtriers les uns que les autres. Mais l’expansion du genre de science-fiction de l’époque a donné raison à McTiernan, qui s’est entaché d’un exploit remarquable, face à certains dérapages pittoresques. Grand exploit requiert grande figure, et Arnold Schwarzenegger confirme le principe comme a son abitude .avec des second roles comme carl wheaters et shane black qui sont plutot bon. Et c’est à budget réduit que le spectateur a de quoi être surpris. Le contenu est la preuve tangible du travail fourni. Ce film démontre l’apprentissage de l’évolution mentale en cas de danger mortel. Le concept basique de peur est écarté par la folie du scénario entreprenant. Une première redonnant espoir à une franchise de la science-fiction des années 80, à ne pas manquer.
un film que je vois et revois avec plaisir chaque fois qu'il passe à la Tv. un bon scénario, les effets spéciaux sont bons .Film culte , la saga Prédator est excellente .
premier et meilleur film de la saga Predator.l'originalité du film est que l'on ne sait pas qui attaque les commandos ultra entrainés.l'alien apparait tard dans le film.le predator est super bien fait.on croierait presque qu'il est réel.arnold s'en sort bien dans un role taillé sur mesure.a voir et revoir..
Jouant à fond la carte du croisement des genres, entre action pure et horror movie, Predator fait date en laissant une bande de gros bras mercenaires aux prises avec un alien invisible. De ce rapport de forces inversé, McTiernan parvient à tirer le meilleur dans son style coutumier, avec une mise en scène nerveuse et quelques répliques bien calibrées. Certes, ça commence à vieillir sérieusement voire à faire un peu kitsch sur les bords (le cinéma des années 80 est souvent confronté à ce phénomène), mais ça demeure redoutable d'efficacité et très divertissant.
Predator premier du nom: Un classique à voir. Au début du film, Predator pourrait s'apparenter à un expandables, mais non! Au début certes, ça explose de partout, y'a pas un allié qui meurt, mais après que l'équipe est libérée l'otage, c'est là que le film commence! Le predator, qui est un chasseur venu d'une autre galaxie et qui est invisible, vas tuer un par un les hommes de Dutch qui est campé à merveille par le bon vieux Schwarzi! Le rythme est diablement efficace et la scène de fin opposant Arnold et le Predator est Culte! Sans compter la réplique culte que Schwarzi nous lâche: -Toi, t'a pas une gueule de porte bonheur. Certes le scénario est simplet, une équipe de gros baraqués musclés et une créature venu d'une autre galaxie. Mais le film est diablement efficace, Predator va d'ailleurs avoir de nombreuses suites qui ne seront jamais à la hauteur du premier opus. C'est loin d'être un chef d'œuvre mais il mérite de rester dans les anales du cinéma.
Film d’action emblématique des années 1980, Predator c’est aussi de la science fiction pure et dure. Nommé à la 52ème place du prestigieux classement des meilleurs films de science fiction, Predator connaîtra un incroyable succès mais aussi se verra décuplé en plusieurs films, dont un reboot plus ou moins fidèle en 2010.
Maître dans les films d’action, le réalisateur de Die Hard, John McTiernan , offre à Predator une réalisation musclée et bourrée d’explosifs! D’ailleurs, Predator fait partie du classement des meilleurs film d’action de tout les temps.
Après une première demi-heure de mise en place de l’intrigue explosive, survient progressivement une tension graduelle à mesure que l’équipe s’amenuise. Et, après avoir exploser une partie de la forêt, les survivants apprennent à observer silencieusement la fameuse bête et là Predator prend la forme d’un slasher d’action divin et parfaitement réaliser.
Predator c’est aussi un Arnold Schwarznagger en héros badass aux répliques cultes à la façon de « s’il peut saigner, on peut le tuer ». Armé jusqu’aux dents, Dutch mènera avec le spectateur une chasse au monstre acharné mais surtout explosive!
Ne vous fiez pas à l’affiche douteuse de Predator ; le film n’a pas pris une ride et offre toujours son petit effet angoissant à son spectateur , notamment grâce à un Yautja (la fameuse bête) plus vrai que nature !
Predator est un très bon film. Avec un très bon Schwarzy dans le rôle-titre, il nous emmène au travers d'une chasse à l'homme terriblement efficace alliant scènes d'actions et de suspense. Une très bonne réalisation et une bonne utilisation de la caméra avec de très beaux plans. Il n'y a pas grand-chose à jeter sur ce film qui est un classique du genre. Même la musique qui en soit n'est pas extraordinaire colle parfaitement à la mise en place de l'ambiance. Ma note : 8/10 !
Dans la foulée d’Aliens, deuxième opus, qui préférait un carnage à l’arme lourde à l’angoisse d’un couloir silencieux, Predator permet à John McTierman de se faire un nom avant même ses Die hard, à Schwarzy d’accroître encore son expérience dans la SF d’action. Avec son équipe de bodybuildés, il prend part à une mission suicide qui l’entraine sur les traces d’un guerrier extraterrestre. Commando versus envahisseur, le pitch ne s’embarrasse pas des détails : on est dans l’efficacité brute, et brutale. Semi cyborg géant affublé de dreadlocks et d’une vue infrarouge, le serial massacreur est quasi invisible, pratiquement invincible ; mais il va bien falloir lutter pour survivre dans cette sinistre jungle. Si le film a vieilli, c’est moins par ses trucages globalement très corrects que dans l’overdose de testostérone qu’il impose. Muscles saillants tartinés de gadoue, canonnières pas avares en munitions diverses, vannes légères comme un pilier de comptoir, les testicules sont grosses dans ce parangon de la culture Reagan. Mais l’objet a son charme, si l’on peut dire, et à l’arrivée on ne voit pas l’heure quarante-cinq passer. Dès lors pourquoi se priver.
Un film culte des années 80 avec des scènes d'actions spectaculaires et de très bons effets spéciaux. Schwarzenegger fait du bon boulot, comme ses camarades. De bons dialogues et une très bonne b.o constitue également ce film, avec une twist final renversant et bien filmé.
LE survival mythique des années 80. Envoyé dans la jungle amazonienne afin de libérer des otages, un commando va être pris au piège par une menace inattendue. Plus bronzé et plus joyeux que dans Terminator, Schwarzie va devoir mettre les mains dans le cambouis pour sauver son groupe et sa peau. Sans concession, âpre et spectaculaire, la réalisation est au rendez vous incontestablement. La musique guerrière et tribale d'Allan Silvestri est un modèle de BO.
S’ouvrant sur un vaisseau extraterrestre lâchant quelque chose sur terre, « Predator » nous fait suivre un major qui, avec son équipe d’élite et un vieux pote militaire maintenant à la CIA, doit retrouver un ministre perdu dans une forêt équatorienne… Mais très vite ils vont être mis à mal par une force mystérieuse…
John McTiernan rentre assez vite dans le vif du sujet et place les militaires dans la jungle où ils seront peu à peu mis en échec par une créature aussi mystérieuse qu’intelligente et violente. Il met en place un suspense tenant de bout en bout, que ce soit sur les personnages, les péripéties ou la finalité. Mais surtout il fait preuve d'une brillante maîtrise derrière la caméra et créé une atmosphère oppressante, stressante et angoissante qui se fait de plus en plus forte tout le long du film.
Il commence comme un film de guerre testostérone avant d’entrer dans une partie « survivor » et surtout de nous offrir trente dernières minutes impressionnantes et spectaculaires où sa maîtrise est imparable. D’abord déconcertés et surtout impuissants, les militaires s’organisent peu à peu et tentent de faire face à quelque chose de puissant et d’inexplicables, provoquant la peur. C’est d’ailleurs par le biais de ce dernier que "Predator" est une telle réussite. McTiernan le montre peu mais à chaque fois, il provoque son petit effet et on à l'impression de nous retrouver nous-mêmes traquer dans cette jungle. Rapide, puissant, intelligent et capable d’être invisible, le réalisateur de Die Hard le dote d’une vision thermique et c’est de cette manière qu’il nous met parfois dans sa peau, traquant ses proies.
La reconstitution de la jungle est vraiment bien faite et McTiernan use à merveille de toutes ses possibilités et ses rouages pour en faire un lieu inhospitalier où chaque faux-pas entraîne la pire des conséquences. Il n’hésite pas à rajouter quelques petites touches d’humour à travers quelques punchlines savamment pensées dans la première partie du film (mais peu nombreuse et jamais lourde). Quant à Schwarzy, il trouve là un rôle taillé sur mesure.
Un film totalement maîtrisé et prenant de bout en bout qui exploite très bien une bonne idée de départ pour créer une vraie atmosphère oppressante et stressante avec un final de feu inoubliable.