AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,8
21637 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Predator ?
5
344 critiques
4
292 critiques
3
125 critiques
2
69 critiques
1
19 critiques
0
9 critiques
Trier par :
Filtrer par :
- Toutes les notes
-
-
-
-
-
-
🎬 RENGER 📼
Un commando des forces spéciales est engagé par la CIA pour sauver les survivants d’un crash d’hélicoptère en pleine jungle d’Amérique Centrale. Ce qui aurait dû être une opération de sauvetage de routine va en réalité virer au bain sang lorsqu’une fois sur place, le commando se retrouve seul face à une mystérieuse créature.
Juste avant le cultissime Piège de cristal (1988), John McTiernan réalisait un “actioner” sévèrement burné, avec un commando armé comme s’il se rendait sur le front prêt à défoncer le premier autochtone qui se mettra en travers de leur chemin (l’un d’entre eux est même équipé d’une mitrailleuse à plusieurs canons rotatifs qui nous offrira, lors d’une séquence, une hallucinante scène de déforestation). Le réalisateur sait pertinemment ce qu’il fait et il en joue.
A la vu du casting, on ne boude pas notre plaisir d’y retrouver Arnold Schwarzenegger (l’armoire n̷o̷r̷m̷a̷n̷d̷e̷ autrichienne) que le réalisateur dirigera à nouveau quelques années plus tard dans le mémorable Last Action Hero (1993). Avec à ses côtés, Carl Weathers (Rocky - 1976). D’ailleurs, la toute première scène où on les retrouve est le cliché ultime du film et clairement, on ne pouvait pas faire mieux.
Predator (1987) est particulièrement réussi et ce, du début à la fin. Pas une seule ombre au tableau, pas de baisse de tension et mieux encore, il n’a rien perdu de sa superbe près de 40 ans après sa sortie. Pas une seule ride alors qu’à l’époque, le film prenait des risques et aurait pu mal vieillir avec le temps (notamment à travers la vision thermique), mais il n’en est rien. Côté mise en scène, là aussi, on reste constamment pris dans le feu de l’action et la tension y est palpable, entre ces commandos suintant la testostérone et cette créature extraterrestre qui parvient à se fondre dans le décor. Sans le savoir, John McTiernan réalisait là un intemporel de la Sci-Fi, mêlant survival et actionner en pleine jungle, c’est tout simplement brillant !
(critique rédigée en 2007, actualisée en 2024)
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Juste avant le cultissime Piège de cristal (1988), John McTiernan réalisait un “actioner” sévèrement burné, avec un commando armé comme s’il se rendait sur le front prêt à défoncer le premier autochtone qui se mettra en travers de leur chemin (l’un d’entre eux est même équipé d’une mitrailleuse à plusieurs canons rotatifs qui nous offrira, lors d’une séquence, une hallucinante scène de déforestation). Le réalisateur sait pertinemment ce qu’il fait et il en joue.
A la vu du casting, on ne boude pas notre plaisir d’y retrouver Arnold Schwarzenegger (l’armoire n̷o̷r̷m̷a̷n̷d̷e̷ autrichienne) que le réalisateur dirigera à nouveau quelques années plus tard dans le mémorable Last Action Hero (1993). Avec à ses côtés, Carl Weathers (Rocky - 1976). D’ailleurs, la toute première scène où on les retrouve est le cliché ultime du film et clairement, on ne pouvait pas faire mieux.
Predator (1987) est particulièrement réussi et ce, du début à la fin. Pas une seule ombre au tableau, pas de baisse de tension et mieux encore, il n’a rien perdu de sa superbe près de 40 ans après sa sortie. Pas une seule ride alors qu’à l’époque, le film prenait des risques et aurait pu mal vieillir avec le temps (notamment à travers la vision thermique), mais il n’en est rien. Côté mise en scène, là aussi, on reste constamment pris dans le feu de l’action et la tension y est palpable, entre ces commandos suintant la testostérone et cette créature extraterrestre qui parvient à se fondre dans le décor. Sans le savoir, John McTiernan réalisait là un intemporel de la Sci-Fi, mêlant survival et actionner en pleine jungle, c’est tout simplement brillant !
(critique rédigée en 2007, actualisée en 2024)
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
FaRem
Un bon film un classique du genre avec un excellent schwarzy.
A la base de ce grand classique du survival de science-fiction, il y a une blague : celle de deux types qui verraient bien Rocky affronter un extra-terrestre après avoir vaincu Ivan Drago dans "Rocky IV". Des mois de préparation plus tard, c'est finalement Schwarzenegger qui décroche le premier rôle et qui mènera une bande de gros bras dans la jungle étouffante du Mexique pour sauver des otages. Mais cette mission de sauvetage finira en jeu de massacre, orchestré par le Predator, créature terrifiante qui aime chasser l'homme pour son plaisir et qui a débarqué sur Terre pour s'amuser un peu. Mine de rien, c'est la naissance d'un mythe, de l'une des créatures les plus flippantes du cinéma (avec l'alien évidemment) et dont le look conçu par Stan Winston n'a pas vieilli d'un poil. C'est aussi l'affirmation d'un metteur en scène, John McTiernan, juste avant le succès de "Piège de cristal" et qui maîtrise l'ambiance étouffante de la jungle comme un chef. Les décors sont oppressants, les saillies de violences brèves et gores et les idées de mise en scène concernant la vision subjective du Predator et son look que l'on découvre petit à petit sont de vraies réussites. Au-delà de la simplicité du scénario et de sa limpidité qui ne s'encombre guère avec des scènes en trop (c'est presque dommage d'ailleurs, on aurait aimé s'attarder dans cette jungle), voilà un film de genre savamment orchestré, bourré de muscles et dont l'équilibre repose sur le savoir-faire d'un scénario et d'une réalisation qui distillent les infos seulement quand c'est nécessaire. Un modèle du genre où l'aspect primitif finit par prendre le dessus dans un affrontement final inoubliable.
Le Predator premier du nom,demeure plus que jamais,une référence du film d'action primal,où crapahuter dans la jungle équatorienne à la recherche d'un monstre insaisissable,revient à jouer radicalement avec sa vie.John Mc Tiernan,alors au sommet de son art,livrait là un bijou de survival,dans un milieu absolument terrifiant:une jungle luxuriante,éprouvante pour les nerfs,hostile à qui ne la connait pas parfaitement.Le commando d'élite détaché dans cette zone,va comprendre sa douleur.Bien que surarmés,costauds,entraînés;les gradés vont un à un devoir baisser pavillon devant le fameux Preadator.Mc Tiernan a la grandeur d'esprit de ne pas montrer la bête pendant les 2 premiers tiers du films.La menace devient de plus en plus oppressante,et effrayante avec cette vue subjective en infrarouge.Dans le final,c'est autre chose,avec un affrontement purement bestial entre l'homme et la créature,génialement chorégraphié,et plus étonnant,psychologiquement abouti.L'image d'Arnold Schwarzenegger,traqué tel un animal,reste marquante.Quant au Predator,son style,dreadlocks,mandibules,armure de fer,gadgets destructeurs,et invisibilité,en faire une des créations les plus célèbres du cinéma.
Predator est un film d’action correct de John McTiernan. On retrouve bien la patte du célèbre réalisateur, devenu maitre dans les films d’actions. La mise en scène est irréprochable, les effets spéciaux le sont également pour l’époque et les acteurs comme Arnold Schwarzenegger, Carl Weathers ou encore Jesse Ventura sont passable dans leurs rôles. Bref, on passe un bon moment.
ferdinand75
Le premier opus d'une série, et le plus réussi. Une très bonne idée de scénario, avec cette recherche dans la jungle et la rencontre d'un prédateur Allien. Il y à la fois un film d'aventure classique dans la guerre contre les guerilleros, et puis la rencontre avec le fantastique avec l ' Allien. Bien sûr Swartzy est très bon et apporte tout son savoir-faire au film. La réalisation est très rythmée , très solide, et John Mac Tiernan , un spécialiste du film d'action met en scène avec brio et efficacité.
Ti Nou
Si il a très mal vieilli, ce film reste un agréable divertissement. Arnold Schwarzenegger y trouve un adversaire à sa mesure : une créature mythique qui restera gravée dans les mémoires encore un bon moment.
Xavi_de_Paris
Culte certes, mais il ne faut pas oublier les écueils de cette série B, qui a pris un léger coup de vieux quand même. Alors certes les moments de tension sont bien là, et le duel final est franchement bien fait. Mais qu'il s'agisse du niveau des dialogues ou des situations, ça ne vole pas très très haut. On retiendra surtout ce final épique et tendu.
Objectivons
Le scénario n'est pas bien gros mais est amélioré par des acteurs aussi musclés que l'action du film (notamment Arnold Schwarzenegger et Carl Weathers), par une intrigue de base originale pour l'époque, le charme des bons films des années 80, avec une excellente ambiance, une (véritable) chasse à l'homme, et des effets spéciaux encore à la hauteur aujourd'hui, qui soutiennent comme il faut des effets pyrotechniques comme on en voyait dans le cinéma avant que tous se fasse sur ordinateur.
Tout cela fait de Predator un classique du genre action/science-fiction/suspens/bourrin.
Tout cela fait de Predator un classique du genre action/science-fiction/suspens/bourrin.
ManoCornuta
Jouant à fond la carte du croisement des genres, entre action pure et horror movie, Predator fait date en laissant une bande de gros bras mercenaires aux prises avec un alien invisible. De ce rapport de forces inversé, McTiernan parvient à tirer le meilleur dans son style coutumier, avec une mise en scène nerveuse et quelques répliques bien calibrées. Certes, ça commence à vieillir sérieusement voire à faire un peu kitsch sur les bords (le cinéma des années 80 est souvent confronté à ce phénomène), mais ça demeure redoutable d'efficacité et très divertissant.
Predator est un film de science-fiction / action pas mal du tout.
Les scènes d'action sont très bien réalisées, très intenses, le climax final est nickel et nous en met plein la vue.
Le reste du film est plutôt bien réalisé et la présence constante mais invisible du Predator est assez inquiétante.
Le film a tout de même pris un sacré coup de vieux sur le plan des effets spéciaux, notamment pour le camouflage invisible du Predator et la vision thermique de son casque qui ont aujourd'hui un très mauvais rendu visuel.
Arnold Schwarzenegger porte très bien le film. Il est parfaitement à son aise dans le registre action.
J'ai trouvé ce film très divertissant.
Les scènes d'action sont très bien réalisées, très intenses, le climax final est nickel et nous en met plein la vue.
Le reste du film est plutôt bien réalisé et la présence constante mais invisible du Predator est assez inquiétante.
Le film a tout de même pris un sacré coup de vieux sur le plan des effets spéciaux, notamment pour le camouflage invisible du Predator et la vision thermique de son casque qui ont aujourd'hui un très mauvais rendu visuel.
Arnold Schwarzenegger porte très bien le film. Il est parfaitement à son aise dans le registre action.
J'ai trouvé ce film très divertissant.
Dans mon cycle John McTiernan, cette fois, je me replonge dans le film qui l’a fait connaître et son premier blockbuster : « Predator ». Le film vaut par son ambiance, son casting – il a de la gueule ce commando ! – et ses décors naturels : on s’y croirait ! Je suis désormais prêt à voir le remake sorti en 2018 même s’il n’a pas bonne presse…
Alexarod
Après avoir vu Predators, les 4 Aliens, et les Aliens versus Predator il me fallait l'original, LE Predator avec Schwarzy période Conan 2 (enfin 3 ans après). Voilà qui est fait, en attendant la suite (immuable).
Bon ben faut avouer que ça se laisse regarder, on voit que c'est le début du genre survival mais ça reste de bonne facture.
Déjà j'ai bien aimé que Tiernan assume le genre de son film, tant qu'à faire il nous a mit Appolo Creed comme pote aux gros bras d'Arnold, puis il a brodé des personnalités différentes autour, sympa, comme les dialogues ("t'as pas une gueule de porte bonheur" bien sur). Les flingues sont pas futuristes et le scénario pas trop tiré par les cheveux. Après la trame par contre est classique, puis par la suite on respecte les codes du survival mais ça passe. La musique est pas top, les FX plutôt bons pour l'époque (mention très bien pour le costume de Predator d'ailleurs), le décor de jungle un peu trop sauvage va encore et la fin est devinable aisément, même si elle se termine abruptement.
Par contre le jeu d'acteur on n'en parle pas hein ? Disons que ça va pour ce que c'est, les bastons passons sur le fait qu'on les voit pas toutes, heureusement que le Predator est invisible car ça explique pourquoi on le voit si peu, la baston finale est bien, mais trop longue, de toutes façons le film comprend beaucoup de longueurs, il pourrait faire une heure sans que ça pose problème et le rythme y gagnerait en stabilité. Bon petit film d'action, cherchant surement à concurrencer un Rambo, se laisse voir mais sans "à revoir", de là à en faire un film culte faut pas pousser.
PS : Schwarzy c'est mieux jeune quand même, limite pas moche parait-il.
Bon ben faut avouer que ça se laisse regarder, on voit que c'est le début du genre survival mais ça reste de bonne facture.
Déjà j'ai bien aimé que Tiernan assume le genre de son film, tant qu'à faire il nous a mit Appolo Creed comme pote aux gros bras d'Arnold, puis il a brodé des personnalités différentes autour, sympa, comme les dialogues ("t'as pas une gueule de porte bonheur" bien sur). Les flingues sont pas futuristes et le scénario pas trop tiré par les cheveux. Après la trame par contre est classique, puis par la suite on respecte les codes du survival mais ça passe. La musique est pas top, les FX plutôt bons pour l'époque (mention très bien pour le costume de Predator d'ailleurs), le décor de jungle un peu trop sauvage va encore et la fin est devinable aisément, même si elle se termine abruptement.
Par contre le jeu d'acteur on n'en parle pas hein ? Disons que ça va pour ce que c'est, les bastons passons sur le fait qu'on les voit pas toutes, heureusement que le Predator est invisible car ça explique pourquoi on le voit si peu, la baston finale est bien, mais trop longue, de toutes façons le film comprend beaucoup de longueurs, il pourrait faire une heure sans que ça pose problème et le rythme y gagnerait en stabilité. Bon petit film d'action, cherchant surement à concurrencer un Rambo, se laisse voir mais sans "à revoir", de là à en faire un film culte faut pas pousser.
PS : Schwarzy c'est mieux jeune quand même, limite pas moche parait-il.
Vu à sa sortie et depuis silence radio !
Près de quarante ans après, je me décide d’aller refaire un tour dans une jungle de l’Amérique centrale pour saluer ce monstre invisible nommé Predator.
Je m’étais fait la réflexion suivante : comme son aîné « Alien », le film de John McTiernan a su mêler habilement deux genres : Science-Fiction et Horreur. Voire même trois : un film d’atmosphère… comme « Alien ».
Oui, comme « Alien », s’installe une ambiance petit à petit pesante. Tout est habilement fait pour que le spectateur ressente une certaine tension. Et ça fonctionne.
Enfin, se présente ce E.T féroce aux antipodes de celui de Spielberg.
Et franchement, je me rappelle avoir été bouche bée par l’effet spécial. « Quelle trouvaille !» m’étais-je écrié ; une invisibilité qui se confond sur le décor, en l’occurrence sur la végétation de cette jungle tropicale. Une invisibilité anxiogène qui se matérialise pour révéler l’identité de cet extra-terrestre puissant et impitoyable.
Schwarzy et ses hommes sont tantôt proies et chasseurs d’un prédateur hors norme.
On ne sait rien de lui, le pourquoi de sa présence sur Terre et pourquoi cette violence en lui.
Et c’est tant mieux.
Sincèrement, j’ai du mal à saisir son côté écolo. Je lis ici ou là que Predator est venu sur Terre pour se farcir des humains responsables de maltraiter leur planète.
Je préfère ce que je ressens : un extra-terrestre pur et dur qui se comporte comme n’importe quel prédateur ; il chasse sans état d’âme, pour se farcir de l’humain et pour collectionner des crânes !
Certes, à l’époque, je ne lisais pas tout, mais je ne me souviens pas que la dimension écologique était évoquée.
Justement, en parlant de critiques, je me souviens de celle-ci qui m’avait marqué :
« Arnold Schwarzenegger a laissé son humour en Californie ».
Je n’ai pas trouvé. L’humour diffusé par Schwarzy passe par son comportement. J’ose même ajouter en le revoyant : voilà un premier grand rôle interprété avec subtilité par Arnold Schwarzenegger !
D’aucuns diront aujourd’hui que ce « Predator » a fini par devenir culte en raison des trois suivants qui seront décevants.
Près de quarante ans après, je me décide d’aller refaire un tour dans une jungle de l’Amérique centrale pour saluer ce monstre invisible nommé Predator.
Je m’étais fait la réflexion suivante : comme son aîné « Alien », le film de John McTiernan a su mêler habilement deux genres : Science-Fiction et Horreur. Voire même trois : un film d’atmosphère… comme « Alien ».
Oui, comme « Alien », s’installe une ambiance petit à petit pesante. Tout est habilement fait pour que le spectateur ressente une certaine tension. Et ça fonctionne.
Enfin, se présente ce E.T féroce aux antipodes de celui de Spielberg.
Et franchement, je me rappelle avoir été bouche bée par l’effet spécial. « Quelle trouvaille !» m’étais-je écrié ; une invisibilité qui se confond sur le décor, en l’occurrence sur la végétation de cette jungle tropicale. Une invisibilité anxiogène qui se matérialise pour révéler l’identité de cet extra-terrestre puissant et impitoyable.
Schwarzy et ses hommes sont tantôt proies et chasseurs d’un prédateur hors norme.
On ne sait rien de lui, le pourquoi de sa présence sur Terre et pourquoi cette violence en lui.
Et c’est tant mieux.
Sincèrement, j’ai du mal à saisir son côté écolo. Je lis ici ou là que Predator est venu sur Terre pour se farcir des humains responsables de maltraiter leur planète.
Je préfère ce que je ressens : un extra-terrestre pur et dur qui se comporte comme n’importe quel prédateur ; il chasse sans état d’âme, pour se farcir de l’humain et pour collectionner des crânes !
Certes, à l’époque, je ne lisais pas tout, mais je ne me souviens pas que la dimension écologique était évoquée.
Justement, en parlant de critiques, je me souviens de celle-ci qui m’avait marqué :
« Arnold Schwarzenegger a laissé son humour en Californie ».
Je n’ai pas trouvé. L’humour diffusé par Schwarzy passe par son comportement. J’ose même ajouter en le revoyant : voilà un premier grand rôle interprété avec subtilité par Arnold Schwarzenegger !
D’aucuns diront aujourd’hui que ce « Predator » a fini par devenir culte en raison des trois suivants qui seront décevants.
Œuvre devenue culte, Predator est toujours aussi divertissant. Commençant comme un film d'action on ne peut plus classique – ça tire et explose dans tous les sens ; Arnold Schwarzenegger exhibe ses beaux muscles – le long-métrage évolue vers le fantastique, et c'est non sans joie que l'on retrouve la figure monstrueusement méchante qui donne son titre au film, avec ses fameux dreadlocks. Sympathique.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse