Mon compte
    Predator
    Note moyenne
    3,8
    21519 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Predator ?

    858 critiques spectateurs

    5
    344 critiques
    4
    292 critiques
    3
    125 critiques
    2
    69 critiques
    1
    19 critiques
    0
    9 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    L'homme le plus classe du monde
    L'homme le plus classe du monde

    325 abonnés 450 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 mai 2013
    YEAAAAH ! Des muscles saillants, des amitiés viriles et schwarzy qui tire sur des fougères à la sulfateuse ! A l'instar d'Alien, Predator met en scène une créature chasseuse d'humain et quasi-invisible, mais en ne s’encombrant pas de la peur psychologique que pouvait susciter le film de Ridley Scott. Ici le parti pris est de faire un film bourrin, badass et aux personnages stéréotypés à l’extrême (l'indien en communion avec la nature, le binoclard juste là pour se faire massacrer, et le héros surpuissant qui transperce des arbres avec un arc). Predator est un Alien filmé comme un Rambo II. C'est pas très intelligent, mais sa vide la tête.
    FeetLover
    FeetLover

    29 abonnés 289 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 août 2013
    Du grand art sur toute la ligne : pas de fond vert, pas de studio, que du réél les amis ! c'est ça le vrai cinéma ! on ne jouait pas en ce temps la ! le film est une claque monumentale, l'histoire, la créature, tout est au top, un classique, indémodable, et qui ne prend pas une ride !
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    193 abonnés 2 507 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 novembre 2016
    Predator est un film de science-fiction / action pas mal du tout.
    Les scènes d'action sont très bien réalisées, très intenses, le climax final est nickel et nous en met plein la vue.
    Le reste du film est plutôt bien réalisé et la présence constante mais invisible du Predator est assez inquiétante.
    Le film a tout de même pris un sacré coup de vieux sur le plan des effets spéciaux, notamment pour le camouflage invisible du Predator et la vision thermique de son casque qui ont aujourd'hui un très mauvais rendu visuel.
    Arnold Schwarzenegger porte très bien le film. Il est parfaitement à son aise dans le registre action.
    J'ai trouvé ce film très divertissant.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 388 abonnés 4 426 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 juillet 2013
    Que l’on aime ou non les films de monstres, il est difficile de dire que Predator ne figure pas dans le haut du panier du genre. Même aujourd’hui il reste une référence.
    Niveau interprétation c’est du solide. Bien sur il y a Schwarzenegger dans l’un de ses meilleurs rôles, lequel interprète un soldat d’élite avec une crédibilité de chaque instant. Cela aurait pu être hautement ridicule de le voir préparer tout ses petits pièges à la fin, style Maman j’ai raté l’avion, mais non, il met une telle conviction et un tel engagement qu’on ne peut qu’y croire. A ses cotés ce n’est évidemment pas mal non plus, en particulier Carl Weathers, acteur de talent qui n’a pas, à mon sens, eu la carrière qu’il méritait. Pour le reste c’est non moins convaincant, même si globalement les personnages n’ont pas un grand relief, et Elpidia Carrillo, dans le seul rôle féminin est un peu trop discrète. Il aurait fallu qu’elle s’impose davantage lors de ses apparitions.
    Le scénario est lui aussi tout à fait convaincant. Il s’agit d’un survival référence. Il est dynamique, il y a de l’intensité du début à la fin, des rebondissements, une gradation parfaite qui culmine lors d’un final explosif. L’idée de base était assez originale à l’époque, mais elle est surtout exploitée à la perfection, et il était difficile de faire mieux. Par ailleurs on notera l’intelligence du scénario de rester sur une tendance vraiment sérieuse, et de ne pas se disperser, comme c’est trop souvent le cas, avec un second degré d’un effet généralement pas terrible dans ce genre de production.
    Sur la forme, avec un budget de 15 millions McTiernan livre un spectacle excellent. Sa mise en scène est d’une efficacité redoutable. Il s’impose vraiment comme un réalisateur d’action de premier plan, avec notamment l’attaque des trafiquants au début enthousiasmante, et une traque ensuite filmer d’une manière impressionnante. La photographie n’a pas vraiment vieillie. La vue subjective du Predator n’est pas très claire mais elle a été utilisée à bon escient et ne gêne jamais la lecture de l’action. La photographie sert parfaitement les décors de jungle qui eux sont d’une crédibilité à toute épreuve. On voit bien que le film n’a pas été tourné au parc botanique du coin, et même si cet « enfer vert » n’est pas aussi intense que dans quelques films de cannibales italiens ou les réalisations d’Herzog et de Boorman, néanmoins ca en jette. A noter des effets spéciaux qui eux par contre paraissent maintenant un peu approximatifs (mais enfin le film n’est plus tout jeune), mais un design de monstre excellent et quelques scènes violentes tout à fait réalistes. La découverte des cadavres au début reste tout de même un grand moment de cinéma d’horreur. La bande son est non moins parfaite, signée d’une pointure en la personne d’Alan Sylvestri.
    En somme Predator, premier du nom, est un must qui montre qu’avec un budget somme toute modérée, il est possible de créer un grand film de SF. Le film a tout de même imposé son réalisateur, son acteur principal, sa créature, et consacré un genre à lui tout seul, franchement si ce n’est pas là un gage de qualité ! Il mérite 5, pas moins, en dépit de toutes petites anicroches, notamment sur le jeu de Carrillo.
    damien t.
    damien t.

    23 abonnés 203 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 octobre 2013
    John McTiernan met en scène avec brio un affrontement titanesque entre Arnold Schwarzenegger et la plus terrifiante des créatures extraterrestres. Un film culte, angoissant et terrifiant. Une référence incontournable du cinéma fantastique.
    Anthony Stark
    Anthony Stark

    63 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 février 2015
    Predator premier du nom: Un classique à voir.
    Au début du film, Predator pourrait s'apparenter à un expandables, mais non! Au début certes, ça explose de partout, y'a pas un allié qui meurt, mais après que l'équipe est libérée l'otage, c'est là que le film commence! Le predator, qui est un chasseur venu d'une autre galaxie et qui est invisible, vas tuer un par un les hommes de Dutch qui est campé à merveille par le bon vieux Schwarzi! Le rythme est diablement efficace et la scène de fin opposant Arnold et le Predator est Culte! Sans compter la réplique culte que Schwarzi nous lâche:
    -Toi, t'a pas une gueule de porte bonheur.
    Certes le scénario est simplet, une équipe de gros baraqués musclés et une créature venu d'une autre galaxie. Mais le film est diablement efficace, Predator va d'ailleurs avoir de nombreuses suites qui ne seront jamais à la hauteur du premier opus.
    C'est loin d'être un chef d'œuvre mais il mérite de rester dans les anales du cinéma.
    Loskof
    Loskof

    388 abonnés 688 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 juillet 2015
    Considéré comme culte, ce film a été loin de me faire le même effet que Piège de cristal,Terminator ou Alien par exemple. D'ailleurs le concept est bien plus proche d'Alien que des deux premiers cités, avec un ennemi invisible, qui se fait attendre pendant la moitié du film . Ici c'est d'ailleurs la seule bonne idée du film, l'attente du Predator. Sauf que cela ne suffit pas à cacher la misère du reste. Le fait est que je n'ai jamais été concerné par les enjeux du film (contrairement à Alien), car il n'y en a pas. On a juste des soldats bad ass qui enquête sur la disparition de leurs collègues, point ! Le predator est une créature isolée, arrivée sur terre "par hasard" et dont le seul but est de chasser, c'est un peu comme le méchant de film de super-héros dont la seule motivation est la vengeance = c'est léger. Le caractère des personnages n'est pas développé ou est inintéressant, leur sort ne nous concerne pas, ils sont manichéens au possible. Le tableau n'est pas déjà pas réjouissant mais cela se cumule avec une réalisation que j'ai trouvé hyper moche, rien ne retient l'attention, ça a mal vieilli, la jungle peine à nous faire ressentir de étouffement ou du danger, la photographie est juste passable. Reste quelques répliques cultes, les biceps de Schwarzi , la vision nocturne du predator, un film témoin de son époque, que l'on regarde quand même avec de la bienveillance, mais loin de ses grands frères cités au départ.
    GyzmoCA
    GyzmoCA

    175 abonnés 1 748 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 janvier 2019
    Predator fait partie sans aucun doute des meilleurs films d Arnold Schwarzenegger . Et John Mc Tierman (piège de cristal) n y est pas étranger . Stars des années 80, Adepte des films dopés à la testostérone, Swarzy participe en 1987 à un film de qualité présentant une expédition de sauvetage dans la jungle. Les dialogues sont pas très évolués et le jeu d acteurs un peu stéréotypés.
    Le film se découpe en deux parties bien distinctes : une opération militaire dans la jungle et une chasse à l homme inverse avec une créature extraterrestre aux capacités supérieures à l humain . Le premier Predator est un film culte de science fiction dans la lignée des alien et dépasse largement ses suites :
    La technique infra rouge pour la vision de l alien et celle de son camouflage reste des inventions qui ont fait date dans le cinéma donnant un statut de film culte à predator .
    La traque finale quand le rapport s’inverse et que le traqueur devient le traqué est superbement réalisée et donne la vraie dimension du film.
    dougray
    dougray

    237 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2012
    Grand classique des années 80, "Predator" m’a longtemps laissé dubitatif. Comment un film de mercenaires se faisant étriper par un extra-terrestre belliqueux dans une jungle pouvait-il bénéficier d’un tel prestige, y compris auprès des critiques ? La réponse tient en un nom : John McTiernan. Car, il ne faut pas s’y tromper : sans le réalisateur aux commandes du projet, "Predator" n’aurait pu prétendre qu’au statut d’efficace série B (comme John Carpenter ou Wes Craven). Mais, McTiernan a su transcender son sujet en poussant la mise en scène à son paroxysme, tout en se ménageant une vraie réflexion sur la nature humaine (le retour de l’Homme à l’état de Bête en situation critique). Sur ce dernier point, je reste persuadé que le film est largement surestimé car, s’il est vrai que McTiernan a réellement soigné l’aspect métaphorique (les mercenaires qui passent du statut de chasseur à celui de proie, l’utilité des armes à feux réduite à néant face au monstre, le Predator abandonnant son arsenal comme marque de respect à son adversaire…), il n’a pas non plus articuler toute son intrigue autour de cette réflexion. Car Predator, c’est avant tout un énorme survival mené tambour battant (montage efficace, mouvement de caméras fluide, BO signée Alan Silvestri omniprésente…) doublé d’une ode à la virilité chargée en testostérones (l’inoubliable bras de fer entre Dutch et Dillon, la galerie de mercenaires sévèrement burnés, l’humour beauf magnifié…). On ne compte d’ailleurs plus les séquences explosives mais jamais anecdotiques (l’assaut du camp, la forêt réduite en cendres, l’époustouflant final entre Dutch et le Predator…) et les dialogues hardboiled ("Pourquoi faire appel à nous ? - Parce qu’il y a un connard qui prétend que t’es le meilleur", "Dillon ! Sale petit enfant d'putain !", "Cette saloperie s'est cachée là dedans comme un morpion au cul". "T'as pas une gueule de porte-bonheur"…). Quant au casting, il fait la part belle aux vraies gueules de cinéma avec un Arnold Schwarzenegger, cigare vissé au bec, qui prouve qu’il est bien plus qu’un Monsieur Muscles grâce à un charisme épatant, un Carl Weathers bien loin de son rôle d’Appolo Creed, le méconnu Sonny Landhman en mercenaire mystique, Jesse Ventura en sympathique artilleur ou encore Shane Black en comique de service (et plus connu pour être le scénariste de petits bijoux d’action comme "L’Arme Fatale" ou "Le dernier Samaritain"). Mais le principal tour de force de "Predator" est d’avoir osé le mélange des genres (pas évident d’introduire un alien dans un film de mercenaires) et d’avoir imposé son monstre comme l’une des icônes du cinéma fantastique. Il faut dire que le look du Predator, avec sa tronche invraisemblable, ses rastas, son système de camouflage et son arsenal high-tech, avait de quoi faire saliver lors de sa sortie en 1987. Le mystère autour de sa personne est également pour beaucoup dans la réussite du film et explique pourquoi ses successeurs n’ont jamais réussi à reproduire l’effet de surprise de sa première apparition. On pourra regretter que les effets spéciaux aient un peu vieilli (les apparitions camouflées du Predator manquent cruellement du fluidité) mais, au final, "Predator" n’a pas usurpé sa flatteuse réputation et restera l’un des meilleurs films d’action des années 80.
     Kurosawa
    Kurosawa

    581 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 avril 2017
    Attention, cette critique dévoile des éléments importants du film.
    "Hunter", c'est le titre original du script du film de John McTiernan, titre judicieux puisque c'est bien de chasse dont il est question ici. Cette idée de ne pas pouvoir se retrancher derrière un sombre message politique ou moral est d'ailleurs bien la plus effrayante car il ne s'agit que d'hommes traqués et tués les uns après les autres par un prédateur envoyé sur Terre uniquement pour cela. C'est le seul programme du film : la chasse est ouverte, et elle sera sauvage. À la chasse, il y a forcément un chasseur et un chassé, et le rapport de force, longtemps favorable à la créature, tient essentiellement à une question de vue et de regard. La différence de perception entre le Predator et le commando d'élite tient d'une part à un avantage pour le premier, qui ne peut être vu grâce à sa capacité caméléonesque, et d'autre part à une opposition très nette marquée par la mise en scène, qui représente le regard du monstre par un changement de régime d'image, soit l'utilisation de la caméra thermique. Anna ne ment donc pas quand elle explique que c'est la jungle qui a emmené Hawkins, incapable de décrire autrement "l’apparition" d’une force invisible, de même que Billy sent avant ses équipiers cette présence hostile, même si son sixième sens n’est en rien déterminant. Voir et ne pas être vu sont les facteurs essentiels de cette lutte acharnée, liés à un autre élément fondamental qu'est la ruse. Quand Dillon et Mac, cachés, aperçoivent leur bourreau en haut d’un arbre, ils établissent une stratégie pour le piéger alors qu’ils ne se demandent même pas pourquoi ils sont en mesure de le voir : au moment où ils comprennent que la bête le leur a permis, il est déjà trop tard. Tout n’est donc pas affaire de force, malgré la puissance physique et militaire à l’œuvre, mais également de ruse et de chance ; car ce qui permet à Dutch d’échapper au massacre, c’est le hasard d’être couvert de boue et ainsi de devenir l’alter ego du chasseur. Lui aussi invisible et se déplaçant d’arbre en arbre, il a dû s’adapter au Predator pour également devenir la jungle. Incapable de comprendre pourquoi le leader de cette équipe de sauvetage lui résiste, l’extraterrestre examine son visage de la même façon qu’il tient entre ses mains les crânes de ses précédentes victimes, un moment fascinant qui problématise le rapport à l’altérité dans le sens où l’autre est différent – ce n’est pas la même espèce – et en même temps pareil puisque lui aussi est parvenu, par d’autres moyens, à prendre la mesure de son environnement et de son adversaire. Enfin, les dernières minutes abolissent la relation chasseur-proie pour se recentrer autour d’un bras de fer mental, lequel fait écho au bras de fer physique entre Dutch et Dillon lors de leurs retrouvailles. Grand film sur le regard, sur la prédation et sur l’altérité, "Predator" est un chef-d’œuvre !
    selenie
    selenie

    6 206 abonnés 6 177 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juin 2022
    La filiation du monstre avec "Alien le Huitième Passager" (1979) de Ridley Scott est assez nette, un monstre prédateur qui n'est plus dans un vaisseau mais une jungle, l'équipe d'ouvriers et de techniciens est ici composée de soldats aguerris. La dimension du thriller horrifique laisse place à un film de guerre façon survival fantastique. Si le film SF de Ridley Scott est intemporel et reste une claque encore aujourd'hui il faut avouer que ce film est très siglé eighties avec des clichés et/ou effets modes qu'il faut accepter pour son côté nostalgique ou kitsh pour pouvoir apprécier à fond ce film dont l'efficacité reste redoutable à l'instar du Predator. Les effets spéciaux sont utilisés de façon judicieuse, si la vision "infra-rouge" du Predator a mal vieilli on reste bluffé par le travail de Stan Winston sur la physionomie de l'alien. Au final John McTiernan signe sans doute le meilleur film du genre, auquel il ne manque qu'une vision plus moderne pour traverser les années sans encombre. À voir et à revoir.
    Site : Selenie
    Marceau G.
    Marceau G.

    387 abonnés 365 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 juin 2014
    Arnold Schwarzenegger/John McTiernan : la dream team en matière d'action, pour un film indigeste. La mise en scène de ce-dernier est moche, et les dialogues sont creux, bien qu'on ai droit à quelques "punchlines" Bad-Ass : "T'a jamais rien su crâne de puce !", ou la plus connue "t'a pas une gueule de porte-bonheur !". Les acteurs quant à eux, sont nullissimes, à part peut-être Schwarzie qui nous livre son numéro habituel. La bande-son de Silvestri semble déjà-vue (ou plutôt déjà-entendue) et est répétitive. Tant de chose qui font de "Predator" un film passablement ennuyeux. Seul le face-à-face entre Schwarzie et la créature vaut à peu près le coup d'œil !
    legend13
    legend13

    245 abonnés 1 054 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 janvier 2009
    Un gros film bourrin et stressant.A voir.
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    153 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 avril 2018
    Les vieux succès ont un charme particulier, Les années les rendent agréables et Predator n'a pas trop mal vieilli. Un bon Schwarzy étayé par un bon scénario et une idée de départ originale. Un relation fine, si l'on peut dire, entre le prédateur et sa proie.
    Roger Cola
    Roger Cola

    32 abonnés 96 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 octobre 2016
    Un an avant Piège de Cristal, le célèbre John McTiernan signait le génial Predator. Mélange de film d'action et de suspens, la recette de l'extra-terrestre venant de l'au-delà pour nous tuer n'est pas sans rappeler Alien. Sauf qu'ici, pas de couloirs étroits dans un vaisseau spatial gigantesque mais une jungle qui n'en est pas moins oppressante (le Predator peut surgir de n'importe où). L'idée de prendre des acteurs "badass" et de les mettre en grande difficulté fait mouche, ce qui renforce le sentiment d'insécurité (si même Schwarzy fuit, c'est qu'on est bien dans la m*rde). Ajoutez à cela des effets spéciaux encore satisfaisants aujourd'hui, le design du Predator absolument somptueux et ce qui se fait de mieux en action 80's pur jus ("Get to da Choppa" est désormais ma sonnerie de téléphone) et vous avez là un classique du cinéma du genre, permettant à McTiernan de s'imposer comme une référence en matière de film d'action.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top