Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
(...) Zeno est un film fort, poignant, qui trouble par sa capacité à faire surgir d'une façade très lisse une émotion sourde et contenue.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Zeno fait partie de ces films faussement mineurs qui laissent une trace d'autant plus puissante que leurs effets fonctionnent comme à rebours, faisant mine d'effleurer le gouffre, de ne jamais le toucher, pour mieux se laisser complètement happer par lui.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) ce film est une petite perle.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
(...) le film (...) est une surprise car on n'y retrouve pas l'humour et la finesse qui ont fait tout le prix de ce chef-d'oeuvre. (...) Cela n'empêche pas ce film d'avoir ses qualités (...).
Le Monde
par Thomas Sotinel
Les atermoiements de Zeno (Fabrizio Rongione, dont on sent qu'il pourrait à la demande éclairer son personnage d'un peu d'ironie) piégé par la beauté d'Ada (Chiara Mastroianni), semblent toujours sur le point de se cristalliser en un moment de cinéma qui ne survient jamais. Mais, comme cela se produit parfois avec les films ratés qui assemblent bonnes intentions et talents réels sous l'égide d'une idée directrice radicalement fausse, Zeno laisse une impression durable, faite d'amertume et de regrets.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Cette destinée sentimentale est un peu terne, malgré le talent de son comédien principal Fabrizio Rongione et la présence lumineuse de Chiara Mastroianni, qui s'ouvre comme une fleur avec le temps, gagnant en beauté et en intensité. Sa silhouette longiligne, qui va de longs cheveux à de longues jupes, crée un des beaux moments de ce film, que l'on oublie malheureusement assez vite.
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
(...) une fresque assez insipide sur les tourments existentiels d'un bourgeois casse-bonbons sauvé par l'interprétation de son interprète, Fabrizio Rongione (...).
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
Le film recèle de belles plages ténébreuses, sans parole, et des visages captivants (...). Les dialogues, en revanche, ne peuvent que banaliser la tragédie de Zeno (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Véronique Le Bris
En choisissant de s'inspirer de deux chapitres seulement, Francesca Comencini limite les risques. Si l'ambiance obscure et les méandres psychologiques d'un homme en quête de père sont bien mis en valeur, Fabrizio Rongione, déjà vu dans Rosetta, reste en deçà de son rôle.
Aden
par Philippe Piazzo
A l'arrivée, quelques chapitres sortis de leur contexte, "La Mort de mon père" et "Histoire de mon mariage", platement illustrés, sans chair ni âme, ne laissant affleurer que d'agaçantes névroses dont on est bien en peine de dire ce qu'elles nous racontent. Mieux vaut se précipiter dans la première librairie venue.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Humanité
par Vincent Ostria
Adapté d'un grand classique de la littérature italienne, la Conscience de Zeno d'Italo Svevo, une manière de Proust transalpin, ce film sur les amours d'un jeune homme velléitaire paralysé par le souvenir de son père, reste assez inconsistant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
On reste dans l'effleurement et une mise en surface sur laquelle attention et émotion glissent rapidement.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Mathieu Carratier
On regrette aussi l'absence d'un personnage central fort. Zeno subit, agace et, au final, indiffère.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
(...) Zeno est un film fort, poignant, qui trouble par sa capacité à faire surgir d'une façade très lisse une émotion sourde et contenue.
Chronic'art.com
Zeno fait partie de ces films faussement mineurs qui laissent une trace d'autant plus puissante que leurs effets fonctionnent comme à rebours, faisant mine d'effleurer le gouffre, de ne jamais le toucher, pour mieux se laisser complètement happer par lui.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
(...) ce film est une petite perle.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
(...) le film (...) est une surprise car on n'y retrouve pas l'humour et la finesse qui ont fait tout le prix de ce chef-d'oeuvre. (...) Cela n'empêche pas ce film d'avoir ses qualités (...).
Le Monde
Les atermoiements de Zeno (Fabrizio Rongione, dont on sent qu'il pourrait à la demande éclairer son personnage d'un peu d'ironie) piégé par la beauté d'Ada (Chiara Mastroianni), semblent toujours sur le point de se cristalliser en un moment de cinéma qui ne survient jamais. Mais, comme cela se produit parfois avec les films ratés qui assemblent bonnes intentions et talents réels sous l'égide d'une idée directrice radicalement fausse, Zeno laisse une impression durable, faite d'amertume et de regrets.
MCinéma.com
Cette destinée sentimentale est un peu terne, malgré le talent de son comédien principal Fabrizio Rongione et la présence lumineuse de Chiara Mastroianni, qui s'ouvre comme une fleur avec le temps, gagnant en beauté et en intensité. Sa silhouette longiligne, qui va de longs cheveux à de longues jupes, crée un des beaux moments de ce film, que l'on oublie malheureusement assez vite.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
(...) une fresque assez insipide sur les tourments existentiels d'un bourgeois casse-bonbons sauvé par l'interprétation de son interprète, Fabrizio Rongione (...).
Télérama
Le film recèle de belles plages ténébreuses, sans parole, et des visages captivants (...). Les dialogues, en revanche, ne peuvent que banaliser la tragédie de Zeno (...).
Zurban
En choisissant de s'inspirer de deux chapitres seulement, Francesca Comencini limite les risques. Si l'ambiance obscure et les méandres psychologiques d'un homme en quête de père sont bien mis en valeur, Fabrizio Rongione, déjà vu dans Rosetta, reste en deçà de son rôle.
Aden
A l'arrivée, quelques chapitres sortis de leur contexte, "La Mort de mon père" et "Histoire de mon mariage", platement illustrés, sans chair ni âme, ne laissant affleurer que d'agaçantes névroses dont on est bien en peine de dire ce qu'elles nous racontent. Mieux vaut se précipiter dans la première librairie venue.
L'Humanité
Adapté d'un grand classique de la littérature italienne, la Conscience de Zeno d'Italo Svevo, une manière de Proust transalpin, ce film sur les amours d'un jeune homme velléitaire paralysé par le souvenir de son père, reste assez inconsistant.
Les Inrockuptibles
On reste dans l'effleurement et une mise en surface sur laquelle attention et émotion glissent rapidement.
Première
On regrette aussi l'absence d'un personnage central fort. Zeno subit, agace et, au final, indiffère.