Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Sans misérabilisme, et sans emprunter aux codes d'un genre, Apartment #5C est un film noir. Il laisse entrevoir une prise de conscience douloureuse.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Il y a là quelque chose de troublant, presque éémouvant, car Nadjari est un réalisateur auquel on croit, et dont on attend avec confiance qu'il s'épanouisse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Une oeuvre romantique et sombre, tout à fait dans l'air du temps.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Interprétée avec une intensité stupéfiante par l'actrice Tinkerbell, c'est sur elle, très visiblement, que le cinéaste a porté son dévolu. A demi-nue sur le lit de sa chambre d'hôtel, c'est sur son corps et son visage, saisis au plus près de leur candeur et de leur sensualité mêlées, que le film s'ouvre, avant que le récit ne bifurque semblablement sur la chair de sa cuisse, trouée par une balle perdue.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
Voilà un film qu'on aime pour sa modestie dynamique et inventive. Les comédiens ont tous une vraie présence, à commencer par Richard Edson, qui joue Harold.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Impeccable dans son filmage libre, son épaisseur documentaire et dans le jeu des acteurs, mais frustrant par l'opacité des relations entre les personnages et l'étrangeté abrupte de sa conclusion.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Obejctif-Cinema.com
par Yves Gaillard
Il faudra atteindre la toute dernière image pour que enfin ce corps de jeune fille, que la mise en scène ne cesse de vouloir transformer en icône, prenne vie, dans le clignotement d'une dernière fuite.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Première
par Olivier De Bruyn
(...) un pett film riche en calories visuelles et spirituelles qui donne envie de découvrir de ce que Nadjari va mettre en scène dans les années qui viennent.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
par N. T. Binh
Comme à l'accoutumée, le réalisateur nous attache au destin de personnages paumés, dont le rêve d'amour fou vient déranger la misère affective. Sa caméra très mobile semble capter, ici, sur le vif l'histoire d'une jeune sans-papiers recueillie dans une étrange pension de famille. La confirmation d'un talent.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les Echos
par Annie Coppermann
Un film au charme singulier, aussi américain dans ses références qu'européen dans son approche, dans la lignée d'un Cassavetes, fièvre en moins...
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Cependant, l'univers nadjarien est tellement confiné qu'il risque de se paralyser lui-même dans une sécheresse pourtant filmée avec savoir-faire. L'ennui se glisse petit à petit sur le perron de cet APARTMENT # 5C, même quand la violence explose dans l'une des dernières scènes.
Positif
par Yann Tobin
Mais, au bout de trois films, même si sa maîtrise cinématographique s'affirme et que son talent mûrit, une sensation de déjà vu nous fait souhaiter qu'à l'avenir Nadjari emprunte de nouvelles voies.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Dommage que certains partis pris du réalisation (grain épais, images tremblées) alourdissent parfois son propos.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
Apartment #5C est un tremplin idéal : tragique mais ouvert ; au titre sédentaire, mais dont l'héroïne sait qu'elle devra tôt ou tard repartir à l'aventure.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
L'action pers son sens, les motivations sont incompréhensibles, la répétition absurde enraye les personnages, comme ici où l'insouciance pousse une jeune femme à braquer deux fois la même épicerie.
Chronic'art.com
par Grégoire Bénabent
Mais le film pose les bases d'un drame qui ne sera pas joué jusqu'au bout. Ayant fait le plus dur, il retombe dans un dénuement absurde et sans fondement, et ne trouve aucune alternative de mise en scène à ses lacunes de scénario.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Aden
Sans misérabilisme, et sans emprunter aux codes d'un genre, Apartment #5C est un film noir. Il laisse entrevoir une prise de conscience douloureuse.
L'Obs
Il y a là quelque chose de troublant, presque éémouvant, car Nadjari est un réalisateur auquel on croit, et dont on attend avec confiance qu'il s'épanouisse.
Le Figaroscope
Une oeuvre romantique et sombre, tout à fait dans l'air du temps.
Le Monde
Interprétée avec une intensité stupéfiante par l'actrice Tinkerbell, c'est sur elle, très visiblement, que le cinéaste a porté son dévolu. A demi-nue sur le lit de sa chambre d'hôtel, c'est sur son corps et son visage, saisis au plus près de leur candeur et de leur sensualité mêlées, que le film s'ouvre, avant que le récit ne bifurque semblablement sur la chair de sa cuisse, trouée par une balle perdue.
Le Parisien
Voilà un film qu'on aime pour sa modestie dynamique et inventive. Les comédiens ont tous une vraie présence, à commencer par Richard Edson, qui joue Harold.
Les Inrockuptibles
Impeccable dans son filmage libre, son épaisseur documentaire et dans le jeu des acteurs, mais frustrant par l'opacité des relations entre les personnages et l'étrangeté abrupte de sa conclusion.
Obejctif-Cinema.com
Il faudra atteindre la toute dernière image pour que enfin ce corps de jeune fille, que la mise en scène ne cesse de vouloir transformer en icône, prenne vie, dans le clignotement d'une dernière fuite.
Première
(...) un pett film riche en calories visuelles et spirituelles qui donne envie de découvrir de ce que Nadjari va mettre en scène dans les années qui viennent.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Comme à l'accoutumée, le réalisateur nous attache au destin de personnages paumés, dont le rêve d'amour fou vient déranger la misère affective. Sa caméra très mobile semble capter, ici, sur le vif l'histoire d'une jeune sans-papiers recueillie dans une étrange pension de famille. La confirmation d'un talent.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Echos
Un film au charme singulier, aussi américain dans ses références qu'européen dans son approche, dans la lignée d'un Cassavetes, fièvre en moins...
MCinéma.com
Cependant, l'univers nadjarien est tellement confiné qu'il risque de se paralyser lui-même dans une sécheresse pourtant filmée avec savoir-faire. L'ennui se glisse petit à petit sur le perron de cet APARTMENT # 5C, même quand la violence explose dans l'une des dernières scènes.
Positif
Mais, au bout de trois films, même si sa maîtrise cinématographique s'affirme et que son talent mûrit, une sensation de déjà vu nous fait souhaiter qu'à l'avenir Nadjari emprunte de nouvelles voies.
TéléCinéObs
Dommage que certains partis pris du réalisation (grain épais, images tremblées) alourdissent parfois son propos.
Télérama
Apartment #5C est un tremplin idéal : tragique mais ouvert ; au titre sédentaire, mais dont l'héroïne sait qu'elle devra tôt ou tard repartir à l'aventure.
Cahiers du Cinéma
L'action pers son sens, les motivations sont incompréhensibles, la répétition absurde enraye les personnages, comme ici où l'insouciance pousse une jeune femme à braquer deux fois la même épicerie.
Chronic'art.com
Mais le film pose les bases d'un drame qui ne sera pas joué jusqu'au bout. Ayant fait le plus dur, il retombe dans un dénuement absurde et sans fondement, et ne trouve aucune alternative de mise en scène à ses lacunes de scénario.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr