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Hélène De Fougerolles incarne avec grâce l'oie blanche française perdue dans la basse-cour familiale. THE SEA est un bain de mer salée que l'on vous recommande.
Dans le meilleur des cas, cette confrontation entre parents et enfants touillant joyeusement leur linge sale, aurait pu ressembler à du Bergman. Seulement, le cinéaste n'a pas la finesse du maître suédois, et en rajoute dans le pathos et la violence. Un énervant et grotesque festival de caricatures.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
Personne n'en sort indemne, mais le cinéaste maîtrise son sujet avec assez d'habileté pour que la charge ne confine pas au pensum.
MCinéma.com
Hélène De Fougerolles incarne avec grâce l'oie blanche française perdue dans la basse-cour familiale. THE SEA est un bain de mer salée que l'on vous recommande.
Zurban
Après la folie douce de 101 Reykjavik, le ton de Baltasar Kormakur se fait plus grinçant.
Obejctif-Cinema.com
Un drôle d'exercice de style particulièrement jouissif à la fois monstrueusement drôle et drôlement monstrueux.
Première
Construite classiquement sur le mode de la montée paroxystique et sur un rythme soutenu, l'intrigue laisse en définitive peu de place à la surprise.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Un drame familial inspiré (...) à laquelle le réalisateur a su injecter une salutaire dose d'humour.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Dans le meilleur des cas, cette confrontation entre parents et enfants touillant joyeusement leur linge sale, aurait pu ressembler à du Bergman. Seulement, le cinéaste n'a pas la finesse du maître suédois, et en rajoute dans le pathos et la violence. Un énervant et grotesque festival de caricatures.
Télérama
Reste l'effet carte postale, forcément dépaysant, d'une Islande folklorique où l'on mange, en grimaçant, du requin pourri. Insuffisant.