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Max Rss
197 abonnés
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3,0
Publiée le 6 novembre 2024
1964...Philippe De Broca, "L'homme de Rio", comme une aventure de Tintin au Brésil, ça vous rappelle quelque chose, n'est-ce pas ? Et bien, avec "On a volé la cuisse de Jupiter", c'est dans le même esprit, à cela près que cette fois, c'est en Grèce que l'on pose nos valoches et que Belmondo n'est pas du voyage. On retrouve donc le même trio d'enfer (si seulement ce bon vieux De Broca avait eu la bonne idée d'aller chercher Catherine Alric pour "L'africain") que dans "Tendre poulet", auquel vient se greffer Francis Perrin. En soi, cet opus est moins drôle que son grand-frère, Annie Girardot y est moins survoltée (ce que certains considèreront peut-être comme une bonne chose), mais est encore plus rythmé. Et puis, de vous à mois, voir Philippe Noiret grimé en prêtre orthodoxe grec est tout aussi fantastique que de voir Michel Galabru sapé en travesti dans "La cage aux folles".
Je l'ai regardé car il s'agit d'un film de Philippe De Broca dialogué par Michel Audiard, mais il est à peine moyen. Certes, le réalisateur y déploie d'importants moyens techniques dans des décors naturels de Grèce, mais la réalisation est brouillonne et les quatre acteurs (Philippe Noiret, Annie Girardot, Francis Perrin et Catherine Alric) n'ont pas réussi à me faire accrocher à cette histoire de vol d'un morceau pourtant noble d'une statue antique.
Disons que c'est une comédie française typique des années 70 : titre pas sérieux, acteurs sympathiques mais en roue libre, dialogues décevants, ça s'agite beaucoup mais on s'ennuie assez vite. Honte à moi, mais c'est la plastique de Mme Alric qui m'a motivé à aller au bout (oh la la).
Vous prendrez bien un bon bol de nostalgie ?.. Par bon faiseur (Philippe de Broca), en ce moment sur arte.fr, une fantaisie hellénique d'excellente compagnie (Noiret, Girardot, Francis Perrin & co - rôles secondaires en nombre, et de charmante fantaisie) ! En 1980, le cinéma français excellait encore dans la comédie - bien construite, légère et enlevée... Quelle régression, pas loin de 50 ans plus tard, quelle perte en qualité...
Je reprends les mêmes mots que ceux que j'avais mis pour parler de Tendre Poulet. Avec ce second opus, De Broca ne fait pas beaucoup mieux. Cette comédie policière française avec A. Girardot et P. Noiret est franchement moyenne. A moins d'être fan de Girardot et, ou de Noiret, je ne recommande pas ce film. C'est un divertissement, bien sur, bien réalisé, avec de bons acteurs, mais l'ensemble reste moyen. Je n'ai pas été convaincu et je reste persuadé que le réalisateur avec L'homme de Rio, ou le Bossu a fait beaucoup mieux.
Le film de Philippe de Broca est meilleur que le 1er episode. Il a du rythme, est virevoltant et bénéficie à plein des paysages de Grèce pour offrir un film rafraîchissant. Un film dynamique avec quelques lecons d'histoires au passage grace au professeur Noiret . Un quator d'acteurs complémentaires, entre la dynamique Annie Girardot, le placide Philippe Noiret ou une Catherine Alric, double presque réincarné de Catherine Deneuve et un Francis Perrin qui surjoue un peu. Du cinéma populaire dans le très bon sens du terme.
Une comédie plaisante et divertissante sous le signe de l'aventure et de l'évasion en Grèce, bien servie par les quatre acteurs principaux, les dialogues et la musique mais aussi la nostalgie du début des années 80. Certes, certains gags sont un peu poussifs, mais le rythme est entraînant.
Annie Girardot et Philippe Noiret s'épuisent à essayer de sauver ce navet à grosses ficelles. Francis Perrin est épouvantable. Même les dialogues d'Audiard sont médiocres. Les bonnes comédies ne vieillissent pas. Celle ci est hors d'âge et ringarde.
Philippe de Broca reforme le couple Girardot/Noiret de “Tendre poulet” dans une comédie d’aventures sympathique et bien rythmée mais assez poussive. 2,25
La suite de "Tendre poulet" s'ouvre sur le voyage de noce du commissaire Tanquerelle et du prof de grec Lemercier. Où donc? En Grèce évidemmment. Au cours de leur exotique voyage, les jeunes mariés auront le loisir d'exercer leurs talents respectifs dans un intrigue criminelle autour du vol d'une oeuvre d'art dont ils sont, aux côtés d'un jeune couple de français rencontré sur place, les instigateurs présumés. L'aventure du quatuor Girardot- Noiret- Alric-Perrin caractérise une dynamique et très sympathique comédie policière, habilement et modestement dialoguée par Michel Audiard. Au coeur d'un récit mouvementé, inhérent au désormais statut de fugitifs des personnages, Philippe de Broca développe de réjouissants portraits, fondés sur les tempéraments contrastés entre la commissaire énergique et lucide, et le professeur placide, enivré par l'aventure, adossés également aux chamailleries amoureuses entre Francis Perrin et Catherine Alric. Les interprètes en goguette dans la Grèce profonde et touristique semblent d'ailleurs bien s'amuser. On osera, à propos de ce divertissement bon enfant, enjoué et dépaysant, le cliché de la bonne comédie à la française.
2 étoiles attribuées généreusement ... C'est pas terrible ... On voit surtout 4 acteurs qui font mumuse dans des lieux touristiques. Certes, il y a une volonté humoristique et quelques scènes, ci et là, prêtent à sourire (d'où les 2 étoiles). Mais cela est totalement artificiel ; bref, de l'humour de pacotille qui sonne creux.
A voir pour la prestation impecable de Girardot et Noiret. Très belles images de la Grèce et quelques scènes spectaculaires typique de Philippe de Broca. Humour inégal et assez désuet.
Un film en forme de BD, un bon rythme, une fois le décor planté et l'action mise en place il y a plus de temps mort. Les acteurs sont en grande forme, y compris les seconds rôles, Roger Carel hilarant en conservateur de musée à l'accent grec improbable. Bref un vrai voyage dans le temps, un retour à cette époque simple et joviale du cinéma français. Après j'avoue que j'ai un peu de mal à accepter certaines situations, même en étant très bon public et sans chercher le moindre réalisme, des fois ça passe vraiment pas tellement c'est daté voire ringard. Et puis Annie Girardot a toujours été pour moi une actrice insupportable, et le couple qu'elle forme avec Philippe Noiret n'a vraiment rien de très glamour.
A chaque fois que je suis allée en Grèce, j'ai regardé ce film qui montre cette Grèce que j'ai connu à la même époque. Dans tendre poulet, le DUI Girard Noiret était tellement était tellement décalé et lumineux. Il fait parti de ces film dont certains dialogues vous restent en tête. Touchez mon petit cœur je m'appelle Augustin et je suis un bel oiseau. Je suis tombé un jour sur un film américain qui s'appelait la carte et le lapin et je me suis aperçue que c'était tendre poulet !
Ce film qui semble bien long et dont l’intrigue manque de consistance est beaucoup moins intéressant que « Tendre Poulet » dont il est la suite… Demeure Catherine Alric qui permet toujours de se rincer l’œil !