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Akamaru
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2,0
Publiée le 21 juillet 2010
Une comédie tonique,mais à la morale digne d'un Disney."Joue là comme Beckham" part d'un postulat amusant:une jeune Indienne de Londres veut devenir footballeuse,pour asséner un hymne à la tolérance,que ce soit des races,des sexes ou des classes sociales.Le problème,c'est que tout est plat,des moments comiques aux soubresauts dramatiques.Et plus grave,le peuple anglo-indien est montré avec énormément de clichés à mon sens.Le film insiste trop sur le côté couleurs locales,et présente ce peuple comme fermé sur lui-même,ce qui est un peu réducteur.Tout est rose bonbon.Et il faut toute l'énergie de Parminder Nagra(future Neela de "Urgences")et le peps de Keira Knightley pour débrider ce conte de fées conventionnel.C'est une invitation au multiculturalisme,qui ne peut pas se prévaloir de scènes de foot réussies,et pâtit d'un happy end franchement improbable.Cependant,le film conserve une touche british bienvenue,avec un sens du pittoresque,et le conflit générationnel montre l'évolution des mentalités.Le rôle de la femme n'est pas confiné à la popote.Toujours porteur comme message,mais pourquoi faut-il un emballage si cul-cul?!
C'est complètement à l'eau de rose ! Le doublage en français est très téléfilm M6 années 90...et ça va avec le sujet.....Un peu déçue. Une fille blanche et anglaise, une indienne. Toutes deux dans une famille valorisant la féminité, se lient d'amitié avec pour points communs une passion et l'attirance pour l'entraîneur. Il faut avoir le cerveau débranché :D 2,5/5
David Beckham, véritable icône en Grande-Bretagne, il était donc normal que le film porte son nom plutôt qu’un autre. Joue-là comme Beckham (2002) est une comédie dramatique traitant divers sujets à caractères sociaux, comme la liberté de penser ou encore la place de la femme au sein du football. On y fait la rencontre de deux jeunes femmes passionnées par le ballon rond, l’une est Anglaise (et blanche), sa mère a du mal à accepter de la voir jouer au foot et de ne pas prendre soin d’elle (elle a un côté garçon manqué et sa mère la croit lesbienne), quant à la deuxième, elle est d’origine Indienne et ses parents ne tolèrent pas de la voir jouer au foot et encore moins d’avoir un petit ami blanc. Le film de Gurinder Chadha (Coup de foudre à Bollywood - 2004) se regarde sans déplaisir, alliant parfaitement humour et situations cocasses, avec un agréable casting où se côtoient Keira Knightley, Parminder Nagra & Jonathan Rhys-Meyers dans les rôles titre. Sympathique dans l’ensemble, malgré un trop plein de morale à partir de la seconde partie.
Avec ce film,j'ai été partagé tout le long.Il accumule les cliches comme pas possible quoi(apparemment d'après le film il faut juste jouer au foot dans un parc municipal pour être recruté dans un club --')surtout dans la morale à la fin digne d'un film d'animation.De plus j'ai trouvé le milieu du film carrément interminable et chiant.Reste les 3 acteurs principaux qui s'en sortent plutôt bien(surtout Keira Knightley)et les moments assez drôles du film.Au fond Joue-la comme Beckham est bien sympa et meme un bon film,mais il y à trop de cliches pour que je mette une note au dessus de 3.
Beckham, beckham, passe à droite pour Scholes la refile à gauche pour Silvestre et puis but !!!! Un film populaire des premières années 2000 phénoménal, on redevient adolescent pendant 1h50. J'ai passé mon temps à exploser de rire et à pleurer pour cette contrariété chez une famille d'origine indienne Sikh en Angleterre, ce sont des asiatiques qui préparent du samoussa, un plat confraternel britannique et une succulente exquise réalisation. A bas les préjugés raciaux, sexistes stéréotypés, le passé discriminé appartient au passé et ne devrait pas ressurgir au présent futur. Tous à l'humour cliché, Manchester United go go go et son ancien joueur spice boy Red Devil, un grand spécialiste des coups de franc, bien joué la Miss Indo-Anglaise, n'oublions pas les irlandais, un immense peuple briton ostracisé. L'Amérique impatiemment attend Parminder Nagra, une actrice d'Urgence TV familière à l'embarquement réussite sociale, en compagnie de sa compatriote Keira Knightley la jeune insolente, surmontant toutes les deux ces quiproquos, s'en est très drôle.
Malgré une belle énergie et des interprètes de qualités, "Joue-la comme Beckham" n'arrive pas à s'envoler vers la réussite. Annihilé par trop de bons sentiments, l'histoire qui pourtant permet de nombreuses dénonciations se révèle bien trop prévisible et niaise, enchainant les situations et les personnages stéréotypés pour finir sur un teenage movie d'une banalité affligeante, dans laquelle même le happy ending suprême ne nous est pas épargné. En plus, le scénario tourne rapidement en rond. Restent un rythme relativement bien soutenu et une BO plutôt géniale pour que le spectateur puisse rester jusqu'à la fin. Autant de potentiel gâché à cause de l'envie de vouloir bien faire, de vouloir faire comme il faut, de vouloir faire du politiquement correct, c'est triste ! Il est malheureux aussi de voir ce qui aurait pu être une fable sociale se transformer en un vulgaire "Tu m'as volé mon petit copain". Bref, à voir une fois pour le fun et si vous n'êtes pas trop déprimé. Deux fois, c'est la fois de trop.
Film avec un certain charme qu'il doit surtout à Parminder Nagra, qui joue excellemment une jeune femme indienne s'opposant à sa famille empreinte de traditions, par son envie de jouer au foot, dans une Angleterre passionnée par ce sport (d'ailleurs le film a cartonné dans ce pays) . On peut voir également Keira Knightley à ses débuts, son amie. Même si je n'aime pas le foot à cause de tout le business qu'il suppute de nos jours, je dois reconnaître que cette comédie où il n'occupe qu'un rôle assez secondaire, s'avère appréciable par la chaleur humaine qu'il dégage, une certaine originalité, et surtout encore une fois, le jeu de comédie et les mimiques à la fois tendres et drôles que prend l'actrice principale.
Joue-la comme Beckham montre les difficultés que rencontre une jeune fille à satisfaire sa passion du football et les traditions familiales qui sont incompatibles. La réussite du film vient surtout d'en avoir fait une comédie. Le scénario est drôle et agréable. La qualité de l'image et des plans laisse à désirer mais cela ne gène pas pour apprécier le film qui laisse un fraîcheur positive.
'Joue-la comme Beckham' n'est pas trop mon genre de film, mais il faut avouer que le casting est très bon et que l'humour britannique fonctionne à merveille. Mais c'est sans plus pour ma part car je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire, et à m'attacher aux personnages du long-métrage. Le film est trop simple à mon goût ! Bref, dans l'ensemble ça se laisse facilement regarder, mais il y a rien d'extraordinaire à voir (vous ratez rien si vous l'avez pas visionné) !
Bien sûr le film est plein de bons sentiments et peut paraître candide, mais il m'aura bien intéressée et le final offre quelques occurrences de rire et de morale qui restent agréables. Les matches de football ne sont pas tant le sujet du film que le droit de chacune (et surtout chacune, ici) à participer à l'activité qu'il ou elle souhaite. A travers les différences de culture, de sexe, et d'âge, on entrevoit tous les clichés qui ébranlent les envies de ces joueurs qui deviennent alors la cible de tous les quolibets (le jugement, ce que la société fait de "mieux"...). On rit bien (en tout respect) du personnage de la mère hystérique, et l'on croit même voir la nôtre, par moments, de même que l'on connaît tous ce papa qui laisse couler plus facilement que sa femme... La fin est un peu candide, surtout avec le passage inopiné de l'idole de la jeune fille, comme par hasard... Mais on ne boude pas son plaisir, les actrices étant professionnelles même pour la plupart d'entre celles qui n'ont pas joué auparavant dans un film, et de même la réalisatrice novice s'en tire admirablement en dépeignant sa propre culture de son point de vue cynique. Sympathique et moralement progressiste.