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Cette relation amicale, limite amoureuse, est passionnante. Ce "Cravate club", quoiqu'un peu bavard, mérite d'être vu aussi pour la performance du tandem Charles Berling-Edouard Baer.
Dominé par un Edourad Baer à la présence et à la diction magnétisantes, le film pousse vers d'avantage de noirceur et d'ambiguïté la pièce dont il est tiré, et éclaire certaines zones d'ombre avec une audace qui serre souvent le coeur.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le film [...] n'incite pas à écrire un nouveau chapitre savant de la longue histoire des rapports incestueux entre cinéma et théâtre. Cravate Club tient de la captation pressée, et parfois plaisamment approximative. [son] charme irritant est là : dans ses airs de café-théâtre à peine filmé.
On a encore l'impression d'être au théâtre et, comme le dialogue est tout de même un peu ténu, on reste sur le fil de l'insignifiance. Il reste deux interprètes qui s'amusent et qui peuvent amuser... si l'on n'a pas vu la pièce.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Si, au théâtre, les dialogues virtuoses passaient sans problème, ils paraissent ici parfois artificiels. De même, malgré une volonté de fluidité, la mise en scène n'évite pas toujours le théâtre filmé, unité de lieu oblige. Constamment sur le fil entre rire et émotion, CRAVATE CLUB ne touche jamais davantage sa cible que lorsqu'il se teinte de mélancolie, dans sa dernière partie. Lorsque le rire devient grincement. Un subtil basculement qui trouve sa meilleure expression dans la dernière partie, la plus réussie. Assurément à voir entre... amis.
Au théâtre, l'argument, ténu, s'étoffait de la présence de deux comédiens épatants (...). Ici, ils sont comme rétrécis par la mise en images, si plate que toutes les coutures de cette comédie, joliment ficelée sur le papier, apparaissent puis, finalement, craquent.
La critique complète est disponible sur le site Aden
On ne sait ce qui a poussé ses protagonistes à adapter à l'écran cette pièce qui connut, paraît-il, un grand succès. Force est de constater que cette transposition n'apporte rien. On se lasse rapidement de ce huis clos qui se déroule dans le cabinet d'architecte, sombre et encombré, des deux compères.
Depuis que l'on adapte des pièces de théâtre au cinéma, la sanction de ces tentatives d'évasion est la même : le texte perd de sa force, les acteurs, si maîtres d'eux sur scène, semblent flotter dans leur rôle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le duo [d'acteurs] reste l'intérêt majeur du film. [...] En cinématographiant la pièce, Frédéric Jardin parvient surtout à mettre en évidence la minceur du propos.[...] L'ensemble reste bancal et anecdotique.
Le Parisien
Cette relation amicale, limite amoureuse, est passionnante. Ce "Cravate club", quoiqu'un peu bavard, mérite d'être vu aussi pour la performance du tandem Charles Berling-Edouard Baer.
TéléCinéObs
Dominé par un Edourad Baer à la présence et à la diction magnétisantes, le film pousse vers d'avantage de noirceur et d'ambiguïté la pièce dont il est tiré, et éclaire certaines zones d'ombre avec une audace qui serre souvent le coeur.
Cahiers du Cinéma
Le film [...] n'incite pas à écrire un nouveau chapitre savant de la longue histoire des rapports incestueux entre cinéma et théâtre. Cravate Club tient de la captation pressée, et parfois plaisamment approximative. [son] charme irritant est là : dans ses airs de café-théâtre à peine filmé.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Echos
On a encore l'impression d'être au théâtre et, comme le dialogue est tout de même un peu ténu, on reste sur le fil de l'insignifiance. Il reste deux interprètes qui s'amusent et qui peuvent amuser... si l'on n'a pas vu la pièce.
MCinéma.com
Si, au théâtre, les dialogues virtuoses passaient sans problème, ils paraissent ici parfois artificiels. De même, malgré une volonté de fluidité, la mise en scène n'évite pas toujours le théâtre filmé, unité de lieu oblige. Constamment sur le fil entre rire et émotion, CRAVATE CLUB ne touche jamais davantage sa cible que lorsqu'il se teinte de mélancolie, dans sa dernière partie. Lorsque le rire devient grincement. Un subtil basculement qui trouve sa meilleure expression dans la dernière partie, la plus réussie. Assurément à voir entre... amis.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
La mise en scène est mise au service des acteurs : c'est un choix, pour une fois, d'une habile modestie.
Aden
Au théâtre, l'argument, ténu, s'étoffait de la présence de deux comédiens épatants (...). Ici, ils sont comme rétrécis par la mise en images, si plate que toutes les coutures de cette comédie, joliment ficelée sur le papier, apparaissent puis, finalement, craquent.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
On ne sait ce qui a poussé ses protagonistes à adapter à l'écran cette pièce qui connut, paraît-il, un grand succès. Force est de constater que cette transposition n'apporte rien. On se lasse rapidement de ce huis clos qui se déroule dans le cabinet d'architecte, sombre et encombré, des deux compères.
Le Monde
Depuis que l'on adapte des pièces de théâtre au cinéma, la sanction de ces tentatives d'évasion est la même : le texte perd de sa force, les acteurs, si maîtres d'eux sur scène, semblent flotter dans leur rôle.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Première
Le duo [d'acteurs] reste l'intérêt majeur du film. [...] En cinématographiant la pièce, Frédéric Jardin parvient surtout à mettre en évidence la minceur du propos.[...] L'ensemble reste bancal et anecdotique.