Derniers Avis : Beetlejuice - Page 8

Beetlejuice, Beetlejuice, Beetlejuice !
Adam et Barbara Maintland (Alec Baldwin et Geena Davis), un jeune couple dans la fleur de l’âge, meurent par noyade à la suite d’un tragique accident de voiture.
Condamnés à errer dans leur maison, ils voient d’un mauvais œil la venue des nouveaux propriétaires, un couple de newyorkais fortuné et leur fille Lydia (Winona Ryder) au style plus que gothique.
Barbara et Adam décident de faire fuir les occupants mais ne se révèlent pas très doués dans le rôle de fantôme terrifiant.
Désespérés, ils font appel à un bio-exorciste du nom de Beetlejuice (Michael Keaton).
Second film hollywoodien pour le fantasque Tim Burton et gros succès ! Avec un tout petit budget mais beaucoup de bonnes idées, cette histoire de fantômes un peu déjantée aura marqué son époque et ouvert à son réalisateur les portes pour relancer le mythe Batman !
Un Michael Keaton complètement habité et farfelu, rien que pour cela ce film mérite d’être revu !

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Un film surprenant et très intriguant par son scénario et ses choix de mises en scènes très particuliers si chers à Tim Burton ! L'histoire patauge un peu, mais l'idée, l'esthétique de ce film le rend culte !

Comme beaucoup de gens, ce que j'aime dans ce film est ce qui est caractéristique à Tim Burton, effets visuels particuliers, fouillis de créatures en tous genres, et autres particularités, telles que le thème de la mort, celui de l'enfance… Mais il n'y a pas de trame, et les personnages n'ont pas de relief ce qui donne l'impression que tout à la fin est vain…

Dès son second long-métrage, Tim Burton installe définitivement son univers (malgré de nombreuses touches burtoniennes, Pee Wee big adventure prenait place dans le monde déjà installé du personnage créé par Paul Reubens). En effet, cette comédie fantastique intitulée Beetlejuice met en scène avec affection le paranormal et les fantômes. Ce film très drôle bénéficie d’excellents trucages traditionnels et même l’aspect kitsch de certains collent parfaitement avec la folie ambiante. Il y trouve déjà ses influences expressionnistes et son amour des marginaux (ici, les fantômes et la jeune fille gothique, Lydia) qui paraissent nettement plus sympathiques que les membres plus intégrés dans la société spoiler: (on pense à l’amie de Barbara qui veut les pousser à vendre leur maison mais surtout le couple de rapaces reprenant cette maison et leur entourage tout aussi avide d’argent)
. L’humour constant est renforcé par l’excellent casting (on y trouve tout de même Alec Baldwin, Geena Davis et Winona Ryder) qui est dominé par un Michael Keaton complètement dingue bien que peu présent à l’écran (même si son personnage donne son nom au film). Le tout est servi par l’inoubliable musique d’un Danny Elfman encore peu connu des cinéphiles. Dès la fin du visionnage, on meurt donc d’envie de dire "Beetlejuice, Beetlejuice, Beetlejuice" !

honnêtement, je ne comprends pas comment on peut trouver ce film correct. au programme: scénario pauvre, personnages caricaturaux et creux, effets spéciaux qui ont très mal vieilli, tentatives comiques qui ne réussissent pas à nous arracher un sourire (un soupir agacé tout au mieux), et une atmosphère très lourde, qui malheureusement ne suffit pas à nous faire trembler de peur. (à défaut de nous faire rire...)
Néanmoins, malgré tous les défauts du film, on soulignera le jeu du casting, qui reste vraiment bon!
enfin je suppose que si vous êtes un fan de l'univers de Burton vous aurez une chance d'apprécier ce film? pour ma part c'est un non, je me suis ennuyée tout le long :(

L'une des premières pierres de l'édifice immense que représente la filmographie de T. BURTON, puisque l'on n'y retrouve chaque aspect fondateur et essentiel de son travail, y mettant son âme et sa créativité de la manière la plus personnel que l'on puisse, et non pas pour ce que cela raconte de son créateur mais plutôt à travers ce qui illustre ce qu'est le cinéma, art à part entière, de l'artiste BURTON. Surement un peu tanné avec le temps et pointant bien évidemment quelque petites erreurs de gout en matière de jeu de la part de certains acteurs dans leur manière d'aborder l'univers très spécifique en terme d'imagerie, mais cela n'enlève en rien la force de l'ensemble du film, qui joue comme à son habitude avec les codes visuels pour mettre en valeur un thème cher à BURTON, la vision de la mort, et poursuivant son idée cinématographique très présente dans chacune de ses œuvres que le monde des morts est plus chaleureux et fun que celui des vivants. Et c'est ainsi que l'ensemble parvient à avoir une cohérence solide, loin des thématiques des films d'exploitations qui se font un malin plaisir de traiter le paranormal de manière toujours très coloré et clownesque, car ici le contexte est purement "terrestre", c'est à dire qu'une sorte de réalisme se dégage ici, du moins dans ce qui concerne la vision du monde d'après selon BURTON, jouant de codes plus qu'universel concernant la Mort de l'Homme, et se jouant encore plus habilement sur la façon dont les êtres vivant peuvent montrer des comportement purement funeste, de leurs actes à leurs habits. Tout cela, le réalisateur visionnaire le maîtrise à la perfection, et en fait un étalage certes parfois poussif et cartoonesque, mais donnant une teinte tellement particulière à une univers habituellement très sombre, et c'est peut-être même à travers ce film que T. BURTON a su prouver que les genres qui paraissent à première vue glauque et noir peuvent devenir de pur divertissement si le ton et la justesse du scénario sont de mises, ce qui est bien sur le cas ici, le tout accompagné de la musique toujours autant de situation de Danny ELFMAN. Alors on peut quand même critiquer certains aspects de mise en scène pas toujours de très bon gout ou semblant réalisé avec les moyens du bords plus pour une question de monnaie que de pure sensibilité artistique, car on sait ô combien BURTON aime jouer visuellement de ce sentiment de "faux" (cela reste du cinéma après tout), et que l'on peut également trouver une poignet de faiblesse au sujet du scénario, se perdant souvent avec volonté de définir ce qu'est la vie après la mort selon le réalisateur et faire avancer l'intrigue, à tel point que le film est devenu aussi culte par le simple fait que le rôle éponyme du film ne prend un réel intérêt dans le scénario qu'au bout de 50 minutes de film sur une bobine de 1h25, ce qui était assez gonflé car difficile de faire de la promo avec cela et pourtant quand on constate le succès public que peut avoir ce film et les quelques produits dérivés qui sont apparus après ayant réussi à marquer la génération 90', on ne s'étonne qu'à moitié que bien que vieillissant, ce long métrage est un culte au sens propre du terme. Ainsi, le scénario parvient à mettre en scène de aspect bien distinct, soit comment appréhender le monde des morts lorsque l'on y est pas préparé et que ce dernier répond à des codes très "bureaucratiques" et "protocolaire", comment cohabiter avec le monde des vivants, d'autant plus quand ceux-là sont des êtres mesquins, cupides et plus "effrayant" que les morts, tout cela mis en scène à la manière d'une grande farce, aux effets purement artisanaux (entre maquillages, décors et marionnettes à l'ancienne) qui donne cet aspect tellement singulier, se régalant des contrastes inversés entre la Vie et la Mort, et faisant ainsi participer le spectateur à sa vision bien plus lumineuse que ce que représente le trépas pour BURTON (idée qu'il réitérera maintes et maintes fois), le tout en parvenant à pointer du doigt les aspects les plus lugubres de l'Humain, faisait de la critique des Hommes un gag plus acerbe que la bouffonnerie pure que représente l’univers de l'au-delà. Bien sûr, il est indéniable que si son absence sur l'ensemble du film peut laisser perplexe, le personnage éponyme de ce film n'en est pas moins absent de l'image, qu'il explose littéralement à chaque apparition, d'une part grâce à l’imagination sans limite de BURTON, du costume à la posture en passant évidemment par ses lignes de dialogues, mais aussi et surtout par la prestation incarnée d'un Michael KEATON bien plus génial quand il est maquillé que lorsqu'il est derrière un masque de super-héros, faisant entrer sa performance et ce personnage la en particulier au Panthéon des héros cultes du 7e art, le tour de force étant, rappelons-le, de réussir cela en étant présent que très peu dans l'intrigue et au montage final. L'entame de carrière de T. BURTON n'a rien d'anodine car cette vision si singulière et cette sensibilité de l'image font parti de son ADN, ainsi signer, imaginer, créer et mettre en image un film tel celui-ci ne fait que conforter sur le génie naissant d'un réalisateur à l'univers bien à lui, aux idées très personnelles et prouvant une chose évidente; le cinéma c'est autant une question d'histoire que de créativité.

Avec Tim Burton, pas de surprise, on sait qu'il va nous balancer des images surprenantes, quelque soit le genre qu'il aborde. L'histoire commence platement avec un couple banal de série américaine. Ensuite arrive la fille des nouveaux occupants de la maison hantée. Elle est heureusement gothique et ses parents de puants créateurs-affairistes new-yorkais, ça promet un peu plus. Au final cependant la direction d'acteurs mollassonne à cotés des effets spéciaux à gogo pour ne permet pas de dépasser le stade d'un ludique divertissement pour préados, car il manque du peps pour rendre les "fantômes" plus vivants….DVD vf jullet 20

l'un des meilleurs film culte a l ancienne comme on les aimes les effets spéciaux sont de l epoque mais le film vaut beaucoups plus que tout les films reunis depuis l'année 2000 ( a quelques exceptions pres )

Un film qui représente totalement l'univers de Tim Burton une histoire captivantes d'autre diront que ce film est absurde non car l'absurdité de Tim burton à un sens il suffit de comprendre comment elle est retrenscrit dans ces films car Tim burton est un réalisateur visionnaire et il nous le montre bien avec ce film

Un des premiers film de Tim Burton tout simplement génial. Très fidèle à son travail, loufoque déjanté et une touche de frayeur !

Beetlejuice est ma troisième expérience avec Tim Burton. La première, c’est Charlie et la Chocolaterie que je déteste tout simplement. La deuxième, l’adaptation d’Alice au Pays des Merveilles, que j’ai trouvé moyen, ne valant pas le dessin animé original. Enfin cette troisième expérience s’avère très bonne. On sent enfin la rigueur et l’envie de faire un bon long-métrage qu’on ressent généralement dans les premiers films d’un réalisateur. C’est en effet celui qui peut définir le style de son réalisateur et détermine la suite de sa carrière ou non si le succès est au rendez-vous. Beetlejuice n’échappe donc pas à la règle des premiers films. Une histoire excellente, à laquelle je reproche juste un manque de matière qui fait que le scénario est parfois étiré. Un très bon casting qui révèle la talentueuse Winona Ryder, et met aussi en scène le loufoque Michael Keaton dans un rôle burlesque et marquant. L’univers m’a beaucoup plu, je connais le style Burton mais j’ai quand même été surpris grâce à des idées de mise en scène particulière et des effets spéciaux plutôt originaux. Tout est très inspiré, les maquillages, les décors, les costumes, et on plonge réellement dans un monde différent du notre. Quant au genre, le côté mi-horreur mi-comique fonctionne et Tim Burton se moque habilement des metteurs en scènes qui cherchent à tout prix à faire peur dans leurs films. Pour conclure, le bilan est positif, je suis ressorti du film de bonne humeur (le film privilégie tout de même la comédie à l’horreur) et Beetlejuice rempli parfaitement sa mission : c’est un divertissement recherché aux thèmes intéressants - sur la mort principalement – qui développe une histoire originale et des personnages marquants. Me voilà réconcilié avec Tim Burton, en attendant de voir ses autres longs-métrages.

Ah , Tim Burton et son univers déjanté ,c'est superbe.
Aucun de ses films n'a été mauvais, et les meilleurs sont pour moi Edward aux mains d'argent, les deux premiers Batman et ce loufoque et jouissif Beetlejuice.
Michael Keaton y trouve la le meilleur rôle de sa carrière , interprétant un odieux personnage, libidineux, vulgaire,arnaqueur et menteur a souhait mais tellement marrant !! On adore le détester. Sur la jaquette vhs a l'époque on pouvait lire : " même les morts n'en veulent plus ". Oui,eh bien moi j'en redemande !! A quand une suite?
Je salue la prestation d'Alec Baldwin , Geena Davis; le pauvre couple qui passe de vie a trépas au début du film et feront la rencontre de beetljuice ,qui leur rendra la vie ( ou plutôt la mort) impossible.
Et je n'oublie pas Winona ryder , révélée dans ce rôle d'ado déjantée.
Si le film a vieilli visuellement et certains effets spéciaux datés, vous trouverez avec ce film un diamant brut,que même le temps n'alterera pas.

"Beetlejuice" est le film qui a révélé Tim Burton avant que celui-ci réalise "Batman" et "Edward aux mains d'argent". C'est une comédie fantastique qui définit très bien le style de Burton, déjanté et gothique. Très original, le film est rempli d'effets spéciaux kitsch utilisant le carton-pâte qui ont certainement beaucoup vieillis depuis mais qui ne dénaturent pas le film, bien au contraire. Le film raconte l'histoire d'un couple récemment décédé hantant le grenier de leur maison où de nouveaux locataires viennent emménager. La base de l'intrigue était donc très prometteuse, on pouvait s'attendre à des situations particulièrement drôles mêlant l'épouvante grotesque au comique burlesque. Malheureusement la promesse n'est qu'à moitié tenue. Le film part un peu dans tous les sens, notamment avec l'apparition tardive du personnage éponyme incarné par Michael Keaton, qui n'est pas le personnage le plus amusant et ses apparitions deviennent finalement un peu agaçantes. Pour le reste, nous avons tout de même droit à des séquences très créatives, notamment la scène de danse qui est vraiment excellente. Globalement "Beetlejuice" ne peut compter parmi les tout meilleurs films de Tim Burton, mais il a le mérite d'avoir mis en lumière ce grand réalisateur qui nous plonge ici dans son univers.

Un délire du fantastique auquel j'ai moyennement adhéré signé Tim Burton au début de sa carrière de cinéaste à la fin des années 80 !! Un couple de trentenaire sympathique se retrouve mort après un accident de voiture et condamné a ètre des fantomes vivant dans leur maison jusqu'à ce que de nouveaux propriétaires emménagent par la suite avec une fille aux allures gothiques qui peut les voir (les morts). Le couple décédé vont consulter différents morts vivants jusqu'à ce célèbre et abominable "Beetlejuice" qui va semer la terreur. Ce long métrage a bien démarré pour ma part, je trouvais l'idée originale et les effets spéciaux, bien que daté, assumaient le kitsch des années 80 mais la suite part dans du n'importe quoi que ça m'a saoulé. "Beetlejuice" est un film surestimé à mon gout. Reste quand mème un casting sympathique avec Alec Baldwin, Geena Davis, Michael Keaton, Jeffrey Jones, Catherine O'Hara, Winona Ryder ou Sylvia Sidney. Sans plus.

Des effets spéciaux datés qui, de par le décalage avec ce qui se fait aujourd’hui, renforce l'effet comique pour notre plus grand plaisir.

À tous les fans de Buton qui n'auraient pas vu cette pépite : Rectifiez votre erreur.