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Malevolent Reviews
986 abonnés
3 207 critiques
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2,5
Publiée le 8 mai 2013
Une bonne parodie de James Bond avec un excellent David Niven, un incroyable Peter Sellers (roi du déguisement), un énigmatique Orson Welles et un pittoresque Woody Allen, grand méchant du film, fils caché de James Bond qui veut éliminer de la planète chaque homme dépassant 1m60. Une histoire quelque peu intrigante et très psychédélique mais bien réalisée et très drôle. En parlant de réalisation, le film est assez unique en son genre car il fût mis en scène par non moins que six réalisateurs, tournant tour à tour des scènes différentes, assemblées ensuite tel un film à sketchs. Ainsi, les scènes principales sont réalisées par Joseph McGrath et Robert Parrish tandis que le passage inattendu de l'explosion du château de Bond en Écosse est réalisé par John Huston. Quant au final extravagant, plus proche d'un film des Monty Python que d'un film classique des aventures de l'agent secret, c'est Richard Talmadge (Quoi de neuf, Pussycat ?) qui s'en est chargé. On peut donc être dérouté par ce mélange original à l'humour assez spécial mais une fois adhéré, le tout provoque un bon fou rire pour une agréable comédie d'aventures.
Hilarant et ultra kitsch (la chanson "The look of love", signée du maitre absolu de la pop sixties kitshc : Burt Bacharach), ce James Bond officieux (qui sera à nouveau adapté, en officiel, en 2006) est excellent. A voir et à revoir sans cesse.
Hélas ! cela se veut burlesque, mais tout tombe à plat. Etait-ce plus drôle à l'époque ? Le seul charme de ce film est de revoir de bons acteurs dans leur meilleur âge. A éviter absolument si vous avez plus de dix ans
Du n'importe quoi total! Je ne peux m'exprimer autrement. Soit disant une parodie, ce film n'est rien d'autres qu'un enchaînement d'ennuis, d'humour affreux et lourd, tout ça pourvu d'une BO affreuse! Tous ces acteurs horribles dans leur rôle essayant de ressembler a ce charismatique 007, quelle honte!
Un peu moins de quarante ans avant le 21è James Bond, Casino Royale fut dabord une parodie de films despionnage, genre très en vogue alors. Doté dun casting riche et séduisant, cette sorte de Austin Powers des sixties (la vulgarité en moins), rassemblait ainsi les héros de la panthère rose, Peter Sellers et David Niven, les respectables Woody Allen et Orson Welles, et le couple de stars du moment, Ursula Andress et Jean-Paul Belmondo (lacteur français, ayant toujours refusé une carrière hollywoodienne, napparaissant toutefois que furtivement). Mieux, jusquaux plus petits rôles, les grands noms du cinéma apparaissent (épinglons encore William Holden, Jacqueline Bisset, Georges Craft, Déborah Kerr ). Un défilé certes attractif, mais au bout du compte, le résultat des cinq réalisateurs semble mitigé. Multiples longueurs, scènes trop artisanales, image imparfaite, les deux heures du film pourront paraître insurmontables pour lexigeant public actuel. Néanmoins, les puristes devraient apprécier lesprit et lhumour très british, et se régaler devant cette jolie synthèse du vedettariat cinéphilique, fruit dune époque assez magique finalement
Ce " James Bond" est beaucoup trop confus et les gags ne valent pas grands choses, effectivement on s'amuse à regarder les stars défiler mais rien ne se passe de génial. Enorme décéption...
En s'inspirant plus de "What's Up Pussycat?" et de "Our Man Flynt" que des James Bond, "Casino Royale" aura bien évidemment pavé la route pour les clowneries à venir de Mike "Austin Powers" Myers, que l'on soit sensible ou non à ce type d'humour. On prend un paquet de stars (on reprend d'ailleurs Woody Allen et Peter Sellers, présents sur "What's Up, Pussycat?"), on prend un paquet de réalisateurs dont John Huston qu'on laisse partir en freestyle, on écrit un scénar à l'arrache avec un paquet de gags qui tombent dramatiquement à plat, le tout dans une ambience entre psychédélisme et Swingin' London et on arrive à un pondre un bordel hallucinant qui n'a au définitif pour lui que sa BO et un gentil parfum de nostalgie. Dans cette catégorie, on lui préférera tout de même largement les films cités au début.
Très bonne parodie des films de James Bond. Les acteurs sont impeccables et on se marre sans arrêt. A noter la présence de Jean-Paul Belmondo à la fin du film.
Une bonne parodie de James Bond avec un excellent David Niven, un incroyable Peter Sellers (roi du déguisement) et un énigmatique Orson Welles. Une histoire quelque peu intrigante et psychédélique mais bien réalisée et très très drôle. Bon, faut aimer cet humour c'est sûr ! Mais moi j'ai adoré !
Du bon... et du moins bon. Beaucoup de moins bon en fait. Cette version de 1967 se veut être une comédie burlesque, un bordel cosmique, accumulant les incohérences. Elle y parvient aisément. Pourtant, le film devient vite lourd et il faut vraiment compter sur le charisme de la troupe de stars répondant à l'appel pour espérer y trouver son compte. Aujourd'hui, un truc pareil irait tout de suite aux oubliettes (le film y est déjà presque remarquez...). N'était cette nostalgie que suscite le film des grands moments, on se demande ce qui pourrait nous intéresser là-dedans...